UH
- n° n° 944 - 14 p.
Cote : A9583-QS5
“ Une à deux personnes par jour ”. Chaque jour, une à deux victimes d’agression sexuelle sont admises aux urgences de Mamoudzou. Soit plusieurs centaines par an. Parmi elles, beaucoup de femmes, beaucoup d’enfants. Si aujourd’hui encore, les données des associations, des forces de l’ordre et des soignants ne permettent pas d’être mises en commun, une vérité se dessine déjà : les atteintes sexuelles sont invisibilisés, passées sous silence, cachées de l’opprobre, elles ne sont pas moins une réalité. Et malgré des difficultés structurelles, sociales et culturelles, les choses avancent. Petit à petit, la parole se libère. La honte change de camps. Mais le chemin promet encore d’être long.
“ Une à deux personnes par jour ”. Chaque jour, une à deux victimes d’agression sexuelle sont admises aux urgences de Mamoudzou. Soit plusieurs centaines par an. Parmi elles, beaucoup de femmes, beaucoup d’enfants. Si aujourd’hui encore, les données des associations, des forces de l’ordre et des soignants ne permettent pas d’être mises en commun, une vérité se dessine déjà : les atteintes sexuelles sont invisibilisés, passées sous silence, ...
MAYOTTE ; VIOL ; VIOLENCE ; ABUS SEXUEL ; FEMME ; DROITS DE LA FEMME
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