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Documents  Sabinot Catherine | enregistrements trouvés : 2

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vol. Volume 16 - n° n°3 - 32 p.
Cote : A7266-CA2

Le dernier tsunami meurtrier ayant impacté la Nouvelle-Calédonie eut lieu en mars 1875. Le sud de l’île de Lifou (île Loyauté) fut le plus concerné. Les tribus de Luengoni, Joj, Mu et Ahmelewedr (district de Lösi) concentrent les dégâts et victimes de la catastrophe. La nature de l’aléa sismique et tsunami en Nouvelle-Calédonie est bien connue, pourtant aucune étude ne s’est intéressée aux conditions de réalisation de cette catastrophe (1875), c’est-à-dire aux facteurs de vulnérabilités internes pouvant en expliquer l’ampleur. Au travers de cet article, nous souhaitons atteindre deux objectifs : d’une part, apporter un éclairage sur la situation de la Nouvelle-Calédonie face au risque tsunami et d’autre part, proposer des pistes de réflexion sur ce que pourrait être une politique de prévention territorialisée, reposant sur la prise en compte des concepts de vulnérabilité et de résilience, politique qui serait adaptée au contexte culturel local et répondrait aux enjeux humains posés par ce phénomène.
Le dernier tsunami meurtrier ayant impacté la Nouvelle-Calédonie eut lieu en mars 1875. Le sud de l’île de Lifou (île Loyauté) fut le plus concerné. Les tribus de Luengoni, Joj, Mu et Ahmelewedr (district de Lösi) concentrent les dégâts et victimes de la catastrophe. La nature de l’aléa sismique et tsunami en Nouvelle-Calédonie est bien connue, pourtant aucune étude ne s’est intéressée aux conditions de réalisation de cette catastrophe (1875), ...

TSUNAMI ; CATASTROPHE NATURELLE ; NOUVELLE CALEDONIE ; CANAQUE ; HISTOIRE ; SIECLE XIX ; STRUCTURE COUTUMIERE

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- n° n°2-3 - 23 p.
Cote : A6625-CA2

Dans les années 90, Oiapoque, ville brésilienne frontalière de la Guyane française, a connu une importante vague de migration de familles de pêcheurs venant du village de Taperebá, situé à l’embouchure du fleuve Cassiporé. En effet, la population de Taperebá a été contrainte d’abandonner les terres sur lesquelles elle habitait, suite à l'imposition d'un parc naturel : le Cabo Orange. Cette migration a conduit les Taperebenses à abandonner leur système économique basé sur l’autoproduction et le troc, et à s’adapter au mode de vie urbain, tant au niveau de l’habitat, des activités que des relations sociales. C’est ce processus que nous proposons de décrire et d’analyser dans cet article.
Dans les années 90, Oiapoque, ville brésilienne frontalière de la Guyane française, a connu une importante vague de migration de familles de pêcheurs venant du village de Taperebá, situé à l’embouchure du fleuve Cassiporé. En effet, la population de Taperebá a été contrainte d’abandonner les terres sur lesquelles elle habitait, suite à l'imposition d'un parc naturel : le Cabo Orange. Cette migration a conduit les Taperebenses à abandonner leur ...

BRESIL ; GUYANE ; AMAPA ; MARIN PECHEUR ; PARC NATUREL ; MIGRATION ; CONDITION DE VIE ; ETHNOLOGIE ; BIODIVERSITE

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