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Documents  France. Institut d'émission des départements d'outre-mer | enregistrements trouvés : 182

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- n° n° 563 - 5 p.
Cote : A8596-EG7

En 2018, l’activité économique de l’archipel s’est essoufflée. Malgré une légère reprise en fin d’année, l’économie est marquée par un tassement de l’activité.
Alors que le marché du travail demeure bien orienté et que la croissance des prix à la consommation ralentit, la consommation des ménages fléchit légèrement malgré des crédits à la consommation dynamiques.
L’investissement des entreprises se contracte après une dynamique modérée l’an dernier. Le déficit commercial de l’archipel diminue en 2018. Du fait du ralentissement de la consommation des ménages et du fléchissement de l’investissement des entreprises, les importations sont en baisse. À l’inverse, portées par une reprise de la pêche artisanale durant la deuxième partie de l’année, les exportations de l’archipel sont en progression.
La croissance des actifs financiers des agents économiques continue de ralentir pour la deuxième année consécutive. La répartition montre toujours une préférence des agents pour les actifs liquides. Le financement de l’économie conserve la bonne dynamique de l’an dernier et demeure porté par les établissements hors-place alors
que le financement des établissements locaux diminue. Le financement des collectivités locales est dynamique quand celui des entreprises s’inscrit en baisse. La croissance du financement des ménages accélère.
L’activité sectorielle est marquée par la reprise de la pêche artisanale quand la pêche industrielle affiche une baisse de ses prises. Le tourisme est impacté par la baisse de la fréquentation des croisiéristes, malgré une saison plus longue que celle de l’an dernier. Après un mouvement social pendant l’été, le BTP est toujours dans l’attente d’une reprise, notamment par le biais de la commande publique.
En 2018, l’activité économique de l’archipel s’est essoufflée. Malgré une légère reprise en fin d’année, l’économie est marquée par un tassement de l’activité.
Alors que le marché du travail demeure bien orienté et que la croissance des prix à la consommation ralentit, la consommation des ménages fléchit légèrement malgré des crédits à la consommation dynamiques.
L’investissement des entreprises se contracte après une dynamique modérée l’an ...

SAINT PIERRE ET MIQUELON ; SITUATION ECONOMIQUE ; PRIX ; CHOMAGE ; CONSOMMATION DES MENAGES ; INVESTISSEMENT ; ECHANGE COMMERCIAL ; PECHE ; TOURISME ; BATIMENT ET TRAVAUX PUBLICS ; BANQUE

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- n° n° 569 - 4 p.
Cote : A8594-EG7

L’année 2018 a tout d’abord été marquée par les mouvements sociaux du premier trimestre, qui ont paralysé l’activité économique dans son ensemble. Ces évènements ont causé une crise de trésorerie sans précédent pour les entreprises, et accentué la dualité entre les petites, fortement fragilisées, et les grandes, mieux armées pour y faire face.
Par la suite, avec l’appui des dispositifs de soutien et des mesures d’urgence post-crise, et dans un climat social plus apaisé, l’économie de Mayotte s’est à nouveau inscrite dans une dynamique de reprise. Ainsi, l’Indicateur du climat des affaires (ICA) se relève après la chute observée lors des mouvements sociaux.
Toutefois, avec la crainte de l’émergence d’une nouvelle crise sociale, les entreprises font preuve de réserve sur l’évolution de l’activité économique à court terme. La consommation des ménages reste solide, dans un contexte d’inflation modérée. L’investissement pâtit en revanche de l’attentisme des entreprises. Le commerce extérieur enregistre une nouvelle hausse des importations, portées principalement par les biens destinés aux ménages.
La situation du marché du travail ne reflète pas intégralement la réalité des difficultés dans la mesure où un nombre
croissant de demandeurs d’emploi ne font plus l’effort de se déclarer auprès de Pôle emploi. L’activité bancaire continue de progresser, avec une demande de financement toujours croissante, tandis que la hausse de la collecte ralentit.
L’année 2018 a tout d’abord été marquée par les mouvements sociaux du premier trimestre, qui ont paralysé l’activité économique dans son ensemble. Ces évènements ont causé une crise de trésorerie sans précédent pour les entreprises, et accentué la dualité entre les petites, fortement fragilisées, et les grandes, mieux armées pour y faire face.
Par la suite, avec l’appui des dispositifs de soutien et des mesures d’urgence post-crise, et dans un ...

