UH
- 9 p.
Cote : A101036626-CO2
Pour de nombreuses raisons, notamment historiques, la préférence pour la voiture prévaut encore largement outre-mer, avec ses conséquences en termes d’embouteillages monstres des entrées de ville, de pollution et de qualité de l’air, de consommation de carburants, de dépendance vis-à-vis de la métropole, de ressources pour les collectivités territoriales ultra-marines, de mortalité routière ou de gouffre financier pour les familles à revenu modeste.
Malgré des difficultés bien réelles, le développement d’un réseau de transport en commun digne de ce nom constitue, au-delà de la réduction des bouchons d’entrée de ville, un formidable levier de transformation des territoires ultra-marins en faveur d’une transition écologique progressive, d’une plus grande attractivité, d’une évolution des ressources et des budgets des collectivités territoriales, d’un plus grand souci de la santé des habitants de ces territoires et d’une amélioration du pouvoir d’achat d’une grande partie de la population
Pour de nombreuses raisons, notamment historiques, la préférence pour la voiture prévaut encore largement outre-mer, avec ses conséquences en termes d’embouteillages monstres des entrées de ville, de pollution et de qualité de l’air, de consommation de carburants, de dépendance vis-à-vis de la métropole, de ressources pour les collectivités territoriales ultra-marines, de mortalité routière ou de gouffre financier pour les familles à revenu ...
TRANSPORT ; TRANSPORT ROUTIER ; TRANSPORT EN COMMUN ; DEPLACEMENT ; MOBILITE ; MOYEN DE TRANSPORT ; TRAIN ; OUTRE MER
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