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Documents  TSUNAMI | enregistrements trouvés : 14

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vol. Vol. 14 - n° n°2 - 19 p.
Cote : A6195-CA2

Le risque de tsunami menace l’ensemble des côtes caribéennes. Les modèles de propagation disponibles évaluent à seulement quelques minutes les temps d’arrivée sur la Martinique pour les sources sismiques les plus proches. Face à cette menace élevée, la seule parade efficace est l’évacuation préventive et planifiée des populations littorales. Cette mesure de protection nécessite d’établir en amont un système d’alerte régional performant, de modéliser les tsunamis, de préparer les populations et d’établir des plans de secours locaux et régionaux. Afin d’optimiser un plan d’évacuation, il convient d’évaluer les quantités de personnes exposées, les itinéraires d’évacuation possibles, les lieux de mise en sécurité et les délais pour évacuer ces populations menacées. Cet article propose une méthodologie directement destinée aux gestionnaires du risque et qui vise à optimiser et cartographier les sites et les routes d’évacuation à l’aide de calculs d’accessibilité pédestre.
Le risque de tsunami menace l’ensemble des côtes caribéennes. Les modèles de propagation disponibles évaluent à seulement quelques minutes les temps d’arrivée sur la Martinique pour les sources sismiques les plus proches. Face à cette menace élevée, la seule parade efficace est l’évacuation préventive et planifiée des populations littorales. Cette mesure de protection nécessite d’établir en amont un système d’alerte régional performant, de ...

MARTINIQUE ; CATASTROPHE NATURELLE ; PROTECTION CIVILE ; RISQUE NATUREL ; GESTION DE CRISE ; TSUNAMI ; ASSISES DES OUTRE-MER

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vol. Volume 16 - n° n°3 - 32 p.
Cote : A7266-CA2

Le dernier tsunami meurtrier ayant impacté la Nouvelle-Calédonie eut lieu en mars 1875. Le sud de l’île de Lifou (île Loyauté) fut le plus concerné. Les tribus de Luengoni, Joj, Mu et Ahmelewedr (district de Lösi) concentrent les dégâts et victimes de la catastrophe. La nature de l’aléa sismique et tsunami en Nouvelle-Calédonie est bien connue, pourtant aucune étude ne s’est intéressée aux conditions de réalisation de cette catastrophe (1875), c’est-à-dire aux facteurs de vulnérabilités internes pouvant en expliquer l’ampleur. Au travers de cet article, nous souhaitons atteindre deux objectifs : d’une part, apporter un éclairage sur la situation de la Nouvelle-Calédonie face au risque tsunami et d’autre part, proposer des pistes de réflexion sur ce que pourrait être une politique de prévention territorialisée, reposant sur la prise en compte des concepts de vulnérabilité et de résilience, politique qui serait adaptée au contexte culturel local et répondrait aux enjeux humains posés par ce phénomène.
Le dernier tsunami meurtrier ayant impacté la Nouvelle-Calédonie eut lieu en mars 1875. Le sud de l’île de Lifou (île Loyauté) fut le plus concerné. Les tribus de Luengoni, Joj, Mu et Ahmelewedr (district de Lösi) concentrent les dégâts et victimes de la catastrophe. La nature de l’aléa sismique et tsunami en Nouvelle-Calédonie est bien connue, pourtant aucune étude ne s’est intéressée aux conditions de réalisation de cette catastrophe (1875), ...

TSUNAMI ; CATASTROPHE NATURELLE ; NOUVELLE CALEDONIE ; CANAQUE ; HISTOIRE ; SIECLE XIX ; STRUCTURE COUTUMIERE

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- n° n°210 - p.32-34
Cote : A2891-CA2

POLYNESIE FRANCAISE ; TSUNAMI ; CATASTROPHE NATURELLE ; MARQUISES ; SEISME ; ALASKA

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- 420 p.
Cote : O4915-AD1

La question des risques, et plus particulièrement des risques majeurs est familière en Nouvelle-Calédonie. Elle y concerne tout le monde : risques naturels (cyclones, tsunamis…), risques technologiques (pollution par les entreprises…), risques sanitaires (épidémies de dengue, grippe…). Il s’agit à la fois de problèmes de la vie quotidienne et de grands bouleversements de celle-ci. Le transfert des compétences en matière de sécurité civile à la collectivité de Nouvelle-Calédonie est prévu par l’accord de Nouméa, et la loi organique statutaire dispose qu’il doit être réalisé au plus tard à la fin de 2011. Ce transfert a donc des répercussions plus fondamentales que ceux qui l’ont précédé, à l’égard du processus de l’accord de Nouméa lui-même.Aussi les travaux ici réunis du colloque qui s’est tenu à Nouméa en octobre 2010 ont opéré la nécessaire expertise de la prévention et de la réalisation des risques majeurs en Nouvelle-Calédonie.
La question des risques, et plus particulièrement des risques majeurs est familière en Nouvelle-Calédonie. Elle y concerne tout le monde : risques naturels (cyclones, tsunamis…), risques technologiques (pollution par les entreprises…), risques sanitaires (épidémies de dengue, grippe…). Il s’agit à la fois de problèmes de la vie quotidienne et de grands bouleversements de celle-ci. Le transfert des compétences en matière de sécurité civile à la ...

