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UH
- 2 p.
Cote : N57-QJ7
Plus de 200 000 personnes sont redevenues françaises depuis les années 1960 après avoir perdu cette nationalité, en particulier lors de l’indépendance des territoires colonisés, selon une étude inédite de l’Institut national d’études démographiques (INED) qui relève que le processus touche à sa fin.
- Plus de 200 000 personnes sont redevenues françaises après avoir perdu la nationalité depuis la décolonisation, Franceinfo, 28 février 2...
NATIONALITE FRANCAISE ; DROIT CIVIL ; DECOLONISATION ; ETAT CIVIL ; CITOYENNETE
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UH
- 1 p.
Cote : N42-QI3
Au moment où la proposition du ministre Darmanin agite les passions, on s’interroge sur la pratique du ‘‘droit du sol’’ à Saint-Laurent, qui abrite une très prolifique maternité. Précisions…
- Le plan blanc déclenché au CHOG : le nombre de patientes en service maternité explose - Guyane la 1ère, 17 novembre 2020
- Didier Guidoni part, laissant le CHOG en plein essor avec vision et innovation. - Guyane la 1ère, 20 février 2024...
GUYANE ; SURINAM ; SANTE PUBLIQUE ; HOPITAL ; NAISSANCE ; DROIT DES ETRANGERS ; ETAT CIVIL ; NATIONALITE FRANCAISE
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- n° 11 - 2 p.
Cote : A10103669341-QJ6
Par un arrêt rendu en date du 27 septembre 2023, la chambre criminelle précise que l’auteur d’une reconnaissance de paternité qui sait ne pas être le père biologique de l’enfant ne commet pas l’infraction de faux, dès lors qu’une telle reconnaissance n’atteste en elle-même aucune réalité biologique. Aussi, dans la même affaire, elle rappelle les exigences que doit revêtir la provocation pour être punissable au titre de l’article 227-12 du Code pénal.
Par un arrêt rendu en date du 27 septembre 2023, la chambre criminelle précise que l’auteur d’une reconnaissance de paternité qui sait ne pas être le père biologique de l’enfant ne commet pas l’infraction de faux, dès lors qu’une telle reconnaissance n’atteste en elle-même aucune réalité biologique. Aussi, dans la même affaire, elle rappelle les exigences que doit revêtir la provocation pour être punissable au titre de l’article 227-12 du Code ...
COUR DE CASSATION ; POLYNESIE FRANCAISE ; DROIT PENAL ; FAMILLE ; ADOPTION D'ENFANT ; ETAT CIVIL ; CODE PENAL ; CODE CIVIL
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UH
- n° 18.19 - 528 p.
Cote : R2114-QJ9
Le présent rapport sur « la place de la coutume à Mayotte » restitue les travaux menés de 2019 à 2022 par une équipe pluridisciplinaire de chercheurs et de praticiens (juristes, anthropologues, sociologues, historiens), à partir de l’article 75 de la Constitution qui permet aux Mahorais, en théorie, d’être régis par la coutume pour toutes les questions relevant de leur statut personnel. La coutume mahoraise est elle-même entendue ici dans un sens large, le statut personnel mahorais puisant à deux sources : le Minhâdj Al Talibin et les usages et pratiques traditionnels africains et malgaches. Si le processus de départementalisation n’a pas remis en cause ce principe, la volonté « d’accompagner » l’évolution statutaire de Mayotte a conduit le législateur à diverses adaptations vidant peu à peu le domaine de la coutume locale de son contenu, notamment pour le mettre en conformité avec les droits et libertés fondamentaux et à transférer les compétences juridictionnelles et notariales des cadis, autorités de « droit local », vers les juges et notaires dits « de droit commun ». L’équipe a donc pris soin d’étudier de quelle façon ces changements sont aujourd’hui mis en pratique par les justiciables et par les praticiens du droit. L’étude a pour ambition de mieux comprendre quel(s) rôle(s) doivent jouer les représentants de l’État et certains acteurs de la société civile.
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Présentation de ce rapport sur le site de l'Université de la Nouvelle-Calédonie-
Note de synthèse
Le présent rapport sur « la place de la coutume à Mayotte » restitue les travaux menés de 2019 à 2022 par une équipe pluridisciplinaire de chercheurs et de praticiens (juristes, anthropologues, sociologues, historiens), à partir de l’article 75 de la Constitution qui permet aux Mahorais, en théorie, d’être régis par la coutume pour toutes les questions relevant de leur statut personnel. La coutume mahoraise est elle-même entendue ici dans un ...
MAYOTTE ; STATUT PERSONNEL ; DROIT COUTUMIER ; DROIT DES MINORITES ET PEUPLES AUTOCHTONES ; ARTICLE 75 ; CADI ; JUSTICE CADIALE ; PROBLEME FONCIER ; ETAT CIVIL ; JURIDICTION DE DROIT LOCAL ; DROIT CIVIL ; DROIT COMMUN ; MARIAGE ; DIVORCE ; ADOPTION D'ENFANT ; LAICITE ; LIBERTES PUBLIQUES ; NOTAIRE
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