UH
- n° 63 - 4 p.
Cote : A9893-CA2
À La Réunion comme ailleurs, le réchauffement climatique est en marche. Les températures augmentent depuis 50 ans, du fait d’émissions mondiales de gaz à effet de serre en constante hausse. Sur l’île, la grande majorité de ces émissions provient de la consommation d’énergies fossiles (+ 60 % entre 2000 et 2019) pour se déplacer ou pour produire de l’électricité. Pour contribuer à limiter l’impact des activités humaines sur le climat, La Réunion s’est lancée dans la transformation de son mix électrique. L’objectif est qu’à court terme, l’électricité provienne uniquement d’énergies renouvelables en supprimant le recours aux énergies fossiles pour diminuer notablement l’émission de gaz à effet de serre. Renforcer le recours aux transports collectifs, l’émergence des véhicules électriques ainsi que le développement de modes doux, vont dans le même sens. Pendant la crise sanitaire, la diminution des déplacements a limité les émissions de gaz à effet de serre.
L’activité humaine produit aussi de plus en plus de déchets, qui sont encore majoritairement enfouis. Le tri, le réemploi et le recyclage se développent, et la quantité de déchets produits est amenée à diminuer, par la transition vers une économie circulaire.
À La Réunion comme ailleurs, le réchauffement climatique est en marche. Les températures augmentent depuis 50 ans, du fait d’émissions mondiales de gaz à effet de serre en constante hausse. Sur l’île, la grande majorité de ces émissions provient de la consommation d’énergies fossiles (+ 60 % entre 2000 et 2019) pour se déplacer ou pour produire de l’électricité. Pour contribuer à limiter l’impact des activités humaines sur le climat, La Réunion ...
DECIGEOM ; STATISTIQUE ; LA REUNION ; DEVELOPPEMENT DURABLE ; RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE ; CLIMAT ; ENERGIE ; TRANSPORT ; CRISE SANITAIRE ; ECONOMIE CIRCULAIRE
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