MAYOTTE ; SITUATION ECONOMIQUE ; INFLATION ; DEMANDEUR D'EMPLOI ; CONSOMMATION DES MENAGES ; INVESTISSEMENT ; IMPORTATION ; INDUSTRIE ; BATIMENT ET TRAVAUX PUBLICS ; COMMERCE ; TRANSPORT AERIEN ; BANQUE

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- n° n° 570 - 5 p.
Cote : A8593-EG7

Sur la majeure partie de l’année 2018, l’activité économique réunionnaise a été dynamique, confirmant l’environnement conjoncturel bien orienté depuis 5 ans. Les investissements restent en hausse, de même que la consommation des ménages, soutenus notamment par le financement bancaire. Néanmoins, l’économie réunionnaise reste fragile.
La réduction massive de l’enveloppe de contrats aidés s’est notamment traduite par une baisse de l’emploi salarié (essentiellement dans le secteur non marchand) et par une augmentation du nombre de chômeurs sur l’année. Le rebond de l’inflation a par ailleurs pesé sur le pouvoir d’achat des ménages.
C’est dans ce contexte que le mouvement des Gilets jaunes a débuté en novembre, se révélant particulièrement intense sur le territoire, avec une paralysie presque totale de l’activité pendant quinze jours. Son impact sur l’activité économique a été lourd et cet épisode laisse planer des incertitudes sur 2019.
Sur la majeure partie de l’année 2018, l’activité économique réunionnaise a été dynamique, confirmant l’environnement conjoncturel bien orienté depuis 5 ans. Les investissements restent en hausse, de même que la consommation des ménages, soutenus notamment par le financement bancaire. Néanmoins, l’économie réunionnaise reste fragile.
La réduction massive de l’enveloppe de contrats aidés s’est notamment traduite par une baisse de l’emploi salarié ...

LA REUNION ; SITUATION ECONOMIQUE ; INFLATION ; MOUVEMENT SOCIAL ; DEMANDE D'EMPLOI ; CHOMAGE ; CONSOMMATION DES MENAGES ; INVESTISSEMENT ; ECHANGE COMMERCIAL ; AGRICULTURE ; CANNE A SUCRE ; BATIMENT ET TRAVAUX PUBLICS ; TOURISME ; BANQUE

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- n° n° 572 - 5 p.
Cote : A8592-EG7

Marquée par le début de mise en oeuvre du Plan d’Urgence, la conjoncture économique est plus porteuse. Ainsi, l’indicateur du climat des affaires se raffermit même s’il marque quelques signes d’attentisme au dernier trimestre. Dans un contexte d’inflation contenue, les effectifs salariés progressent et le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A baisse légèrement. Le taux de chômage recule à 19 %.
Toutefois, les professionnels des secteurs du BTP et des services marchands attendent le démarrage concret des chantiers. En 2018, l’encours bancaire sain progresse de 6,6 % (+211,6 M€) et atteint 3,4 milliards d’euros à fin décembre. Les financements
long terme des entreprises restent dynamiques, tandis que l’endettement court terme recule parallèlement à la progression de leurs dépôts. Les crédits aux ménages maintiennent leurs rythmes de croissance et ceux aux collectivités locales continuent de baisser.
Marquée par le début de mise en oeuvre du Plan d’Urgence, la conjoncture économique est plus porteuse. Ainsi, l’indicateur du climat des affaires se raffermit même s’il marque quelques signes d’attentisme au dernier trimestre. Dans un contexte d’inflation contenue, les effectifs salariés progressent et le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A baisse légèrement. Le taux de chômage recule à 19 %.
Toutefois, les professionnels des secteurs ...

GUYANE ; SITUATION ECONOMIQUE ; INFLATION ; CHOMAGE ; DEMANDE D'EMPLOI ; ENERGIE ; CONSOMMATION DES MENAGES ; ECHANGE COMMERCIAL ; IMPORTATION ; PACTE DE DEVELOPPEMENT POUR LA GUYANE ; BATIMENT ET TRAVAUX PUBLICS ; TOURISME ; INDUSTRIE SPATIALE ; COMMERCE ; BANQUE

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- n° n° 573 - 5 p.
Cote : A8591-EG7

