Article | 6 février 2020
L'intérêt de la vaccination dans la lutte contre les maladies infectieuses ne cesse d'être remis en question, notamment en raison de l'aluminium utilisé dans les adjuvants. Face à ce sujet hautement polémique, le désarroi des parents, qui ne savent plus s'ils protègent réellement leurs enfants en suivant le calendrier réglementaire… En Polynésie, ce ne sont plus huit, mais onze piqûres qui sont désormais obligatoires, depuis 2019. Alors, les vaccins représentent-ils un danger pour notre progéniture ? À l'heure de la recrudescence des épidémies mondiales, les pédiatres sont catégoriques : ils sont définitivement une priorité de santé publique.
Article | 15 février 2020
Entre 2005 et 2006, une douzaine de mamans atteintes par le virus du chikungunya ont donné vie à des enfants sévèrement handicapés. Toutes ont été infectées alors que les autorités considéraient la maladie comme bénigne et temporaire. Aujourd'hui adolescents, les enfants ont gardé des lourdes séquelles neurologiques.
Fiche | Mai 2019
Rapport | Novembre 2016
Entre 2013 et 2016, la Guyane française a été confrontée à trois épidémies successives d'arboviroses différentes : Dengue, Chikungunya et Zika, dont deux encore jamais recensées sur le territoire. Les maladies infectieuses en Guyane française sont un problème de santé publique majeur représentant 6.4% des décès en 2013 (contre 1.9% en France métropolitaine). Il est primordial, devant l'arrivée sur le territoire de ces nouvelles arboviroses, d'anticiper la survenue d'épidémies et de renforcer nos connaissances sur les particularités locales de ces virus. L'objectif principal de cette étude est de comparer et décrire les facteurs épidémiologiques, cliniques et biologiques qui aideraient à différencier un patient infecté par le chikungunya ou la dengue ors de sa première consultation médicale, afin d'optimiser la prise en charge des patients. Cette thèse présente également une brève histoire des arboviroses en Amérique.
Article | Novembre 2015
Sommaire de cette publication : Bilan de la saison grippale 2014-2015 aux Antilles, Bilan de l'épidémie de grippe en 2015 en Guyane, Pertinence de la stratégie vaccinale de la France métropolitaine appliquée en Guyane, Bilan de la situation de la ciguatera en Martinique. Données disponibles du 1er janvier 2013 au 15 juillet 2015, Retour d'expérience sur les épidémies de chikungunya ayant touché les Antilles en 2014, Principales conclusions de l'enquête conduite auprès des partenaires pour l'évaluation de la surveillance épidémiologique en vue de la préparation du RETour d'EXpérience sur l'épidémie de chikungunya
Question minist. | 7 juillet 2015
M. Gabriel Serville interroge Mme la ministre de l'écologie, sur la campagne de lutte anti-vectorielle actuellement en cours en Guyane dans le cadre de la lutte contre l'épidémie de chikungunya.
Doc. parlementaire | 28 mai 2015
Dans un monde globalisé, l'urbanisation anarchique, l'essor du transport notamment aérien, le réchauffement climatique, les nouvelles techniques d'agriculture constituent autant de facteurs dramatiquement favorables à la propagation de maladies infectieuses tels que la dengue, le chikungunya et bien d'autres. Aussi, la délégation sénatoriale à la prospective a souhaité approfondir l'analyse de mesures susceptibles d'améliorer la gestion des crises sanitaires.
Article | 10 février 2015
Censé éradiquer les moustiques vecteurs de la maladie, le malathion est pulvérisé depuis novembre dans le département d'outre-mer, malgré son interdiction en Europe en 2007
Article | 15 janvier 2015
A Saint-Martin, l'augmentation du nombre de cas cliniquement évocateurs observée début décembre ne s'est pas poursuivie. Saint-Martin est actuellement en phase 2 du Psage*.
