Documents FAMILLE MONOPARENTALE 57 résultats

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- n° 84 - 5 p.
Cote : N770-QS2
En 2021, 80 800 enfants mineurs vivent au sein de leur famille en Guadeloupe. Plus de la moitié d'entre eux habitent avec un seul de leurs parents, souvent dans une famille monoparentale, ou plus rarement dans une famille recomposée. Dans la plupart des cas, ces enfants vivent avec leur mère. En Guadeloupe, cette situation est vécue avant le premier anniversaire pour la majorité des enfants, contrairement à la France hexagonale où cette proportion est croissante avec l'âge en raison des séparations. La résidence alternée est très marginale en Guadeloupe.[-]
En 2021, 80 800 enfants mineurs vivent au sein de leur famille en Guadeloupe. Plus de la moitié d'entre eux habitent avec un seul de leurs parents, souvent dans une famille monoparentale, ou plus rarement dans une famille recomposée. Dans la plupart des cas, ces enfants vivent avec leur mère. En Guadeloupe, cette situation est vécue avant le premier anniversaire pour la majorité des enfants, contrairement à la France hexagonale où cette ...[+]

GUADELOUPE ; FAMILLE ; FAMILLE MONOPARENTALE ; ENFANT ; MERE ; POPULATION ; INEGALITE SOCIALE ; SITUATION DE FAMILLE ; LOGEMENT ; QUALIFICATION ; DIPLOME

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- 3 p.
Cote : N166-QS2
En Guadeloupe et en Martinique, plus de 40 % des familles sont monoparentales. Dans ces deux départements, où le taux de personnes vivant sous le seuil de pauvreté est deux fois supérieur à la moyenne nationale, ces foyers cumulent les handicaps.

GUADELOUPE ; MARTINIQUE ; FAMILLE MONOPARENTALE ; PAUVRETE ; STATISTIQUE ; DECIGEOM ; ALLOCATION FAMILIALE ; FORMATION PROFESSIONNELLE ; INSERTION PROFESSIONNELLE

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- n° n°20 - 17 p.
Cote : N151-QS5
Dans cet entretien, la sociologue analyse l'évolution des dynamiques et rôles familiaux en Guadeloupe (patriarcat fissuré, matrifocalité, potomitan, viriarcat), d'une part, et les réactions à la loi française de 2002 sur la coparentalité d'autre part. En rappelant que la matrice esclavagiste s'était opposée à la filiation paternelle chez les hommes réduits en esclavage, l'entretien revient sur la façon dont les Guadeloupéen·ne·s sont aujourd'hui invité·e·s par les professionnel·le·s de la famille et de la justice à occuper les fonctions et l'autorité parentales, dans un contexte de promotion de la coparentalité et de rappel à un ordre juridique fondé sur des principes d'égalité entre les sexes. Elle analyse aussi les réticences à cette loi française au nom de stratégies économiques liées à la précarité des parents et de particularités culturelles locales. Elle présente les adaptations ou créolisations des dispositifs, mises en œuvre par les agents des institutions afin de concilier les normes légales et les normes pratiques communautaires.[-]
Dans cet entretien, la sociologue analyse l'évolution des dynamiques et rôles familiaux en Guadeloupe (patriarcat fissuré, matrifocalité, potomitan, viriarcat), d'une part, et les réactions à la loi française de 2002 sur la coparentalité d'autre part. En rappelant que la matrice esclavagiste s'était opposée à la filiation paternelle chez les hommes réduits en esclavage, l'entretien revient sur la façon dont les Guadeloupéen·ne·s sont aujourd'hui ...[+]

FAMILLE ; ORIGINAIRE D'OUTRE MER ; GUADELOUPE ; FECONDITE ; ENFANT ; PARENT ; ANTILLES FRANCAISES ; AUTORITE PARENTALE ; FEMME ; CONDITION FEMININE ; MERE ; DROIT DE LA FAMILLE ; FAMILLE MONOPARENTALE

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- n° 870 - 335 p.
Cote : P1115-QS1
La délégation sénatoriale aux outre-mer (DSOM) et la délégation aux droits des femmes (DDF) du Sénat ont décidé de croiser leurs regards et expertises en menant en commun des travaux sur la parentalité dans les outr mer. Après plus de cinq mois de travaux, près de 120 personnes auditionnées et un déplacement très dense effectué successivement en Guadeloupe, à Saint Martin et à Saint Barthélemy, qui leur ont permis de prendre la mesure des difficultés et des carences dans ce domaine, ils formulent 20 recommandations en faveur de politiques de soutien à la parentalité adaptées aux spécificités ultramarines. Parmi celles-ci, figure une meilleure connaissance des familles et de leurs besoins, sans stigmatisation et avec une approche territorialisée, véritable préalable aux mesures de lutte contre la précarité et à l'amélioration des prestations servies.
- Parentalité dans les Outre-mer : des préconisations du Sénat pour un meilleur accompagnement - Guadeloupe la 1ère, 12 juillet 2023
- Parentalité : un rapport sénatorial pointe de graves inégalités en Outre-Mer, RCI, 11 juillet 2023
- Parentalité dans les Outre-mer : les actions de soutien à Mayotte sont "insuffisantes voire défaillantes" - LINFO.re, 25 juillet 2023
- La synthèse du rapport d'information du Sénat[-]
La délégation sénatoriale aux outre-mer (DSOM) et la délégation aux droits des femmes (DDF) du Sénat ont décidé de croiser leurs regards et expertises en menant en commun des travaux sur la parentalité dans les outr mer. Après plus de cinq mois de travaux, près de 120 personnes auditionnées et un déplacement très dense effectué successivement en Guadeloupe, à Saint Martin et à Saint Barthélemy, qui leur ont permis de prendre la mesure des ...[+]

