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Documents  | enregistrements trouvés : 40

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Cote : P1123-AG1

Mercredi 28 février 2024, à 15h, la délégation aux outre-mer a auditionné le groupe d’outre-mer de l’académie d’agriculture de France sur la thématique suivante : "Faire de la Politique agricole commune (PAC) dans les outre-mer un levier de la transition agroécologique et alimentaire.
- Présentation de l'audition parlementaire de l’académie d’agriculture de France, le 28 février 2024
- Compte rendu de réunion n° 8 - Délégation aux outre-mer - Session 2023 – 2024 - Mercredi 28 février 2024
Mercredi 28 février 2024, à 15h, la délégation aux outre-mer a auditionné le groupe d’outre-mer de l’académie d’agriculture de France sur la thématique suivante : "Faire de la Politique agricole commune (PAC) dans les outre-mer un levier de la transition agroécologique et alimentaire.
- Présentation de l'audition parlementaire de l’académie d’agriculture de France, le 28 février 2024
- Compte rendu de réunion n° 8 - Délégation aux outre...

AGRICULTURE ; OUTRE MER ; POLITIQUE AGRICOLE COMMUNE ; ALIMENTATION ; AUTOSUFFISANCE ALIMENTAIRE ; ECONOMIE AGRICOLE ; ECOLOGIE ; DEBAT PARLEMENTAIRE ; ASSEMBLEE NATIONALE

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- n° 4 - 6 p.
Cote : A1010366938001-QS4

En 2020, des pénuries alimentaires sont survenues dès l’entrée en vigueur du confinement destiné à contrôler la pandémie de COVID-19. En Guyane Française, où une forte proportion de la population vivait déjà sous le seuil de pauvreté, des alertes préoccupantes ont émané d’acteurs de santé.
En parallèle du déploiement d’une aide alimentaire massive, une première enquête transversale a été menée en août 2020, ciblant les quartiers précaires des environs de Cayenne. Les résultats étaient particulièrement inquiétants : plus de 80 % des ménages avaient souffert de la faim dans le mois, avec une baisse médiane de revenus de 46 %. Deux autres enquêtes ont suivi, en février, puis en août 2021. Avec l’allègement des mesures sanitaires, la situation s’était sensiblement améliorée dans la région de Cayenne, mais deux ménages sur trois restaient impactés, avec des carences quantitatives et une diversité alimentaire insuffisante. La situation semblait particulièrement critique parmi les enfants.
Au vu de cette situation, nous proposons de créer un observatoire de l’insécurité alimentaire en Guyane, tout en maintenant ce sujet en tête des priorités sanitaires. En outre, la lutte contre l’insécurité alimentaire ne peut se limiter à l’aide matérielle : la stratégie, multisectorielle, doit être pensée en globalité, intégrant les problématiques sanitaires et sociales, les enjeux de l’aménagement du territoire, de l’accès à la terre et à l’eau, de l’accès aux droits et à l’insertion sociale. Un ciblage juste des actions vers les publics les plus exposés et vulnérables est également un enjeu important, indépendamment de la situation administrative et du droit au séjour des personnes concernées.
En 2020, des pénuries alimentaires sont survenues dès l’entrée en vigueur du confinement destiné à contrôler la pandémie de COVID-19. En Guyane Française, où une forte proportion de la population vivait déjà sous le seuil de pauvreté, des alertes préoccupantes ont émané d’acteurs de santé.
En parallèle du déploiement d’une aide alimentaire massive, une première enquête transversale a été menée en août 2020, ciblant les quartiers précaires des ...

GUYANE ; ALIMENTATION ; PAUVRETE ; SANTE PUBLIQUE ; POLITIQUE PUBLIQUE ; MALNUTRITION ; COVID-19 ; ENQUETE

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- 25 p.
Cote : R21404-AG1

Le plan banane durable 3, s'étendant sur la période 2023-2027 fait suite au plan banane 2 à échéance le 31 décembre 2022, et s'appuie sur le bilan de ce dernier. Il reprend, en continuité avec le plan banane durable 2, les objectifs en termes de production, de qualité, de critères environnementaux e sociaux et d'évolution des surfaces des exploitations, à l’identique ou renforcés.

PRODUCTION AGRICOLE ; BANANE ; ANTILLES FRANCAISES ; MARTINIQUE ; GUADELOUPE ; MARCHE AGRICOLE ; GECKO ; ALIMENTATION ; PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT ; PRODUCTEUR

