Article | Mai 2019
L'histoire du capitaine Mauruc fournit l'un des aspects de la société tahitienne au début de l'influence française et établit une des raisons, la dernière peut-être, qui aurait déterminé l'Amiral Dupetit-Thouars à proclamer le Protectorat le 9 septembre 1842.
Rapport | 2009
Partant du constat que, sous le second Empire colonial français (qui connaît son apogée sous la IIIème République), la distinction entre colonisateur et colonisé s'exprime par le biais du droit de la nationalité, cette thèse se propose d'étudier l'histoire du droit de la nationalité propre aux colonisés (qu'on appelle alors indigènes), plus particulièrement quant à son articulation avec la notion, parfois ambiguë, de race. Ce droit émerge au début de la présence française en Algérie avant de voir ses principes posés en 1865 : expression d'un compromis entre mission civilisatrice et principe des nationalités, il doit permettre au colonisé de s'assimiler à la nation française par le biais d'une naturalisation, conçue comme une « conversion à la civilisation ». Si, dans la plupart des territoires sous domination française, aucun texte ne définit l'indigène, il en va autrement en Indochine, où sont adoptées, dans les années 1930, les dispositions les plus complètes, marquées par une représentation du colonisé en termes nationaux et raciaux et par la focalisation sur la question du métissage, aussi bien entre Européens et indigènes qu'entre Chinois et indigènes. Le droit de la nationalité propre aux colonisés dépérira progressivement par la suite, sous Vichy parce que le régime tend à transformer l'indigène en catégorie raciale, sous la IVème République parce que ce droit est considéré comme discriminatoire.
Rapport | Décembre 2016
Ce rapport est le fruit d'une recherche collective menée pour la Mission Droit et Justice sur l'histoire du droit du travail dans les colonies françaises de 1848 jusqu'aux indépendances de certains territoires dans les années 1950 et 1960. Document consultable aussi à ceete adresse : https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01592836
Article | 2002
Entre 1873 et 1894, l'administration pénitentiaire en Nouvelle-Calédonie a tenté de développer la culture et la transformation de la canne à sucre à Bourail et dans la vallée de la Dumbéa. Cette note relate l'histoire de cette tentative et de son échec.
Ouvrage | Janvier 2014
Un collectif d'auteurs, sous la direction de Frédéric Angleviel et Bernadette Papilio-Halagahu, retrace l'originalité de l'histoire de Wallis et Futuna des origines à nos jours. Ce livre aborde aussi les constantes de la société actuelle, les expériences de développement durable et les relations entre économie et coutume.
Article | 2011
Cet article s'intéresse au rôle des juristes qui publient des analyses sur des questions de droit relatives à l'avenir de l'outre-mer à partir de 1946 jusqu'au début des années 1960. Nous avons pu ainsi mettre en évidence l'approche libérale de plusieurs spécialistes sur les questions ultramarines. Cette doctrine s'éloigne de la vision strictement coloniale, basée sur la notion de « domination », pour privilégier un modèle institutionnel relativement égalitaire entre la France et les territoires d'outre-mer encore sous sa souveraineté. Elle réclame, sur ce point, l'application d'un véritable réformisme.
Article | 4-10 septembre 2015
C'est dans les archives de la Bibliothèque nationale de France que ce texte , publié a Paris en 1849, a été trouvé. Ecrit par un jeune officier du Génie militaire qui a séjourné à Tahiti de février 1847 à juillet 1848, cette publication décrit la situation de Tahiti à cette époque, c'est à dire un an après la fin de la guerre franco-tahitienne.
Article | Avril 2007
Article | 1999
Extraits des articles rédigés par le Cercle littéraire de Wallis et Futuna.
Rapport | 1995
Historique des service de santé en Polynésie Française de 1844 à 1994.
Ouvrage | 1959
Ouvrage | 1959
Rapport | 1989
Rapport | 1945
Ouvrage | 1889
Exposition coloniale de 1889.
Ouvrage | 1889
Exposition coloniales de 1889
Ouvrage | 1963
Ouvrage | 1946
Contient des biographies
Ouvrage | Septembre 2009
Les hasards de la colonisation ont placés Tahiti et ses îles, la Nouvelle-Calédonie, Wallis et Futuna, sous la souveraineté française. Ce mariage n'a pas été vécu sous les mêmes formes. Ce qui explique que chacun de ces trois archipels ait aujourd'hui un statut et une physionomie spécifiques. L'objet de cet ouvrage est de retracer ces trois destinées fort dissemblables.
Ouvrage | 1er trimestre 1994