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UH
- 496 p.
Cote : R1986-SC2
Depuis près de 70 ans, le peuple kanak est passé du monde invisible au monde visible. Invisible car jusqu’en 1946, les Kanak, peuple autochtone de Nouvelle-Calédonie, étaient cantonnés dans des réserves à l’écart du regard occidental. Face à un peuple viscéralement attaché à sa terre d’origine, l’Administration coloniale avait fait le choix de s’imposer par la maîtrise de l’espace. En réponse à cette stratégie de soumission spatiale, la fin du statut de l’Indigénat en 1946 révèle l’ambition d’un peuple de recouvrer son identité territoriale. Pour y parvenir, les Kanaks vont devoir emprunter de nouveaux chemins. Ce travail de recherche propose d’analyser les différents types de recomposition des territoires kanak (électoraux, coutumiers, économiques et urbains) et de mettre en perspectives les interrelations qui animent ces transformations. Ces recompositions prises dans leur ensemble participent-elles à un phénomène plus global de reconquête de l’espace néocalédonien ? Si aujourd’hui, le rôle central et incontournable des territoires kanak au sein de la société néo-calédonienne post-coloniale a été consacré par les Accords de Matignon (1988) et de Nouméa (1998), cette thèse s’interroge plus généralement sur la dimension territoriale du processus de décolonisation.
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Territoires Kanak : Pierre-Christophe Pantz, « la Nouvelle-Calédonie sera totalement à réinventer », Outremers360, 30 décembre 2015
Depuis près de 70 ans, le peuple kanak est passé du monde invisible au monde visible. Invisible car jusqu’en 1946, les Kanak, peuple autochtone de Nouvelle-Calédonie, étaient cantonnés dans des réserves à l’écart du regard occidental. Face à un peuple viscéralement attaché à sa terre d’origine, l’Administration coloniale avait fait le choix de s’imposer par la maîtrise de l’espace. En réponse à cette stratégie de soumission spatiale, la fin du ...
NOUVELLE CALEDONIE ; GEOPOLITIQUE ; HISTOIRE ; CANAQUE ; DROIT COUTUMIER ; POPULATION ; DECOLONISATION ; PROBLEME FONCIER ; URBANISATION ; COLONISATION ; DROIT DE VOTE ; ELECTION ; FRONT DE LIBERATION NATIONALE KANAK ET SOCIALISTE ; MOUVEMENT INDEPENDANTISTE ; AUTOCHTONE ; ACCORD DE NOUMEA ; CITOYENNETE
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- n° n°2005/1 - p.42-69
Cote : A1693-QJ9
La Cour européenne des droits de l'homme a estimé, dans un arrêt du 11 janvier 2005, que les restrictions apportées au droit de vote des résidants de Nouvelle-Calédonie ne portaient pas atteinte à "l'essence même du droit de vote" protégé par l'article 3 du protocole n°1 de la Convention européenne des droits de l'homme.
Arrêt Py c/ France, n°66289/01 du 11 janvier 2005 en version numérique
NOUVELLE CALEDONIE ; DROIT DE VOTE ; COUR EUROPEENNE DES DROITS DE L'HOMME ; JURISPRUDENCE
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