Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
UH
- 16 p.
Cote : A101036693780-VP5
En Nouvelle-Calédonie, en mai 1998, la France a effectué un geste fort au point de vue de son passé colonial : la reconnaissance du « fait colonial » et la nécessité d’une décolonisation. La France reconnaît ainsi la souveraineté du peuple kanak, à partager cependant avec les communautés calédoniennes. La France est prête à transférer sa souveraineté à la Nouvelle-Calédonie. Les conflits autour de l’indépendance semblent résolus par ce pacte politique signé à Nouméa, chef-lieu de la Nouvelle-Calédonie, entre l’État français, le FLNKS (Front de libération nationale kanak socialiste) et le RPCR (Rassemblement pour la Nouvelle-Calédonie dans la République française). L’article propose d’analyser cette négociation politique.
En Nouvelle-Calédonie, en mai 1998, la France a effectué un geste fort au point de vue de son passé colonial : la reconnaissance du « fait colonial » et la nécessité d’une décolonisation. La France reconnaît ainsi la souveraineté du peuple kanak, à partager cependant avec les communautés calédoniennes. La France est prête à transférer sa souveraineté à la Nouvelle-Calédonie. Les conflits autour de l’indépendance semblent résolus par ce pacte ...
ACCORD DE NOUMEA ; SOUVERAINETE NATIONALE ; NOUVELLE CALEDONIE ; FRONT DE LIBERATION NATIONALE KANAK ET SOCIALISTE ; VIE POLITIQUE LOCALE ; MOUVEMENT INDEPENDANTISTE ; CANAQUE
... Lire [+]
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.