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- 3 p.
Cote : N669-QI3
Après 15 années de négociation au sujet de l'établissement d'un cadre légal pour la protection de la biodiversité en haute mer, les États membres de l'Organisation des Nations unies ont adopté il y a deux ans le traité Biodiversity Beyond National Jurisdiction (BBNJ). Dans quelles circonstances le traité sur la biodiversité en haute mer a-t-il vu le jour ? Quelles transformations pourrait apporter ce traité sur la gestion et l'exploitation de la haute mer ? Dans un contexte géopolitique marqué par la remise en cause de certains traités internationaux, quels sont les défis majeurs rencontrés par ce projet ? Le point avec Romane Lucq, analyste en stratégie internationale spécialisée sur les enjeux maritimes.
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Après 15 années de négociation au sujet de l'établissement d'un cadre légal pour la protection de la biodiversité en haute mer, les États membres de l'Organisation des Nations unies ont adopté il y a deux ans le traité Biodiversity Beyond National Jurisdiction (BBNJ). Dans quelles circonstances le traité sur la biodiversité en haute mer a-t-il vu le jour ? Quelles transformations pourrait apporter ce traité sur la gestion et l'exploitation de la ...
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POLITIQUE INTERNATIONALE ; BIODIVERSITE ; MILIEU MARIN ; ACCORDS CONVENTIONS ET TRAITES INTERNATIONAUX ; ORGANISATION DES NATIONS UNIES ; RESSOURCE SOUS MARINE ; AIRE MARINE PROTEGEE ; DROIT DE LA MER ; DROIT INTERNATIONAL ; ECOSYSTEME ; TRAITE ; ECONOMIE DE LA MER
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- n° 75 - 18 p.
Cote : N504-QJ10
la Guyane est une terre d'exception à de nombreux égards. Elle est l'un des deux derniers territoires non indépendants de l'Amérique du Sud (l'autre étant les îles Malouines), et se trouve dotée d'un statut assimilé à celui des régions de la France métropolitaine. Alors que la majorité des États du bassin amazonien reconnaissent aux Amérindiens le statut de peuple autochtone au sens du droit international , l'État français refuse toujours de signer la Convention n°169 de l'Organisation internationale du travail (adoptée en 1989) qui prévoit des droits spécifiques au profit des peuples dits « premiers ». Les 11 000 Amérindiens de Guyane, répartis en six ethnies (Arawak, Kali'na, Palikur, Teko, Wayana et Wayãpi) sont donc considérés juridiquement comme de simples citoyens français. Cet article tente de montrer comment l'État français s'est accommodé de la mobilité des communautés autochtones tout au long de sa construction et jusqu'à nos jours.
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la Guyane est une terre d'exception à de nombreux égards. Elle est l'un des deux derniers territoires non indépendants de l'Amérique du Sud (l'autre étant les îles Malouines), et se trouve dotée d'un statut assimilé à celui des régions de la France métropolitaine. Alors que la majorité des États du bassin amazonien reconnaissent aux Amérindiens le statut de peuple autochtone au sens du droit international , l'État français refuse toujours de ...
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GUYANE ; HISTOIRE ; AMERINDIEN ; AUTOCHTONE ; DROIT DES MINORITES ET PEUPLES AUTOCHTONES ; ORGANISATION DES NATIONS UNIES ; DROIT INTERNATIONAL ; CITOYENNETE ; INSTITUTION COUTUMIERE ; ETAT ; PROBLEME FONCIER
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- 3 p.
Cote : N503-QJ10
Le 9 décembre 1984, le président de la jeune Association des Amérindiens de Guyane française, Félix Tiouka, prononce une « adresse au gouvernement et au peuple français », intitulée « Notre terre, nous l'aimons et nous y tenons ». Il y expose la « situation de dominés » des Amérindiens de Guyane, descendants des premiers habitants présents avant l'arrivée des Européens. Et réclame le « droit à prendre en main [leur] propre développement économique, social et culturel ».
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Le 9 décembre 1984, le président de la jeune Association des Amérindiens de Guyane française, Félix Tiouka, prononce une « adresse au gouvernement et au peuple français », intitulée « Notre terre, nous l'aimons et nous y tenons ». Il y expose la « situation de dominés » des Amérindiens de Guyane, descendants des premiers habitants présents avant l'arrivée des Européens. Et réclame le « droit à prendre en main [leur] propre développement ...
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GUYANE ; AUTOCHTONE ; DROIT DES MINORITES ET PEUPLES AUTOCHTONES ; AMERINDIEN ; DROIT COUTUMIER ; PROBLEME FONCIER ; ORGANISATION DES NATIONS UNIES
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- 543 p.
Cote : O5504-QJ2
Les actes du colloque des 16 et 17 juin 2022 viennent de paraître dans la collection Confluence des droits de l'UMR DICE.
Voilà une quarantaine d'années que la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (CNUDM) a été adoptée, le texte s'apprêtant aujourd'hui à fêter les trente ans de son entrée en vigueur. Dans le contexte contemporain de maritimisation croissante des grandes questions inscrites à l'agenda diplomatique mondial, l'occasion est ainsi donnée d'interroger l'héritage et l'avenir de l'un des traités les plus emblématiques du xxe siècle. L'héritage s'entend au regard des objectifs et règles posés en 1982 : quelle lecture la pratique impose-t-elle des promesses d'un droit de la mer, alors qualifié de « nouveau »
Sans prétendre à l'exhaustivité, l'ouvrage explore des pistes de réflexion en prenant appui sur quelques-uns des grands thèmes suggérés ou abordés par ce traité : participation à la Convention, statut des espaces maritimes et des activités en mer, enjeux de la protection du milieu marin, questions liées à la mise en œuvre.
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Les actes du colloque des 16 et 17 juin 2022 viennent de paraître dans la collection Confluence des droits de l'UMR DICE.
Voilà une quarantaine d'années que la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (CNUDM) a été adoptée, le texte s'apprêtant aujourd'hui à fêter les trente ans de son entrée en vigueur. Dans le contexte contemporain de maritimisation croissante des grandes questions inscrites à l'agenda diplomatique mondial, ...
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DROIT DE LA MER ; CONVENTION ; ORGANISATION DES NATIONS UNIES ; DOMAINE MARITIME ; ECONOMIE DE LA MER ; FRONTIERE ; ARCTIQUE ; RUSSIE ; UNION EUROPEENNE ; PIRATERIE MARITIME ; DROIT INTERNATIONAL ; TRAFIC MARITIME ; AIRE MARINE PROTEGEE ; MILIEU MARIN ; DROIT MARITIME
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