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- n° 75 - 18 p.
Cote : N504-QJ10
la Guyane est une terre d'exception à de nombreux égards. Elle est l'un des deux derniers territoires non indépendants de l'Amérique du Sud (l'autre étant les îles Malouines), et se trouve dotée d'un statut assimilé à celui des régions de la France métropolitaine. Alors que la majorité des États du bassin amazonien reconnaissent aux Amérindiens le statut de peuple autochtone au sens du droit international , l'État français refuse toujours de signer la Convention n°169 de l'Organisation internationale du travail (adoptée en 1989) qui prévoit des droits spécifiques au profit des peuples dits « premiers ». Les 11 000 Amérindiens de Guyane, répartis en six ethnies (Arawak, Kali'na, Palikur, Teko, Wayana et Wayãpi) sont donc considérés juridiquement comme de simples citoyens français. Cet article tente de montrer comment l'État français s'est accommodé de la mobilité des communautés autochtones tout au long de sa construction et jusqu'à nos jours.
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la Guyane est une terre d'exception à de nombreux égards. Elle est l'un des deux derniers territoires non indépendants de l'Amérique du Sud (l'autre étant les îles Malouines), et se trouve dotée d'un statut assimilé à celui des régions de la France métropolitaine. Alors que la majorité des États du bassin amazonien reconnaissent aux Amérindiens le statut de peuple autochtone au sens du droit international , l'État français refuse toujours de ...
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GUYANE ; HISTOIRE ; AMERINDIEN ; AUTOCHTONE ; DROIT DES MINORITES ET PEUPLES AUTOCHTONES ; ORGANISATION DES NATIONS UNIES ; DROIT INTERNATIONAL ; CITOYENNETE ; INSTITUTION COUTUMIERE ; ETAT ; PROBLEME FONCIER
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- 3 p.
Cote : N503-QJ10
Le 9 décembre 1984, le président de la jeune Association des Amérindiens de Guyane française, Félix Tiouka, prononce une « adresse au gouvernement et au peuple français », intitulée « Notre terre, nous l'aimons et nous y tenons ». Il y expose la « situation de dominés » des Amérindiens de Guyane, descendants des premiers habitants présents avant l'arrivée des Européens. Et réclame le « droit à prendre en main [leur] propre développement économique, social et culturel ».
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Le 9 décembre 1984, le président de la jeune Association des Amérindiens de Guyane française, Félix Tiouka, prononce une « adresse au gouvernement et au peuple français », intitulée « Notre terre, nous l'aimons et nous y tenons ». Il y expose la « situation de dominés » des Amérindiens de Guyane, descendants des premiers habitants présents avant l'arrivée des Européens. Et réclame le « droit à prendre en main [leur] propre développement ...
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GUYANE ; AUTOCHTONE ; DROIT DES MINORITES ET PEUPLES AUTOCHTONES ; AMERINDIEN ; DROIT COUTUMIER ; PROBLEME FONCIER ; ORGANISATION DES NATIONS UNIES
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- n° 41 - 2 p.
Cote : N483-SC4
À la fin du XIXe siècle, des Amérindiens de Guyane, membres de la communauté des Kali'nas, ont été embarqués vers la métropole pour être exhibés lors d'expositions anthropozoologiques, notamment au Jardin d'acclimatation. Phénomène en vogue dans de nombreux pays à cette époque, les « zoos humains » sont en lien étroit avec l'histoire coloniale. Plusieurs d'entre eux ont pu retourner vers leur terre d'origine, d'autres sont morts et dans certains cas ont eu pour destination le Musée de l'Homme. Six dépouilles, qui y sont actuellement entreposées, font l'objet d'une revendication de la part des descendants, réclamant le rapatriement de leurs dépouilles à des fins d'inhumation.
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À la fin du XIXe siècle, des Amérindiens de Guyane, membres de la communauté des Kali'nas, ont été embarqués vers la métropole pour être exhibés lors d'expositions anthropozoologiques, notamment au Jardin d'acclimatation. Phénomène en vogue dans de nombreux pays à cette époque, les « zoos humains » sont en lien étroit avec l'histoire coloniale. Plusieurs d'entre eux ont pu retourner vers leur terre d'origine, d'autres sont morts et dans certains ...
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SIECLE XIX ; GUYANE ; AMERINDIEN ; HISTOIRE ; MUSEE
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