NOUVELLE CALEDONIE ; RISQUE ; PROTECTION CIVILE ; CATASTROPHE NATURELLE ; TRANSFERT DE COMPETENCES ; RISQUE TECHNOLOGIQUE ; RISQUE NATUREL ; CYCLONE ; SEISME ; TSUNAMI ; ORDRE PUBLIC ; GESTION DE CRISE

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- 2 p.
Cote : QE241-CA2

M. Roland Courteau attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur sur la situation de la Nouvelle Calédonie et de Wallis-et-Futuna, par rapport au risque tsunami.

TSUNAMI ; CATASTROPHE NATURELLE ; SEISME ; NOUVELLE CALEDONIE ; WALLIS ET FUTUNA ; PROTECTION CIVILE

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- 21 p.
Cote : R0502-CA2

Le tsunami du 13 juillet 2003 engendré par l'écroulement du dôme de lave du volcan de Montserrat, avait entraîné quelques dégâts matériels sur la côte-sous-le-vent de Guadeloupe. Cet événement, heureusement de faible ampleur, nous a rappelé que le risque tsunami existait aux Petites Antilles et nous a incité à lancer une étude locale du phénomène. Le présent projet a ainsi permis l'installation de 4 stations permanentes comprenant chacune un marégraphe enregistrant les variations de hauteur de la mer en continu. Les sites équipés sont le port de Deshaies, le club de plongée Les Heures Saines à Malendure, le ponton d'Anse-à-la-Barque et le club nautique de Basse-Terre à Rivière-Sens. Les premières données recueillies sont très satisfaisantes : la résolution des mesures filtrées est de l'ordre du millimètre, et les données sont parfaitement cohérentes entre elles et comparables à celles d'une station américaine des Îles Vierges (située à 350 km de la Guadeloupe). Ce nouveau réseau, qui n'est en aucun cas un système d'alerte, est opérationnel et permettra d'estimer les effets de sites et les temps de propagation d'un prochain tsunami sur les côtes de Guadeloupe. Il constitue également une nouvelle base de données marégraphiques originales.
Le tsunami du 13 juillet 2003 engendré par l'écroulement du dôme de lave du volcan de Montserrat, avait entraîné quelques dégâts matériels sur la côte-sous-le-vent de Guadeloupe. Cet événement, heureusement de faible ampleur, nous a rappelé que le risque tsunami existait aux Petites Antilles et nous a incité à lancer une étude locale du phénomène. Le présent projet a ainsi permis l'installation de 4 stations permanentes comprenant chacune un ...

GUADELOUPE ; TSUNAMI ; CATASTROPHE NATURELLE ; SEISME

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- n° n°546 [Sénat] et n°1808 [Assemblée Nationale] - 156 p.
Cote : P0559-CA4

En 2007, M. Roland COURTEAU, sénateur de l'Aude, avait présenté à l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques les conclusions de son étude sur l'évaluation et la prévention du risque de tsunami sur les côtes françaises en métropole et outre-mer.
Le bilan dressé était mitigé : trois ans après le tsunami de Sumatra et la mobilisation de la France en faveur d'un système d'alerte dans l'océan Indien, dans la zone Méditerranée/Atlantique Nord-Est et dans les Caraïbes, les engagements pris par la France étaient insuffisamment respectés faute de mobilisation politique et de moyens financiers.
Le rapport concluait donc sur la nécessité d'instaurer rapidement un système national d'alerte aux tsunamis couvrant la métropole et les départements d'outre-mer.
Deux ans après la publication de ce rapport, la présente audition publique visait à dresser un bilan d'ensemble des dispositifs d'alerte aux tsunamis dans le monde et d'évaluer ceux mis en place par la France en métropole et en outre-mer.
En 2007, M. Roland COURTEAU, sénateur de l'Aude, avait présenté à l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques les conclusions de son étude sur l'évaluation et la prévention du risque de tsunami sur les côtes françaises en métropole et outre-mer.
Le bilan dressé était mitigé : trois ans après le tsunami de Sumatra et la mobilisation de la France en faveur d'un système d'alerte dans l'océan Indien, dans la zone ...

