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Documents  France. Institut de veille sanitaire | enregistrements trouvés : 40

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- 33 p.
Cote : R0294-QS4


Les efforts importants de vaccination menés par la plupart des pays des Amériques ont permis d’aboutir au contrôle de la circulation du virus endémique de la rougeole. À ce jour, la Guyane reste le seul territoire d’Amérique du Sud “en dehors” du plan régional d’élimination de la rougeole promu par l’Organisation mondiale de la santé. En janvier 2003, suite à la survenue d’un cas suspect de rougeole à la frontière entre la Guyane et le Brésil, l’Organisation panaméricaine de la santé (OPS) a demandé aux autorités sanitaires de Guyane de documenter rapidement l’existence (ou non) d’une circulation du virus rougeoleux en Guyane et d’évaluer l’effort restant à fournir par les services de vaccination pour généraliser une couverture vaccinale contre la rougeole supérieure ou égale à 95 % sur l’ensemble du territoire. D’autre part, la survenue de deux épidémies de coqueluche successives en mars et décembre 2001 et le constat d’une couverture vaccinale très insuffisante par 4 doses de vaccin anti-coquelucheux sur tout le territoire ont amené à évaluer également les activités de vaccination contre la coqueluche.
Les résultats de cette enquête ont ainsi montré que la plupart des services de santé ne parviennent pas à maintenir une couverture vaccinale suffisante pour interrompre la circulation du virus rougeoleux. De même, la vaccination par 4 doses de coqueluche reste très insuffisante malgré les campagnes de vaccination menées en 2002. Ainsi, le risque de survenue d’épidémies, souvent mortelles pour les nourrissons, reste élevé en Guyane.




Les efforts importants de vaccination menés par la plupart des pays des Amériques ont permis d’aboutir au contrôle de la circulation du virus endémique de la rougeole. À ce jour, la Guyane reste le seul territoire d’Amérique du Sud “en dehors” du plan régional d’élimination de la rougeole promu par l’Organisation mondiale de la santé. En janvier 2003, suite à la survenue d’un cas suspect de rougeole à la frontière entre la Guyane et le Brésil, ...

GUYANE ; SANTE PUBLIQUE ; VACCINATION ; VACCIN ; ENFANT ; ADOLESCENT

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- 10 p.
Cote : R0300-QS4


Suite à la survenue d’un cas d’hépatite A mortelle chez un enfant de 12 ans, la DSDS de Guyane a réalisé une investigation épidémiologique et environnementale, afin de dépister un éventuel phénomène épidémique, de détecter une situation à risque de transmission secondaire et de proposer des recommandations pour la prévention des infections par le VHA adaptées au contexte de la Guyane.

La recherche d’autres cas d’hépatite A a été conduite auprès des laboratoires privés et hospitaliers de l’île de Cayenne. Des enquêtes environnementales ont été réalisées au domicile du cas et dans les deux villages où résident les cas ayant un lien avec le cas signalé.






Suite à la survenue d’un cas d’hépatite A mortelle chez un enfant de 12 ans, la DSDS de Guyane a réalisé une investigation épidémiologique et environnementale, afin de dépister un éventuel phénomène épidémique, de détecter une situation à risque de transmission secondaire et de proposer des recommandations pour la prévention des infections par le VHA adaptées au contexte de la Guyane.

La recherche d’autres cas d’hépatite A a été conduite ...