A Saint-Barthélemy, la transmission virale reste soutenue depuis la reprise épidémique de début novembre 2014.
En Martinique, la tendance à la baisse se poursuit. La Cellule de gestion du 8 janvier a acté un passage en phase 4 du Psage, fin d'épidémie.
En Guadeloupe, l'épidémie est terminée depuis la troisième semaine de novembre.
Article | 15 janvier 2015
Dans les secteurs de Kourou, de l'Ouest Guyanais, du Maroni (Maripasoula, Papaïchton, Grand Santi et Apatou) et sur la commune de Matoury on observe une augmentation du nombre de cas cliniquement évocateurs de chikungunya. A Cayenne et Rémire une stabilisation de cet indicateur est enregistrée.
Article | Décembre 2014
Le virus du chikungunya est apparu pour la première fois aux Antilles, à Saint Martin, en novembre 2013, puis s'est propagé dans la région. En Guadeloupe, le premier cas de chikungunya a été détecté en décembre 2013. Une épidémie s'est ensuite progressivement généralisée à partir d'avril 2014. Au vu des conséquences individuelles et collectives de la maladie, les autorités sanitaires avaient rapidement mis en place des moyens de prévention et d'informations pour lutter contre la propagation de l'épidémie. L'arrivée des « grandes vacances scolaires » et l'augmentation du nombre de touristes associée à cette période laissaient craindre une recrudescence de l'épidémie et nécessitaient une sensibilisation de cette population. A la fin du mois d'août, marqué par une régression de l'épidémie, les autorités ont souhaité avoir une idée du niveau de connaissance des personnes ayant séjourné en Guadeloupe afin d'évaluer la qualité de l'information transmise et l'impact sur la propagation de l'épidémie.
Article | 8 juillet 2014
Bien que les Amériques aient été, jusqu'en novembre 2013, indemnes de chikungunya, le risque d'émergence de cette arbovirose était considéré comme grandissant dans les départements et collectivités français d'Amérique (DFA), en raison de la présence d'un vecteur compétent et des échanges internationaux croissants avec des zones d'endémicité.
Texte officiel | 15 octobre 2007
L'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement etdu travail a été saisie le
24 août 2006 par le ministère de la santé et des solidarités, le ministère de l'écologie et du
développement durable et le ministère de l'emploi, de la cohésion sociale et du logement pour conduire une évaluation comparée des produits larvicides utilisables en lutte antivectorielle dans le contexte épidémique de l'Île de la Réunion par le virus du Chikungunya.
Texte officiel | 18 mars 2014
Article | 9 décembre 2014
Le directeur de l'Agence régionale de la santé, Christian Meurin, estime qu'il n'y a aucun risque à utiliser le malathion aux doses recommandées. Les opposants ne sont pas convaincus
Discours | 24 novembre 2014
La ministre des Outre-mer, George Pau-Langevin, est intervenue, devant les maires des Outre-mer réunis au siège de l'Association des maires de France à l'occasion de son 97e congrès.
Article | 20 août 2014
Depuis début août, un arrêté interministériel permet l'utilisation à titre dérogatoire d'un insecticide pour lutter contre la propagation du virus du chikungunya.Interdite en Europe mais utilisée aux États-Unis et au Canada, l'utilisation du malathion suscite des réticences.
Article | 21 août 2014
Les ministères de la Santé et de l'Ecologie ont autorisé en Guyane le recours au malathion, un insecticide interdit dans l'UE pour éradiquer les moustiques tigres, vecteurs du virus chikungunya qui frappe l'Outre-mer. Le feu vert des autorités sanitaires fait polémique.
Question minist. | 23 juillet 2014
Madame la ministre, comment comptez-vous améliorer sur place et en amont la lutte anti-vectorielle ? Quelles sont les mesures que vous pensez prendre pour réduire les risques de crises épidémiques que nos populations affrontent avec dignité et courage ?
Article | Mai 2014