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- 178 p.
Cote : T178-AG1

L’objet de cet avis est d’abord de présenter comment cette démocratie alimentaire est sollicitée à travers le foisonnement des initiatives citoyennes, alors que les transitions vers un modèle durable peinent à se généraliser. Pour répondre aux défis que pose l’enjeu d’une alimentation durable, les réponses des politiques publiques sont présentées et les constructions de systèmes alimentaires territoriaux sont évoquées, en identifiant les obstacles. Pour élaborer ses préconisations, le CESE s’est appuyé sur le Conseil National de l’Alimentation avec lequel il vient d’établir un partenariat et dont la contribution spécifique se trouve en annexe. Par ailleurs, plusieurs préconisations présentées ont émergé de la rencontre avec une vingtaine de responsables de Projets Alimentaires Territoriaux qui ont fait part de leurs expériences et de leurs souhaits pour favoriser l’efficacité de ces outils. Au regard des spécificités ultramarines, la délégation à l’Outremer de notre assemblée a apporté une contribution dont certains éléments sont repris dans l’avis et dont l’intégralité lui est également annexée. Présentation de 18 préconisations.
L’objet de cet avis est d’abord de présenter comment cette démocratie alimentaire est sollicitée à travers le foisonnement des initiatives citoyennes, alors que les transitions vers un modèle durable peinent à se généraliser. Pour répondre aux défis que pose l’enjeu d’une alimentation durable, les réponses des politiques publiques sont présentées et les constructions de systèmes alimentaires territoriaux sont évoquées, en identifiant les ...

ETUDE ; AGRICULTURE ; PRODUIT ALIMENTAIRE ; ALIMENTATION ; POLITIQUE PUBLIQUE ; FRANCE

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- 66 p.
Cote : R21374-EG7

D’après la dernière enquête STEPS 20191, plus de 90% des adultes de plus de 18 ans présentent une surcharge pondérale à Wallis et Futuna. Cette tendance est confirmée par les données sur la consommation alimentaire issues de l’Enquête Budget des familles 2020 (EBF 2020) qui met en évidence une consommation énergétique moyenne d’environ 2700–2800 kcal/personne/jour, avec d’importantes disparités au niveau national. Les ménages les plus aisés consomment en moyenne une fois et demie plus que les ménages les plus vulnérables, et la consommation énergétique moyenne à Futuna est plus élevée que celle de Wallis.
D’après la dernière enquête STEPS 20191, plus de 90% des adultes de plus de 18 ans présentent une surcharge pondérale à Wallis et Futuna. Cette tendance est confirmée par les données sur la consommation alimentaire issues de l’Enquête Budget des familles 2020 (EBF 2020) qui met en évidence une consommation énergétique moyenne d’environ 2700–2800 kcal/personne/jour, avec d’importantes disparités au niveau national. Les ménages les plus aisés ...

WALLIS ET FUTUNA ; ALIMENTATION ; STATISTIQUE ; CONSOMMATION DES MENAGES ; DEPENSE DES MENAGES ; FRUIT ; LEGUME ; PRODUIT ALIMENTAIRE

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- 1 p.
Cote : A101036677-QS5

Les Guadeloupéens consomment plus de légumes et de boissons sucrées que les Hexagonaux. Eux préfèrent et de loin, les produits laitiers et les fruits. C'est en tout cas une des conclusions d'une étude comparative menée en 2017 par la direction de l'alimentation de l'agriculture et de la forêt, l'Agence régionale de santé et l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Des données qui ne permettent pas d'avoir une vision actuelle de la situation.
Les Guadeloupéens consomment plus de légumes et de boissons sucrées que les Hexagonaux. Eux préfèrent et de loin, les produits laitiers et les fruits. C'est en tout cas une des conclusions d'une étude comparative menée en 2017 par la direction de l'alimentation de l'agriculture et de la forêt, l'Agence régionale de santé et l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Des données qui ne permettent pas d'avoir une ...

ALIMENTATION ; PRODUIT ALIMENTAIRE ; GUADELOUPE ; CONSOMMATION DES MENAGES ; FRANCE METROPOLITAINE ; COMPARAISON ; STATISTIQUE ; DECIGEOM ; HYGIENE ALIMENTAIRE ; SANTE PUBLIQUE

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- n° 67 - 9 p.
Cote : A101036676-EG0

Les ménages guadeloupéens allouent en moyenne 22,4 % de leur budget pour l’alimentation en 2017, qui représente ainsi la première part des dépenses d’un ménage. Les habitudes alimentaires des Guadeloupéens diffèrent sur de nombreux points de celles des métropolitains. La consommation de fruits est moins fréquente en Guadeloupe qu’en France métropolitaine, en particulier pour les ménages les plus modestes. Les produits laitiers sont également moins consommés. À l’inverse, les légumes, l’huile et les produits sucrés sont plus consommés en Guadeloupe. La viande est également présente, la volaille étant privilégiée contrairement au bœuf. Par ailleurs, les produits ultra-transformés ont une part importante dans les habitudes alimentaires guadeloupéennes, mais inférieure à celle des métropolitains.
Les ménages guadeloupéens allouent en moyenne 22,4 % de leur budget pour l’alimentation en 2017, qui représente ainsi la première part des dépenses d’un ménage. Les habitudes alimentaires des Guadeloupéens diffèrent sur de nombreux points de celles des métropolitains. La consommation de fruits est moins fréquente en Guadeloupe qu’en France métropolitaine, en particulier pour les ménages les plus modestes. Les produits laitiers sont également ...

