Documents JUSTICE ADMINISTRATIVE 54 résultats

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- 3 p.
Cote : N713-QJ6
Dans un arrêt du 11 mars 2025, la cour administrative d'appel de Paris juge que l'État a commis des fautes en accordant des autorisations de vente d'insecticides à base de chlordécone, en permettant leur usage prolongé, en manquant de diligence pour évaluer la pollution liée à cet usage, y mettre fin, en mesurer les conséquences et informer la population touchée. Elle juge que l'État doit réparer, lorsqu'il est démontré, le préjudice moral d'anxiété des personnes durablement exposées à cette pollution. Elle estime, toutefois, que la seule invocation d'une exposition au chlordécone, indépendamment de ses conséquences personnelles et en l'absence de justification les étayant de façon individuelle, ne permet pas de justifier d'un préjudice réparable. Pour nous éclairer sur cette décision, Lexbase a interrogé Christophe Lèguevaques, avocat au barreau de Paris, l'un des avocats qui a porté cette action devant les juridictions administratives en complément du volet pénal*.[-]
Dans un arrêt du 11 mars 2025, la cour administrative d'appel de Paris juge que l'État a commis des fautes en accordant des autorisations de vente d'insecticides à base de chlordécone, en permettant leur usage prolongé, en manquant de diligence pour évaluer la pollution liée à cet usage, y mettre fin, en mesurer les conséquences et informer la population touchée. Elle juge que l'État doit réparer, lorsqu'il est démontré, le préjudice moral ...[+]

CHLORDECONE ; JUSTICE ADMINISTRATIVE ; DROIT PUBLIC ; INDEMNISATION ; DROIT DE LA RESPONSABILITE ; PREJUDICE ; SANTE PUBLIQUE

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- 4 p.
Cote : N647-CA4
Le tribunal administratif de Cayenne a rejeté jeudi 13 février une requête d'associations d'usagers du lac et de défense de l'environnement qui contestaient la légalité de la prolongation de l'autorisation préfectorale délivrée en 2019 à l'entreprise Triton pour exploiter les bois immergés de Petit-Saut. L'entreprise est donc autorisée à collecter des arbres sur 40% de la surface de la retenue pour en faire du bois d'oeuvre et du bois énergie à destination de la filière biomasse. [-]
Le tribunal administratif de Cayenne a rejeté jeudi 13 février une requête d'associations d'usagers du lac et de défense de l'environnement qui contestaient la légalité de la prolongation de l'autorisation préfectorale délivrée en 2019 à l'entreprise Triton pour exploiter les bois immergés de Petit-Saut. L'entreprise est donc autorisée à collecter des arbres sur 40% de la surface de la retenue pour en faire du bois d'oeuvre et du bois énergie à ...[+]

GUYANE ; JUSTICE ADMINISTRATIVE ; BARRAGE ; PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT ; INDUSTRIE DU BOIS ; BIODIVERSITE ; ENTREPRISE ; EXPLOITATION

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- n° 9 - 3 p.
Cote : A1010366937979-QJ4
Les juridictions judiciaires, gardiennes de la propriété et des libertés individuelles, ont compétence pour connaître de l'existence, de la prévention et de la cessation de la voie de fait, concurremment avec les juridictions administratives. En l'espèce, aucune voie de fait de la part l'État n'est caractérisée et le juge administratif est donc seul compétent pour connaître de l'opération.

MAYOTTE ; JUSTICE ADMINISTRATIVE ; LIBERTES INDIVIDUELLES ; TRIBUNAL ADMINISTRATIF ; HABITAT INSALUBRE ; BIDONVILLE

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- 4 p.
Cote : A10103669253-QJ_6
Portés par le député Davy Rimane, deux référés contre des arrêtés d'interdiction d'embarquer à Félix-Eboué, prononcés dans le cadre du dispositif 100% contrôle des passagers, ont été jugés recevables, mardi 19 septembre, par le Tribunal administratif de Cayenne qui a suspendu ces arrêtés préfectoraux. Le député de la seconde circonscription dénonce des contrôles arbitraires, au faciès, et sans fondement juridique solide. Le député Rimane compte aller plus loin et attaquer sur le fond la procédure administrative généralisée par la préfecture pour lutter contre le trafic de drogue
- Mo-News (21/09/2020) - Arrêtés d'interdiction d'embarquer : Davy Rimane monte au créneau
- France-Guyane (22/09/2020) - Le député Davy Rimane dénonce un "délit de faciès" de la préfecture
- Guyane la 1ère (22/09/2020) - Dispositif 100% contrôle : refoulée à l'aéroport avec ses enfants, elle témoigne[-]
Portés par le député Davy Rimane, deux référés contre des arrêtés d'interdiction d'embarquer à Félix-Eboué, prononcés dans le cadre du dispositif 100% contrôle des passagers, ont été jugés recevables, mardi 19 septembre, par le Tribunal administratif de Cayenne qui a suspendu ces arrêtés préfectoraux. Le député de la seconde circonscription dénonce des contrôles arbitraires, au faciès, et sans fondement juridique solide. Le député Rimane compte ...[+]

DROIT ; JUSTICE ; TRAFIC ; TRANSPORT AERIEN ; TRAFIC DE DROGUE ; POLITIQUE LOCALE ; GUYANE ; AEROPORT ; JUSTICE ADMINISTRATIVE ; DISCRIMINATION RACIALE ; DISCRIMINATION SOCIALE ; DEPUTE ; LUTTE CONTRE LE TRAFIC DE DROGUE ; CAYENNE ; COCAINE ; MULE

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- n° 3 - 3 p.
Cote : A101036679-AD2
Dès lors que les conditions fixées par la loi sont respectées, la tenue entièrement par visioconférence des réunions du conseil régional ne porte pas une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté fondamentale de réunion des partis politiques.

