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UH
- 3 p.
Cote : A1010366938043-QJ7
La prescription quadriennale en contentieux de la responsabilité administrative s'interrompt par tout recours, même exercé à titre probatoire ou à titre provisoire. En outre, en cas d'allégations de violation de l'article 3 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales, il incombe à l'administration pénitentiaire de démontrer que le traitement infligé n'est pas contraire à la dignité humaine au regard des critères élaborés par la jurisprudence.
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Tribunal administratif de Guyane, 1ère Chambre, 28 décembre 2023, 2201112
La prescription quadriennale en contentieux de la responsabilité administrative s'interrompt par tout recours, même exercé à titre probatoire ou à titre provisoire. En outre, en cas d'allégations de violation de l'article 3 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales, il incombe à l'administration pénitentiaire de démontrer que le traitement infligé n'est pas contraire à la dignité humaine au ...
EMPRISONNEMENT ; GUYANE ; TRIBUNAL ADMINISTRATIF ; CONVENTION EUROPEENNE DES DROITS DE L'HOMME ; ADMINISTRATION PENITENTIAIRE ; PRISON ; POPULATION CARCERALE ; LIBERTES PUBLIQUES
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UH
- n° 6 - 18 p.
Cote : A100938-QJ7
« Le principe de la libre administration doit […] s’effacer chaque fois que l’application d’une liberté (ou d’un droit fondamental) risque d’être fractionnée sur l’ensemble du territoire. Les libertés doivent être égales partout et pour tous ». Par ces mots, Louis Favoreu révèle la complexité de mise en œuvre des libertés, particulièrement en outre-mer, partagé entre le principe d’uniformité de ces libertés sur l’ensemble du territoire et les principes d’autonomie et de spécialité législative des collectivités ultramarines.
« Le principe de la libre administration doit […] s’effacer chaque fois que l’application d’une liberté (ou d’un droit fondamental) risque d’être fractionnée sur l’ensemble du territoire. Les libertés doivent être égales partout et pour tous ». Par ces mots, Louis Favoreu révèle la complexité de mise en œuvre des libertés, particulièrement en outre-mer, partagé entre le principe d’uniformité de ces libertés sur l’ensemble du territoire et les ...
OUTRE MER ; LIBERTES PUBLIQUES ; REPARTITION DES COMPETENCES ; ETAT ; SPECIALITE LEGISLATIVE ; DROIT D'OUTRE MER ; ARTICLE 72 ; COLLECTIVITE D'OUTRE MER ; JURISPRUDENCE ; PRINCIPE DE LIBRE ADMINISTRATION
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UH
- n° 18.19 - 528 p.
Cote : R2114-QJ9
Le présent rapport sur « la place de la coutume à Mayotte » restitue les travaux menés de 2019 à 2022 par une équipe pluridisciplinaire de chercheurs et de praticiens (juristes, anthropologues, sociologues, historiens), à partir de l’article 75 de la Constitution qui permet aux Mahorais, en théorie, d’être régis par la coutume pour toutes les questions relevant de leur statut personnel. La coutume mahoraise est elle-même entendue ici dans un sens large, le statut personnel mahorais puisant à deux sources : le Minhâdj Al Talibin et les usages et pratiques traditionnels africains et malgaches. Si le processus de départementalisation n’a pas remis en cause ce principe, la volonté « d’accompagner » l’évolution statutaire de Mayotte a conduit le législateur à diverses adaptations vidant peu à peu le domaine de la coutume locale de son contenu, notamment pour le mettre en conformité avec les droits et libertés fondamentaux et à transférer les compétences juridictionnelles et notariales des cadis, autorités de « droit local », vers les juges et notaires dits « de droit commun ». L’équipe a donc pris soin d’étudier de quelle façon ces changements sont aujourd’hui mis en pratique par les justiciables et par les praticiens du droit. L’étude a pour ambition de mieux comprendre quel(s) rôle(s) doivent jouer les représentants de l’État et certains acteurs de la société civile.
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Présentation de ce rapport sur le site de l'Université de la Nouvelle-Calédonie-
Note de synthèse
Le présent rapport sur « la place de la coutume à Mayotte » restitue les travaux menés de 2019 à 2022 par une équipe pluridisciplinaire de chercheurs et de praticiens (juristes, anthropologues, sociologues, historiens), à partir de l’article 75 de la Constitution qui permet aux Mahorais, en théorie, d’être régis par la coutume pour toutes les questions relevant de leur statut personnel. La coutume mahoraise est elle-même entendue ici dans un ...
MAYOTTE ; STATUT PERSONNEL ; DROIT COUTUMIER ; DROIT DES MINORITES ET PEUPLES AUTOCHTONES ; ARTICLE 75 ; CADI ; JUSTICE CADIALE ; PROBLEME FONCIER ; ETAT CIVIL ; JURIDICTION DE DROIT LOCAL ; DROIT CIVIL ; DROIT COMMUN ; MARIAGE ; DIVORCE ; ADOPTION D'ENFANT ; LAICITE ; LIBERTES PUBLIQUES ; NOTAIRE
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