Comme l’année précédente, l’activité économique en Martinique en 2018 peine à trouver de véritables relais de croissance. L’indicateur du climat des affaires (ICA) oscille autour de sa moyenne de longue période, n’indiquant pas de tendance claire
concernant la croissance de l’activité. Son inhabituelle volatilité au cours de l’année semble traduire une hausse de l’incertitude économique.
Cette dernière se reflète singulièrement dans les perspectives d’investissement des chefs d’entreprise qui sont, dans l’ensemble, en baisse en 2018. La faiblesse de la demande anticipée en 2019 semble cantonner les investissements au renouvellement des biens d’équipement au détriment de la hausse des capacités de production.
En revanche, malgré le regain d’inflation, la consommation des ménages est résiliente et les conditions sur le marché du travail s’améliorent.
Pour sa part, l’activité de financement est toujours dynamique et s’inscrit en soutien du cycle économique. Les encours de crédit aux entreprises et aux ménages sont bien orientés.
Au niveau sectoriel, le secteur du tourisme confirme en 2018 ses bons résultats de l’année précédente. L’activité dans le secteur agricole est en redressement, bien qu’elle ne soit pas encore tout à fait remise des événements climatiques de 2016 et 2017. En revanche, l’activité commerciale tourne au ralenti et le secteur secondaire est toujours en proie aux difficultés.
Comme l’année précédente, l’activité économique en Martinique en 2018 peine à trouver de véritables relais de croissance. L’indicateur du climat des affaires (ICA) oscille autour de sa moyenne de longue période, n’indiquant pas de tendance claire
concernant la croissance de l’activité. Son inhabituelle volatilité au cours de l’année semble traduire une hausse de l’incertitude économique.
Cette dernière se reflète singulièrement dans les ...

MARTINIQUE ; SITUATION ECONOMIQUE ; INFLATION ; MARCHE DU TRAVAIL ; DEMANDEUR D'EMPLOI ; CONSOMMATION DES MENAGES ; ECHANGE COMMERCIAL ; IMPORTATION ; BATIMENT ET TRAVAUX PUBLICS ; AGRICULTURE ; TOURISME ; BANQUE ; ECONOMIE GENERALE

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- n° n° 568 - 5 p.
Cote : A8588-EG7

Après une croissance soutenue du PIB de la Guadeloupe en 2017 (+3,4 % en volume), les chefs d’entreprises interrogés par l’IEDOM font état d’une nouvelle progression de leur activité en 2018. Le climat des affaires est ainsi favorable sur les trois premiers trimestres de l’année, avant une dégradation en fin d’année.

La consommation des ménages reste bien orientée dans un contexte de faible inflation. Elle a été soutenue par l’augmentation de la masse salariale du secteur privé et celle des crédits. Les importations de biens destinés aux ménages s’inscrivent ainsi en hausse. En parallèle, l’investissement privé se consolide : les importations de biens d’investissement et les crédits octroyés aux entreprises accélèrent en 2018.

Le marché de l’emploi montre des signes d’amélioration avec un nombre de demandeurs d’emploi en baisse et une augmentation des offres d’emploi. Globalement, les importations progressent alors les exportations diminuent sur l’année, en lien avec la baisse des réexpéditions de produits pétroliers.

À l’échelle sectorielle, le tourisme, les autres services marchands et les commerces affichent des résultats favorables. Le secteur du bâtiment et des travaux publics confirme son redémarrage entamé fin 2017 et entraine dans son sillage l’industrie locale (hors industries agroalimentaires). L’activité des industries agroalimentaires (IAA) est également bien orientée sur l’année malgré des performances à l’export en retrait. À l’inverse, le secteur primaire est encore convalescent après le passage de l’ouragan Maria au mois de septembre 2017.

L’activité bancaire est dynamique et accompagne la croissance de l’économie. L’octroi de crédits et la collecte de dépôts s’inscrivent en hausse. Ménages, entreprises, mais également collectivités locales y contribuent : l’encours de crédits de ces dernières progresse pour la première fois depuis deux ans.
Après une croissance soutenue du PIB de la Guadeloupe en 2017 (+3,4 % en volume), les chefs d’entreprises interrogés par l’IEDOM font état d’une nouvelle progression de leur activité en 2018. Le climat des affaires est ainsi favorable sur les trois premiers trimestres de l’année, avant une dégradation en fin d’année.

La consommation des ménages reste bien orientée dans un contexte de faible inflation. Elle a été soutenue par l’augmentation de ...

GUADELOUPE ; SITUATION ECONOMIQUE ; INFLATION ; MARCHE DU TRAVAIL ; DEMANDEUR D'EMPLOI ; CONSOMMATION DES MENAGES ; ECHANGE COMMERCIAL ; IMPORTATION ; BATIMENT ET TRAVAUX PUBLICS ; TOURISME ; BANQUE ; ECONOMIE GENERALE

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