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Documents  ADMINISTRATION PENITENTIAIRE | enregistrements trouvés : 23

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- n° n° 3 - 5 p.
Cote : A9241-QJ6

Par un arrêt du 30 janvier 2020, la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a condamné la France à raison des conditions de traitement de requérants, français et étrangers, incarcérés en métropole en outre-mer. Cette décision illustre une fois encore les fragilités du système carcéral français quant à sa conformité à la Convention européenne des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Mais elle met aussi un accent tout particulier sur les limites à l'efficacité des recours contentieux - y compris du référé-liberté - pour prémunir les détenus contre les atteintes à leurs droits fondamentaux. Trente-deux requérants, détenus en Martinique, en Polynésie, en Guadeloupe, ainsi qu'à Nîmes, Nice et Fresnes, se plaignaient de conditions de détention non-conformes à l'article 3 de la Convention, prohibant les traitements inhumains et dégradants. Invoquant des problématiques liées au surpeuplement carcéral, les requérants faisaient état d'un espace personnel insuffisant (souvent moins de 3,5 m2), d'une proximité entre les espaces de repas et les toilettes, d'un manque d'intimité, de la présence d'animaux nuisibles, de cellules insalubres et insuffisamment aérées, mêlant parfois fumeurs et non-fumeurs, le tout pendant des durées d'enfermement quotidiennes d'au moins quinze heures. S'ajoutaient, dans certains cas, des plaintes quant à l'éclairage des cellules, l'insuffisance des soins administrés ou de la nourriture, ainsi qu'à un climat de violence carcérale.
Par un arrêt du 30 janvier 2020, la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a condamné la France à raison des conditions de traitement de requérants, français et étrangers, incarcérés en métropole en outre-mer. Cette décision illustre une fois encore les fragilités du système carcéral français quant à sa conformité à la Convention européenne des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Mais elle met aussi un accent tout particulier ...

PRISON ; POPULATION CARCERALE ; CONDITION DE VIE ; DROITS DE L'HOMME ; DECLARATION DES DROITS DE L'HOMME ; JUSTICE ; HYGIENE ; MARTINIQUE ; POLYNESIE FRANCAISE ; GUADELOUPE ; GUYANE ; NOUVELLE CALEDONIE ; ADMINISTRATION PENITENTIAIRE

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vol. T. XL 2-3-4 2000 - p.154-170
Cote : A1108-SC4

ADMINISTRATION PENITENTIAIRE ; SAINT LAURENT DU MARONI ; PEINE ; POLITIQUE COLONIALE ; GUYANE ; BAGNE ; HISTOIRE

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UH

- LXVII-508 p.
Cote : O4865-SC4

Ouvrage consultable et téléchargeable sur le site internet Gallica (Bibliothèque numérique de la Bibliothèque Nationale de France).

GUYANE ; NOUVELLE CALEDONIE ; BAGNE ; HISTOIRE ; CRIMINALITE ; REGIME PENITENTIAIRE ; ADMINISTRATION PENITENTIAIRE ; POPULATION CARCERALE ; SIECLE XIX

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UH

- 9 p.
Cote : A9676-SC4

Au milieu du XIXe siècle, la montée en puissance du secteur industriel et la concentration urbaine modifient en profondeur la société française. Les laissé·es pour compte sont de plus en plus nombreux·ses dans les faubourgs, et les vols font la une des journaux. Pour se débarrasser de ce « trop-plein » et résoudre une question sociale de plus en plus pressante, l’État décide d’établir en terres australes une petite France à l’antipode de la métropole : la Nouvelle-Calédonie. Pour leur plus grand malheur, les Kanak voient leur île se transformer en une colonie pénitentiaire et résidentielle, sur laquelle le pouvoir colonial attribue des bouts de terres spoliées aux ex-bagnards et aux colons libres, dans l’espoir d’en faire des paysans laborieux. L’historienne Isabelle Merle, revient sur le rôle et l’évolution de ces rouages de l’entreprise coloniale.
Au milieu du XIXe siècle, la montée en puissance du secteur industriel et la concentration urbaine modifient en profondeur la société française. Les laissé·es pour compte sont de plus en plus nombreux·ses dans les faubourgs, et les vols font la une des journaux. Pour se débarrasser de ce « trop-plein » et résoudre une question sociale de plus en plus pressante, l’État décide d’établir en terres australes une petite France à l’antipode de la ...

NOUVELLE CALEDONIE ; HISTOIRE ; SIECLE XIX ; COLONISATION ; ADMINISTRATION PENITENTIAIRE ; BAGNE ; PROPRIETE FONCIERE

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- n° n°303 - p.146-160
Cote : A1482-SC4


- Inaugurés en 1854, ily a cent cinquante ans, les camps de Guyane française ont broyé le destin de soixante-dix mille forçats, hommes et femmes, envoyés sur place pour peupler la colonie.

GUYANE ; BAGNE ; ILES DU SALUT ; REGIME PENITENTIAIRE ; ADMINISTRATION PENITENTIAIRE ; SAINT LAURENT DU MARONI

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