PARENT ; FAMILLE ; OUTRE MER ; POLITIQUE PUBLIQUE ; FAMILLE MONOPARENTALE ; PRESTATION FAMILIALE ; POLITIQUE DE LA FAMILLE ; NAISSANCE ; STATISTIQUE ; DECIGEOM ; ILLETTRISME ; INTERRUPTION VOLONTAIRE DE GROSSESSE ; ADOPTION D'ENFANT

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- n° n°3 - 48 p.
Cote : A100966-QS5
À Mayotte, les mères isolées sont nombreuses, et plus de neuf sur dix d'entre elles vivent dans une grande précarité.
Les jeunes femmes nées à Mayotte rattrapent leur retard en matière de scolarisation : leur niveau de formation est plus élevé que celui de leurs aînées, et elles sont désormais plus diplômées que les jeunes hommes natifs. Mais ce n'est pas le cas des jeunes femmes nées à l'étranger, encore peu diplômées. Malgré des progrès notables, les femmes accèdent encore peu à l'emploi : en 2019, seules 27 % de celles de 15 à 64 ans en ont un. Ce taux d'emploi est deux fois plus faible que celui des femmes vivant dans l'Hexagone, et 1,5 fois plus faible que celui des hommes résidant à Mayotte. Avec 4,6 enfants par femme en 2019, la fécondité à Mayotte est la plus élevée de France. La santé des femmes est fragile, avec un faible accès aux soins et très peu d'activité physique régulière.
Les violences qu'elles subissent sont presque deux fois plus fréquentes que dans l'Hexagone, et les deux tiers des habitantes éprouvent un sentiment d'insécurité à leur domicile ou dans leur village.
La danse et le chant, au travers du debaa ou du m'biwi, occupent une place importante dans les activités culturelles des femmes vivant à Mayotte.[-]
À Mayotte, les mères isolées sont nombreuses, et plus de neuf sur dix d'entre elles vivent dans une grande précarité.
Les jeunes femmes nées à Mayotte rattrapent leur retard en matière de scolarisation : leur niveau de formation est plus élevé que celui de leurs aînées, et elles sont désormais plus diplômées que les jeunes hommes natifs. Mais ce n'est pas le cas des jeunes femmes nées à l'étranger, encore peu diplômées. Malgré des progrès ...[+]

MAYOTTE ; STATISTIQUE ; FAMILLE MONOPARENTALE ; FORMATION ; EMPLOI ; SANTE ; FEMME ; FEMME SEULE ; DROITS DE LA FEMME ; EMPLOI FEMININ ; TRAVAIL FEMININ ; EMPLOI PRECAIRE ; VIOLENCE ; FEMINICIDE ; MATERNITE ; SANTE

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- n° 270 - 6 p.
Cote : A100755-QS5
La grande pauvreté est 5 à 15 fois plus fréquente dans les départements d'outre-mer (DOM) qu'en France métropolitaine. Elle y est aussi beaucoup plus intense. Dans les 4 DOM historiques (Guadeloupe, Martinique, Guyane et La Réunion), les familles monoparentales, les personnes sans emploi ainsi que les retraités sont particulièrement touchés. Outre sa dimension monétaire, la caractéristique majeure de la grande pauvreté par rapport à des situations moins aiguës de pauvreté est la fréquence de privations, y compris pour des besoins fondamentaux comme la nourriture ou l'habillement pour 4 à 8 personnes sur 10 en situation de grande pauvreté. À l'exception de la Guyane, le renoncement à la voiture est moins fréquent qu'en France métropolitaine. [-]
La grande pauvreté est 5 à 15 fois plus fréquente dans les départements d'outre-mer (DOM) qu'en France métropolitaine. Elle y est aussi beaucoup plus intense. Dans les 4 DOM historiques (Guadeloupe, Martinique, Guyane et La Réunion), les familles monoparentales, les personnes sans emploi ainsi que les retraités sont particulièrement touchés. Outre sa dimension monétaire, la caractéristique majeure de la grande pauvreté par rapport à des ...[+]