GUYANE ; SANTE PUBLIQUE ; VACCINATION ; VACCIN ; ENFANT ; ADOLESCENT

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- 84 p.
Cote : R0232-QS4


- La croissance démographique rapide, les mouvements de population importants et les difficultés d'accès aux soins constatées en Guyane rendent indispensables l'évaluation régulière de la couverture vaccinale et l'adaptation permanente des stratégies vaccinales.
Dans les communes du littoral, une enquête par sondage en grappe, s'inspirant de la méthode établie par l'OMS, a été réalisée du 9 au 20 octobre 2000 dans les tranches d'âge 2-3 ans, 7-8 ans, 12-15 ans pour tous les antigènes du calendrier vaccinal et chez les plus de 15 ans pour la fièvre jaune. Dans les communes de l'intérieur où les effectifs de la population sont trop faibles pour envisager cette approche, une évaluation exhaustive en milieu scolaire a été réalisée auprès des enfants âgés de 7 à 8 ans les semaines suivantes. Les résultats ont été systématiquement comparés à ceux de la dernière enquête réalisée en 1991 afin de mesurer l'évolution de la couverture vaccinale. Dans la zone littorale, une amélioration a été observée uniquement pour la couverture vaccinale à 24 mois par le vaccin anti-amarile qui est passée de 34% à 61% en 10 ans.. La couverture vaccinale à 24 mois contre la Rougeole, les Oreillons et la Rubéole se maintient inférieure à 70% depuis 10 ans. La vaccination par 4 injections DTCoq-Polio est retrouvée basse, 1 enfant sur 2 seulement étant correctement vacciné à 24 mois, 61% à 12 ans. La vaccination précoce par le BCG, en constante diminution, est très insuffisante, 10% seulement des enfants étant vaccinés avant 1 mois. Les résultats retrouvés dans toute la région du fleuve Maroni, sont plus mauvais pour l'ensemble des vaccinations. Les couvertures vaccinale à 24 mois varient de 45% à 72% pour le BCG, de 21% à 33% pour 4 doses de coqueluche, de 46% à 61% pour la Rougeole et de 3% à 38% pour la Fièvre Jaune.



- La croissance démographique rapide, les mouvements de population importants et les difficultés d'accès aux soins constatées en Guyane rendent indispensables l'évaluation régulière de la couverture vaccinale et l'adaptation permanente des stratégies vaccinales.
Dans les communes du littoral, une enquête par sondage en grappe, s'inspirant de la méthode établie par l'OMS, a été réalisée du 9 au 20 octobre 2000 dans les tranches d'âge 2-3 ans, ...

GUYANE ; SANTE PUBLIQUE ; VACCINATION ; VACCIN ; ENFANT ; ADOLESCENT

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- 99 p.
Cote : R0856-QS4

La Martinique et la Guadeloupe subissent encore aujourd’hui une pollution de l’environnement par le chlordécone, un insecticide organochloré employé de 1973 jusqu’en 1993 dans les bananeraies. La persistance du chlordécone dans les sols consacrés à la culture de la banane, sa présence dans les eaux de rivières et les sédiments, la contamination de certaines espèces de la faune sauvage et de la chaîne alimentaire soulèvent des inquiétudes sanitaires en raison de sa toxicité.
L’action 16 du Plan d’action chlordécone 2008-2010 demandait à l’Institut de veille sanitaire et à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale de réunir un comité scientifique international pour proposer des recherches complémentaires et des mesures de renforcement de la surveillance de l’impact sanitaire des pesticides.

Synthèse du rapport également en pièce-jointe
La Martinique et la Guadeloupe subissent encore aujourd’hui une pollution de l’environnement par le chlordécone, un insecticide organochloré employé de 1973 jusqu’en 1993 dans les bananeraies. La persistance du chlordécone dans les sols consacrés à la culture de la banane, sa présence dans les eaux de rivières et les sédiments, la contamination de certaines espèces de la faune sauvage et de la chaîne alimentaire soulèvent des inquiétudes ...

MARTINIQUE ; GUADELOUPE ; POLLUTION ; PESTICIDE ; CHLORDECONE ; SANTE PUBLIQUE ; POLLUTION DE L'EAU

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- n° n°1/2015 - 3 p.
Cote : A6004-QS4

Dans les secteurs de Kourou, de l’Ouest Guyanais, du Maroni (Maripasoula, Papaïchton, Grand Santi et Apatou) et sur la commune de Matoury on observe une augmentation du nombre de cas cliniquement évocateurs de chikungunya. A Cayenne et Rémire une stabilisation de cet indicateur est enregistrée.