GUADELOUPE ; ALIMENTATION ; CONDITION DE VIE ; CONSOMMATION DES MENAGES ; PRODUIT ALIMENTAIRE ; BUDGET DES MENAGES ; FRUIT ; LEGUME ; RIZ ; ALCOOL ; POISSON ; CHLORDECONE ; AGRICULTURE BIOLOGIQUE ; DECIGEOM ; STATISTIQUE

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- 10 p.
Cote : A101036618-QI2

En raison de la fréquence accrue des catastrophes climatiques, de l’élévation du niveau de la mer, des répercussions économiques des confinements et des fermetures des frontières liées à la pandémie de Covid-19, des contraintes de la chaîne d’approvisionnement et des conséquences mondiales de la guerre en Ukraine, il est aujourd’hui encore plus difficile pour les pays insulaires océaniens de conserver des systèmes alimentaires durables et résilients.Cette note se fonde sur les débats qui ont eu lieu lors du webinaire intitulé « Sécurité alimentaire en temps de crise : Connecter le Pacifique et l’Europe », organisé par le programme Océanie de l’Institut français des relations internationales (Ifri), en partenariat avec la Communauté du Pacifique (CPS), le 8 décembre 2022. Les contributions des intervenants y sont donc mises en évidence.
En raison de la fréquence accrue des catastrophes climatiques, de l’élévation du niveau de la mer, des répercussions économiques des confinements et des fermetures des frontières liées à la pandémie de Covid-19, des contraintes de la chaîne d’approvisionnement et des conséquences mondiales de la guerre en Ukraine, il est aujourd’hui encore plus difficile pour les pays insulaires océaniens de conserver des systèmes alimentaires durables et ...

PACIFIQUE ; OCEANIE ; ECONOMIE INSULAIRE ; PRODUIT ALIMENTAIRE ; COOPERATION ; EUROPE ; CLIMAT ; COOPERATION INTERREGIONALE ; ALIMENTATION

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- 10 p.
Cote : A101036614-AG0

Principales caractéristiques de l’agriculture des DOM :
- la production des exploitations agricoles est largement concentrée vers l’agro-exportation en
Martinique, Guadeloupe et à la Réunion et davantage ciblée sur la production alimentaire en
Guyane et à Mayotte.
- Les exploitations domiennes sont majoritairement de petite taille, leur nombre diminue sauf en
Guyane et à Mayotte avec des exploitants vieillissants aux Antilles et à la Réunion.
- Les aides publiques sont concentrées sur les productions d’exportation
Principales pistes d’amélioration de l’autonomie alimentaire
- Augmenter la SAU, mais cette piste est limitée
- Réorienter les aides publiques en privilégiant les aides à la diversification
- Adapter le statut des agriculteurs aux spécificités domiennes
- Modifier la politique de commercialisation des produits alimentaires en favorisant les produits
locaux en accord avec des politiques régionales alimentaires
Principales caractéristiques de l’agriculture des DOM :
- la production des exploitations agricoles est largement concentrée vers l’agro-exportation en
Martinique, Guadeloupe et à la Réunion et davantage ciblée sur la production alimentaire en
Guyane et à Mayotte.
- Les exploitations domiennes sont majoritairement de petite taille, leur nombre diminue sauf en
Guyane et à Mayotte avec des exploitants vieillissants aux Antilles et à la Réunion.
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AGRICULTURE ; PRODUCTION AGRICOLE ; EXPORTATION ; ALIMENTATION ; TERRE AGRICOLE ; POLITIQUE FONCIERE ; PRODUIT ALIMENTAIRE ; POLITIQUE AGRICOLE ; AUTOSUFFISANCE ALIMENTAIRE ; OUTRE MER

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- n° 60 - 4 p.
Cote : A1010347-EG0

Les ménages martiniquais allouent en moyenne 21,6 % de leur budget pour l’alimentation en 2017, qui représente ainsi la première part des dépenses d’un ménage. Les habitudes alimentaires des Martiniquais diffèrent sur de nombreux points de celles des Métropolitains. La consommation de fruits et légumes est moins fréquente en Martinique qu’en France métropolitaine, en particulier pour les ménages les plus modestes. Les produits laitiers sont également moins consommés. À l’inverse, l’huile et les produits sucrés sont plus consommés en Martinique. La viande est également un peu plus présente, la volaille étant privilégiée contrairement au bœuf. Par ailleurs, les produits ultra-transformés ont une part importante dans les habitudes alimentaires martiniquaises, mais inférieure à celle des métropolitains.
Les ménages martiniquais allouent en moyenne 21,6 % de leur budget pour l’alimentation en 2017, qui représente ainsi la première part des dépenses d’un ménage. Les habitudes alimentaires des Martiniquais diffèrent sur de nombreux points de celles des Métropolitains. La consommation de fruits et légumes est moins fréquente en Martinique qu’en France métropolitaine, en particulier pour les ménages les plus modestes. Les produits laitiers sont ...

ALIMENTATION ; CONSOMMATION DES MENAGES ; DEPENSE DES MENAGES ; PRODUIT ALIMENTAIRE ; STATISTIQUE ; MARTINIQUE ; DECIGEOM

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