OUTRE MER ; STATISTIQUE ; DECIGEOM ; PAUVRETE ; CHOMAGE ; FAMILLE MONOPARENTALE ; PERSONNE RETRAITEE ; INEGALITE SOCIALE ; INSERTION SOCIALE ; LA REUNION ; MARTINIQUE ; GUADELOUPE ; GUYANE ; QUESTIONS SOCIALES ; DEPARTEMENT D'OUTRE MER

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- n° 219 - 2 p.
Cote : A9954-QS5
En 2019, 37 % de la population réunionnaise vit sous le seuil de pauvreté métropolitain. Malgré une nette diminution depuis 2007, le taux de pauvreté est 2,5 fois plus élevé qu'en France métropolitaine. Les enfants mineurs sont davantage exposés : 46 % d'entre eux vivent dans un ménage pauvre. Cette part est plus élevée encore dans les familles monoparentales et les familles nombreuses. La pauvreté des mineurs, comme de l'ensemble de la population, est plus prégnante dans les petites communes rurales ou certaines communes plus urbanisées, comme Le Port.[-]
En 2019, 37 % de la population réunionnaise vit sous le seuil de pauvreté métropolitain. Malgré une nette diminution depuis 2007, le taux de pauvreté est 2,5 fois plus élevé qu'en France métropolitaine. Les enfants mineurs sont davantage exposés : 46 % d'entre eux vivent dans un ménage pauvre. Cette part est plus élevée encore dans les familles monoparentales et les familles nombreuses. La pauvreté des mineurs, comme de l'ensemble de la ...[+]

LA REUNION ; PAUVRETE ; STATISTIQUE ; DECIGEOM ; NIVEAU DE VIE ; MINEUR ; REVENU DES MENAGES ; FAMILLE MONOPARENTALE ; AIDE SOCIALE

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- n° 43 - 4 p.
Cote : A9788-QS0
En 2018, en Martinique, 38 % de la population est en situation de privation matérielle et sociale. Ne pas partir en vacances et ne pas pouvoir faire face à une dépense imprévue de l'ordre de 1 000 € sont les privations les plus fréquentes. La privation touche plus souvent les personnes non diplômées, sans emploi et les familles monoparentales. Elle continue de frapper davantage les jeunes. Les personnes nées dans un DOM sont plus exposées à la privation que les celles nées en France métropolitaine. [-]
En 2018, en Martinique, 38 % de la population est en situation de privation matérielle et sociale. Ne pas partir en vacances et ne pas pouvoir faire face à une dépense imprévue de l'ordre de 1 000 € sont les privations les plus fréquentes. La privation touche plus souvent les personnes non diplômées, sans emploi et les familles monoparentales. Elle continue de frapper davantage les jeunes. Les personnes nées dans un DOM sont plus exposées à la ...[+]

MARTINIQUE ; STATISTIQUE ; DECIGEOM ; SITUATION SOCIALE ; NIVEAU DE VIE ; FAMILLE MONOPARENTALE ; QUESTIONS SOCIALES ; EXCLUSION SOCIALE ; PAUVRETE ; CONDITION DE VIE

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- n° 49 - 4 p.
Cote : A9786-QS0
En 2018, la moitié de la population guyanaise est en situation de privation. Sept Guyanais sur dix déclarent ne pas pouvoir faire face à des dépenses imprévues de l'ordre de 1 000 euros. Trois personnes sur dix déclarent ne pas pouvoir s'acheter une voiture. La privation touche davantage les personnes sans emploi, faiblement qualifiées, les familles monoparentales et les personnes logées à titre gratuit. Les personnes nées à l'étranger sont plus exposées à la privation que les natifs des DOM. [-]
En 2018, la moitié de la population guyanaise est en situation de privation. Sept Guyanais sur dix déclarent ne pas pouvoir faire face à des dépenses imprévues de l'ordre de 1 000 euros. Trois personnes sur dix déclarent ne pas pouvoir s'acheter une voiture. La privation touche davantage les personnes sans emploi, faiblement qualifiées, les familles monoparentales et les personnes logées à titre gratuit. Les personnes nées à l'étranger sont plus ...[+]

GUYANE ; STATISTIQUE ; DECIGEOM ; SITUATION SOCIALE ; NIVEAU DE VIE ; FAMILLE MONOPARENTALE ; QUESTIONS SOCIALES ; EXCLUSION SOCIALE ; PAUVRETE ; CONDITION DE VIE

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- n° 46 - 4 p.
Cote : A9780-QS0
En 2018, 41 % de la population en Guadeloupe est en situation de privation matérielle et sociale. Sept Guadeloupéens sur dix déclarent ne pas pouvoir faire face à des dépenses imprévues. La privation touche davantage les personnes sans emploi, faiblement qualifiées et les familles monoparentales. Les personnes nées dans un DOM sont plus exposées à la privation que les personnes nées en France métropolitaine.

GUADELOUPE ; STATISTIQUE ; DECIGEOM ; SITUATION SOCIALE ; FAMILLE MONOPARENTALE ; CHOMAGE ; QUESTIONS SOCIALES ; EXCLUSION SOCIALE ; PAUVRETE ; CONDITION DE VIE

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