GUYANE ; SANTE PUBLIQUE ; CHIKUNGUNYA ; EPIDEMIE

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- n° n°01/2015 - 6 p.
Cote : A6005-QS4

A Saint-Martin, l’augmentation du nombre de cas cliniquement évocateurs observée début décembre ne s’est pas poursuivie. Saint-Martin est actuellement en phase 2 du Psage*.
A Saint-Barthélemy, la transmission virale reste soutenue depuis la reprise épidémique de début novembre 2014.
En Martinique, la tendance à la baisse se poursuit. La Cellule de gestion du 8 janvier a acté un passage en phase 4 du Psage, fin d’épidémie.
En Guadeloupe, l’épidémie est terminée depuis la troisième semaine de novembre.
A Saint-Martin, l’augmentation du nombre de cas cliniquement évocateurs observée début décembre ne s’est pas poursuivie. Saint-Martin est actuellement en phase 2 du Psage*.
A Saint-Barthélemy, la transmission virale reste soutenue depuis la reprise épidémique de début novembre 2014.
En Martinique, la tendance à la baisse se poursuit. La Cellule de gestion du 8 janvier a acté un passage en phase 4 du Psage, fin d’épidémie.
En Guadeloupe, ...

CHIKUNGUNYA ; SANTE PUBLIQUE ; EPIDEMIE ; GUADELOUPE ; MARTINIQUE ; SAINT BARTHELEMY ; SAINT MARTIN

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- 56 p.
Cote : R1322-QS4

La leptospirose, zoonose bactérienne affectant particulièrement les régions tropicales, est l’une des maladies négligées des pays du Sud, en particulier en Amérique latine et dans la Caraïbe : son incidence réelle et sa létalité sont incertaines, cette dernière étant probablement élevée.

SANTE PUBLIQUE ; ANTILLES FRANCAISES ; MALADIE ; GUADELOUPE ; MARTINIQUE ; STATISTIQUE

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- 47 p.
Cote : R0233-QS4


- Les maladies infectieuses et parasitaires aux Antilles, et plus encore en Guyane, présentent des caractéristiques très différentes de la France métropolitaine, tant d'un point de vue qualitatif, du fait d'un environnement tropical et des micro organismes en cause, que quantitatif, le poids de ces pathologies en terme de morbidité et de mortalité étant très supérieur à ce qu'il peut être en métropole.
Afin de hiérarchiser les problèmes infectieux majeurs dans la région Antilles Guyane une consultation écrite, s'inspirant de la méthode de Delphi, a été réalisée auprès d'un panel de professionnels de santé de la région. L'approche utilisée a permis de quantifier la représentation actuelle des maladies transmissibles qu'ont les professionnels de santé exerçant aux Antilles françaises et en Guyane.
L'objectif de cette étude était de compléter les indicateurs habituels de mortalité et de morbidité afin de procurer une aide supplémentaire pour le choix de priorités de surveillance mais aussi de programmes régionaux de contrôle et de prévention.
Les résultats montrent sans équivoque l'importance que représentent des maladies inexistantes en métropole comme les maladies à transmission vectorielle (Dengue, paludisme, fièvre jaune), ou des maladies dont la gravité et la fréquence ont été oubliées comme les maladies entériques, ou encore des maladies qui présentent des aspects épidémiologiques particuliers comme la leptospirose aux Antilles ou la fièvre Q en Guyane.
Une meilleure prise en considération par les autorités sanitaires de ce problème de santé publique spécifique aux Départements d'Outre Mer reste indispensable pour permettre la mise en place dans chacun des départements de systèmes pérennes et réactifs de surveillance épidémiologique et d'intervention, indispensables pour lutter efficacement contre ces maladies.
- Document numérisé

- Les maladies infectieuses et parasitaires aux Antilles, et plus encore en Guyane, présentent des caractéristiques très différentes de la France métropolitaine, tant d'un point de vue qualitatif, du fait d'un environnement tropical et des micro organismes en cause, que quantitatif, le poids de ces pathologies en terme de morbidité et de mortalité étant très supérieur à ce qu'il peut être en métropole.
Afin de hiérarchiser les problèmes ...

GUYANE ; GUADELOUPE ; MARTINIQUE ; SANTE PUBLIQUE ; DENGUE ; MALADIE CONTAGIEUSE ; SYNDROME IMMUNODEFICITAIRE ACQUIS ; MORTALITE ; PREVENTION

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