VISIOCONFERENCE ; CONSEIL REGIONAL ; DEMOCRATIE LOCALE ; REGION ; POLYNESIE FRANCAISE ; VIE POLITIQUE LOCALE ; CODE GENERAL DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ; JUSTICE ADMINISTRATIVE ; TRIBUNAL ADMINISTRATIF ; TELECOMMUNICATIONS

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- n° 4 - 6 p.
Cote : A100998-QJ4
Le gouvernement de la Polynésie française peut demander au juge des référés d'ordonner les mesures utiles pour prévenir les dommages à l'environnement pouvant résulter d'une pollution du domaine public maritime, dès lors qu'il n'avait pas le pouvoir de les prendre et que sa demande ne faisait obstacle à l'exécution d'aucune décision administrative, et alors même que certaines de ces mesures auraient pu être ordonnées par les autorités de l'État, qui sont compétentes, en Polynésie française, en matière de police et sécurité de la circulation maritime, et de police spéciale des navires dangereux.[-]
Le gouvernement de la Polynésie française peut demander au juge des référés d'ordonner les mesures utiles pour prévenir les dommages à l'environnement pouvant résulter d'une pollution du domaine public maritime, dès lors qu'il n'avait pas le pouvoir de les prendre et que sa demande ne faisait obstacle à l'exécution d'aucune décision administrative, et alors même que certaines de ces mesures auraient pu être ordonnées par les autorités de l'État, ...[+]

POLYNESIE FRANCAISE ; NAVIRE ; DOMAINE MARITIME ; POLLUTION DE LA MER ; DROIT ADMINISTRATIF ; REPARTITION DES COMPETENCES ; CONSEIL D'ETAT ; JUSTICE ADMINISTRATIVE ; POLICE ADMINISTRATIVE ; JURISPRUDENCE ; NAUFRAGE

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- n° 9/2021 - 4 p.
Cote : A9620-QJ6
La médiation administrative est indubitablement affichée comme l'une des priorités de la justice administrative du XXIe siècle tant par le législateur que le juge lui-même. Un regard décentré de l'hexagone conduit toutefois à nuancer la nécessité de développer à marche forcée ce mode alternatif de règlement des litiges administratifs.

JUSTICE ADMINISTRATIVE ; MEDIATION ; LITIGE ; PROCEDURE JUDICIAIRE ; NOUVELLE CALEDONIE ; CONTENTIEUX ADMINISTRATIF ; DROIT ADMINISTRATIF ; TRIBUNAL ADMINISTRATIF

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- n° 2 - 1 p.
Cote : A9506-QJ1
La Polynésie française , ayant, sur le fondement de l'article L. 521-3 du code de justice administrative (CJA), d'une part, ordonné au propriétaire et à l'exploitant d'un navire échoué sur le platier récifal d'un atoll de sécuriser le navire ainsi que le matériel présent et sa cargaison, et autorisé, à défaut d'exécution dans ce délai, la Polynésie française à procéder à ces opérations aux frais du propriétaire du navire et, d'autre part, enjoint au propriétaire et à l'exploitant de faire procéder solidairement à l'enlèvement du navire sous un délai de quinze jours.,,,Il résulte de l'article 47 de la loi organique n° 2004-192 du 27 février 2004, relatif au domaine public maritime de la Polynésie française, et de la compétence générale dévolue par cette même loi organique à cette collectivité, qui inclut notamment la protection de l'environnement, qu'il appartient au gouvernement de la Polynésie française de prévenir les dommages à l'environnement pouvant résulter d'une pollution du domaine public maritime.
- Ces propriétaires de navire échoué qui vont devoir payer, Tahiti Infos, 24 novembre 2020
- Conseil d'État, 6ème - 5ème chambres réunies, 19/11/2020, 440644[-]
La Polynésie française , ayant, sur le fondement de l'article L. 521-3 du code de justice administrative (CJA), d'une part, ordonné au propriétaire et à l'exploitant d'un navire échoué sur le platier récifal d'un atoll de sécuriser le navire ainsi que le matériel présent et sa cargaison, et autorisé, à défaut d'exécution dans ce délai, la Polynésie française à procéder à ces opérations aux frais du propriétaire du navire et, d'autre part, ...[+]

POLYNESIE FRANCAISE ; CONSEIL D'ETAT ; NAVIRE ; PECHE ; POLLUTION DE LA MER ; NAUFRAGE ; JUSTICE ADMINISTRATIVE ; DOMAINE PUBLIC ; DOMAINE MARITIME

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