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UH
- n° 11 - 2 p.
Cote : A10103669341-QJ6
Par un arrêt rendu en date du 27 septembre 2023, la chambre criminelle précise que l’auteur d’une reconnaissance de paternité qui sait ne pas être le père biologique de l’enfant ne commet pas l’infraction de faux, dès lors qu’une telle reconnaissance n’atteste en elle-même aucune réalité biologique. Aussi, dans la même affaire, elle rappelle les exigences que doit revêtir la provocation pour être punissable au titre de l’article 227-12 du Code pénal.
Par un arrêt rendu en date du 27 septembre 2023, la chambre criminelle précise que l’auteur d’une reconnaissance de paternité qui sait ne pas être le père biologique de l’enfant ne commet pas l’infraction de faux, dès lors qu’une telle reconnaissance n’atteste en elle-même aucune réalité biologique. Aussi, dans la même affaire, elle rappelle les exigences que doit revêtir la provocation pour être punissable au titre de l’article 227-12 du Code ...
COUR DE CASSATION ; POLYNESIE FRANCAISE ; DROIT PENAL ; FAMILLE ; ADOPTION D'ENFANT ; ETAT CIVIL ; CODE PENAL ; CODE CIVIL
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UH
- n° 23676 - 2 p.
Cote : A9585-SC4
Des chercheurs demandent la levée des restrictions à l’accès des documents concernant les épisodes les plus controversés de la France et datant de plus de cinquante ans. Aucune de leurs initiatives n’a abouti à ce jour. Enquête sur les raisons d’un blocage.
- L’accès aux archives sensibles en question, suite, France Culture, 17 février 2020...
ARCHIVES ; ARCHIVES NATIONALES ; ACCES AUX DOCUMENTS ; ACCES A L'INFORMATION ; HISTOIRE ; CODE PENAL
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UH
- n° 23363 - 20 février 2020
Cote : A9096-QJ5
Longtemps peu utilisé en dehors des cercles militants féministes, le terme « féminicide » s’est imposé de manière spectaculaire dans le débat public ces derniers mois. Lors de son discours aux Nations unies en septembre 2019, Emmanuel Macron l’avait lui-même employé, appelant à « donner un statut juridique à ce sujet ». C’est dans cette perspective que la députée La République en marche (LRM) du Val-d’Oise Fiona Lazaar a lancé une mission d’information en janvier, dont elle a présenté le rapport mardi 18 février devant la délégation aux droits des femmes de l’Assemblée nationale.
Commission Assemblée nationale 18 février 2020, vidéo
Longtemps peu utilisé en dehors des cercles militants féministes, le terme « féminicide » s’est imposé de manière spectaculaire dans le débat public ces derniers mois. Lors de son discours aux Nations unies en septembre 2019, Emmanuel Macron l’avait lui-même employé, appelant à « donner un statut juridique à ce sujet ». C’est dans cette perspective que la députée La République en marche (LRM) du Val-d’Oise Fiona Lazaar a lancé une mission ...
DROIT PENAL ; CODE PENAL ; FEMINICIDE ; VIOLENCE ; AGRESSION ; VICTIME
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UH
- 26 p.
Cote : A6739-QJ6
Le Conseil constitutionnel a été saisi le 6 janvier 2016 par la Cour de cassation d'une question prioritaire de constitutionnalité relative à la conformité aux droits et libertés que la Constitution garantit des articles 836 du code de procédure pénale et L. 532-8 du code de l'organisation judiciaire. Ces dispositions fixent la composition de la formation collégiale du tribunal correctionnel dans le territoire des îles Wallis-et-Futuna. Faisant application de sa jurisprudence, le Conseil constitutionnel a jugé que les dispositions du second alinéa de l'article 836 du code de procédure pénale, qui permettent la présence d'une majorité de juges non professionnels au sein d'une formation correctionnelle de droit commun compétente pour prononcer des peines privatives de liberté, méconnaissent les exigences de l'article 66 de la Constitution. Le Conseil constitutionnel a en conséquence déclaré contraire à la Constitution le second alinéa de l'article 836 du code de procédure pénale. Cette déclaration d'inconstitutionnalité prend effet à compter de la date de la publication de la décision du Conseil constitutionnel. À compter de cette date, le tribunal correctionnel dans le territoire des îles Wallis-et-Futuna statuant en formation collégiale siégera selon la règle prévue par l'article 398 du code de procédure pénale, laquelle prévoit une formation de jugement composée d'une majorité de magistrats professionnels.
Le Conseil constitutionnel a été saisi le 6 janvier 2016 par la Cour de cassation d'une question prioritaire de constitutionnalité relative à la conformité aux droits et libertés que la Constitution garantit des articles 836 du code de procédure pénale et L. 532-8 du code de l'organisation judiciaire. Ces dispositions fixent la composition de la formation collégiale du tribunal correctionnel dans le territoire des îles Wallis-et-Futuna. Faisant ...
WALLIS ET FUTUNA ; QUESTION PRIORITAIRE DE CONSTITUTIONNALITE ; CODE DE PROCEDURE PENALE ; ORGANISATION JUDICIAIRE ; JUSTICE ; MAGISTRAT ; PROFESSION JUDICIAIRE ; DROIT COMMUN ; APPLICATION DU DROIT ; DROIT D'OUTRE MER ; CODE PENAL
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