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UH
vol. Volume 42 - n° n°82-83 - 11 p.
Cote : A5505-SC4
La seule véritable tentative de création de grandes plantations en Nouvelle-Calédonie correspond à la phase d'immigration Bourbonnaise, entre 1860 et 1880. Il s'agissait d'implanter des «habitations» sucrières et des moulins en vue d'exporter du sucre vers l'Australie. Entre 1865 et 1875, pendant dix ans, la canne s'étend et les sucreries se multiplient dans le sud-ouest de la Grande Terre. De grandes exploitations se constituent avec une main-d'œuvre indienne importée de La Réunion. Mais les aléas climatiques et pédologiques, l'insuffisance de main-d'œuvre et de capitaux, la concurrence de l'élevage, contrarient l'essor de cette spéculation, à laquelle l'insurrection de 1878 porte un coup fatal. Désormais, jusqu'à la fin du siècle, la canne ne sera plus qu'une des cultures des concessionnaires pénaux et sa production entrera dans l'autarcie du Bagne calédonien.
La seule véritable tentative de création de grandes plantations en Nouvelle-Calédonie correspond à la phase d'immigration Bourbonnaise, entre 1860 et 1880. Il s'agissait d'implanter des «habitations» sucrières et des moulins en vue d'exporter du sucre vers l'Australie. Entre 1865 et 1875, pendant dix ans, la canne s'étend et les sucreries se multiplient dans le sud-ouest de la Grande Terre. De grandes exploitations se constituent avec une ...
NOUVELLE CALEDONIE ; SIECLE XIX ; CANNE A SUCRE ; AGRICULTURE ; INDUSTRIE SUCRIERE
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UH
- n° n° 136-137 - 13 p.
Cote : A5988-SC4
Lors de l’insurrection kanak de 1878 en Nouvelle Calédonie, les Canala ont participé aux opérations de répression comme auxiliaires mélanésiens de l’armée. Le discours officiel présente ces guerriers et leurs chefs comme de «?fidèles alliés?». La réalité apparaît plus complexe. Au terme d’un examen critique des sources connues, l’auteur développe la thèse que les Canala étaient non seulement au courant des préparatifs de la révolte mais qu’ils en sont peut-être à l’origine. S’ils n’y ont pas pris part pour se retourner au dernier moment contre les insurgés, c’est à la suite d’une série d’imprévus qui ont contrarié l’exécution de la stratégie initialement décidée. Leur concours, qui fut militairement décisif, relève d’une confrontation de hasards événementiels et de pragmatisme politique. Mais les Canala n’ont été ni ces «alliés» ni ces «traîtres» que suggèrent les schémas manichéens.
Lors de l’insurrection kanak de 1878 en Nouvelle Calédonie, les Canala ont participé aux opérations de répression comme auxiliaires mélanésiens de l’armée. Le discours officiel présente ces guerriers et leurs chefs comme de «?fidèles alliés?». La réalité apparaît plus complexe. Au terme d’un examen critique des sources connues, l’auteur développe la thèse que les Canala étaient non seulement au courant des préparatifs de la révolte mais qu’ils ...
NOUVELLE CALEDONIE ; HISTOIRE ; SIECLE XIX ; REBELLION ; CANAQUE ; COLONISATION ; CHEFFERIE ; STRUCTURE COUTUMIERE ; CONFLIT ETHNIQUE
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