UH
- n° n°5/2004 - 5 p.
Cote : A4795-CA3
Le long du Maroni, fleuve frontière entre la Guyane française et le Surinam, vivent les Aluku et les Djuka, descendants des esclaves marrons échappés aux XVIIIe et XIXe siècles des plantations de la Guyane hollandaise. A l'écart des colons occidentaux, ils ont développé des cultures originales, mélanges de traditions des sociétés africaines dont ils étaient issus et d'emprunts aux Amérindiens. Malgré les bouleversements actuels, leur habitat reste un témoin remarquable de cette histoire absolument originale.
Le long du Maroni, fleuve frontière entre la Guyane française et le Surinam, vivent les Aluku et les Djuka, descendants des esclaves marrons échappés aux XVIIIe et XIXe siècles des plantations de la Guyane hollandaise. A l'écart des colons occidentaux, ils ont développé des cultures originales, mélanges de traditions des sociétés africaines dont ils étaient issus et d'emprunts aux Amérindiens. Malgré les bouleversements actuels, leur habitat ...
GUYANE ; NOIR MARRON ; HABITAT TRADITIONNEL ; VILLAGE ; SURINAM ; IDENTITE CULTURELLE ; TRADITION ; AMERINDIEN ; AFRICAIN ; ARCHITECTURE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; HABITAT ; CULTURE ; ASSISES DES OUTRE-MER
... Lire [+]