SEISME ; CATASTROPHE NATURELLE ; OUTRE MER ; TSUNAMI ; SECURITE PUBLIQUE

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vol. Tome 1 - n° n°688 - 224 p.
Cote : P1014-CA2

À la suite de l'ouragan Irma qui a dévasté en septembre 2017 les îles du nord de la Guadeloupe, Saint-Barthélemy et Saint-Martin, la Délégation sénatoriale aux outre-mer a, dès sa reconstitution consécutive au renouvellement sénatorial, décidé d'engager une étude d'évaluation de la situation des territoires ultramarins au regard de la multitude de risques naturels majeurs qui les menacent. Le présent volume constitue le premier volet de l'étude qui, menée sur deux ans, couvre le large prisme de l'ensemble des risques naturels majeurs et englobe les onze territoires français habités des bassins Atlantique, océan Indien et Pacifique sud. Les travaux ne sont pas consacrés uniquement aux cyclones mais comprennent l'ensemble des risques de ces territoires. Soit les inondations, les submersions, les tsunamis, les glissements de terrain, les séismes, le recul du trait de côte et les algues sargasses. Plus de 300 personnes ont été entendues au cours de réunions et de visites sur place. Pour répondre à l’ensemble de ces problématiques, les sénateurs ont dressé une liste de 60 recommandations. En complément, articles :
- Outre-mer à 360° du 24 juillet 2018 : http://outremers360.com/planete/risques-naturels-majeurs-en-outre-mer-les-senateurs-fixent-60-recommandations-pour-mieux-preparer-et-anticiper-les-aleas-naturels/
- Localtis du 25 juillet 2018 : https://www.caissedesdepotsdesterritoires.fr/cs/ContentServer?pagename=Territoires/Articles/Articles&cid=1250281495427
- actu-environnement du 26 jullet 2018 : https://www.actu-environnement.com/ae/news/risques-naturels-outre-mer-senat-preconisations-31778.php4
- Outre-mer la 1ère du 24 juillet 2018 : https://la1ere.francetvinfo.fr/senateurs-se-penchent-risques-naturels-majeurs-outre-mer-611187.html
À la suite de l'ouragan Irma qui a dévasté en septembre 2017 les îles du nord de la Guadeloupe, Saint-Barthélemy et Saint-Martin, la Délégation sénatoriale aux outre-mer a, dès sa reconstitution consécutive au renouvellement sénatorial, décidé d'engager une étude d'évaluation de la situation des territoires ultramarins au regard de la multitude de risques naturels majeurs qui les menacent. Le présent volume constitue le premier volet de l'étude ...

EVALUATION ; RISQUE NATUREL ; CATASTROPHE NATURELLE ; OUTRE MER ; GESTION DE CRISE ; SEISME ; ERUPTION VOLCANIQUE ; CYCLONE ; INONDATION ; LUTTE CONTRE LE FEU ; SARGASSE ; TSUNAMI ; PREVENTION ; PROTECTION CIVILE ; SECOURS D'URGENCE ; ETAT D'URGENCE ; SECOURS EN MER ; ARMEE

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- n° n°15120-15032-01;n°009151-02 - 211 p.
Cote : R1684-CA2

Le « plan submersion rapide » (PSR) a été lancé après les événements catastrophiques survenus en 2010 notamment lors de la tempête Xynthia. A la suite de l’évaluation conduite pour la métropole par une mission interministérielle, de juin 2013 à mars 2014, la ministre de l’écologie du développement durable et de l’énergie, le ministre de l’intérieur et la ministre des outre-mer ont décidé de suivre la recommandation de procéder à un exercice similaire pour les outre-mer. Pour les DROM, la nouvelle mission fait le constat d’un retard dans la mise en oeuvre de cette politique publique par rapport à la métropole. Pour les collectivités ultramarines (COM), selon les territoires, la grande disparité des compétences engage à clarifier avec les autorités locales le rôle de chacun dans la mise en oeuvre du PSR. La mission propose plusieurs modes d’action en cohérence avec les spécificités, notamment juridiques et statutaires des COM. A lire article Outremers360 du 24/02/2016 : http://outremers360.com/planete/risques-naturels-les-outre-mer-plus-exposes-mais-moins-proteges-en-cas-de-submersion-rapide/
Le « plan submersion rapide » (PSR) a été lancé après les événements catastrophiques survenus en 2010 notamment lors de la tempête Xynthia. A la suite de l’évaluation conduite pour la métropole par une mission interministérielle, de juin 2013 à mars 2014, la ministre de l’écologie du développement durable et de l’énergie, le ministre de l’intérieur et la ministre des outre-mer ont décidé de suivre la recommandation de procéder à un exercice ...

OUTRE MER ; INONDATION ; CATASTROPHE NATURELLE ; RISQUE NATUREL ; TSUNAMI ; DROIT D'OUTRE MER ; URBANISME ; APPLICATION DU DROIT ; PROTECTION CIVILE

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