Rapport | Mai 2022
En 2022, alors que le prix des carburants et du gaz de pétrole liquéfié (GPL) atteint des niveaux record tant en métropole que dans les départements français d'Amérique (DFA – Guadeloupe, Guyane et Martinique), ces derniers y sont particulièrement sensibles.
Rapport | Juillet 2023
La pêche à la légine dans les eaux des iles Crozet et Kerguelen est une filière qui contribue à la création de richesses et à la protection d'un environnement exceptionnel.
- Mise en place d'un contingentement pour la pêche à la légine dans les terres australes et antarctiques françaises, Vie publique, 31 juillet 2023
Rapport | Juillet 2023
Le régime d'aide fiscale à l'investissement productif (RAFIP) en outre-mer comporte cinq dépenses fiscales pour un total de 827 M € en 2022. Plusieurs rapports administratifs et parlementaires consacrés à l'efficacité de ce dispositif depuis 2017 s'accordent à relever son ciblage imparfait, l'imprécision qui entoure le montant et la répartition des dépenses fiscales ainsi que la difficulté à en évaluer l'impact effectif sur le tissu productif ultramarin.
Dans ce contexte, les ministres chargés de l'Économie, des Comptes publics, de l'Intérieur et de l'Outre-mer ont demandé à la mission, par une lettre du 29 mars 2023, de conduire les travaux suivants :
- analyser la répartition actuelle des aides fiscales à l'investissement en outre-mer ;
- évaluer l'impact de ces aides fiscales sur le tissu productif ultramarin ;
- apprécier les conditions de fonctionnement et de contrôle de cette dépense fiscale.
En conclusion, la mission estime souhaitable et possible de procéder à un meilleur ciblage du dispositif et à des contrôles accrus sans lesquels l'État ne peut s'assurer de la bonne destination des fonds engagés. Il appelle également à penser le RAFIP non comme un substitut aux angles morts des politiques budgétaires de l'État et des collectivités mais bien comme un outil ciblé vers l'investissement productif. C'est à cette double condition de ciblage et de contrôle que les aides fiscales à l'investissement productif produiront leurs pleins effets.
Rapport | Mars 2021
Ce rapport est la conclusion d'une mission sur l'avenir de la filière sucre outre-mer confiée à l'inspection générale des finances, au conseil général de l'environnement et du développement durable et au conseil général de l'alimentation, de l'agriculture et des espaces ruraux lors du comité national de transformation agricole des outre-mer du 5 novembre 2020.
Dans ce rapport, les missionnaires constatent l'importance majeure de la filière sucre sur l'emploi agricole et agroalimentaire dans les territoires d'outre-mer.
- Filière Canne-sucre-rhum : Les premières propositions du rapport des inspections générales sur l'avenir de la filière, Outremers360, 26 juillet 2021
Rapport | Janvier 2020
A la suite des cyclones Irma et Maria, dévastateurs, survenus en septembre 2017 dans les Antilles, la ministre des Outre-mer, le ministre de l'Economie et des finances et la ministre de la Cohésion des territoires ont missionné, fin 2019, l'inspection générale des finances (IGF) et le Conseil général de l'environnement et du développement durable (CGEDD) au sujet du phénomène de non-assurance dans les départements et collectivités d'Outre-mer. Le rapport dresse un état des lieux complet et détaillé du phénomène de non-assurance dans les Outre-mer et de ses causes et propose des mesures susceptibles d'augmenter le taux de souscription à l'assurance dans les outre-mer.
Rapport | Mai 2018
Le service public de l'eau potable en Guadeloupe est en situation de crise sévère, avec la multiplication des tours d'eau et coupures, présentant des risques pour la santé publique et constituant une contrainte économique majeure pour l'économie guadeloupéenne (tourisme, artisanat, industries agro-alimentaires). Des investigations conduites par la mission inter-inspections CGEDD-IGA-IGF émerge un diagnostic général : cette crise n'est pas le fruit d'une insuffisance de la ressource en eau, mais la conséquence d'une situation dégradée et systémique, englobant tout autant la gestion que le fonctionnement des services d'eau, le respect de l'état de droit, l'urbanisme...Les solutions déjà proposées certes intéressantes sont individuellement insuffisantes pour répondre en totalité aux enjeux de la crise. En savoir plus, site de la Préfecture de la Guadeloupe : http://www.guadeloupe.pref.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement-risques-naturels-et-technologiques/Dossier-de-l-eau/L-Etat-mobilise-l-ensemble-des-acteurs-autour-des-conclusions-du-rapport-d-audit-sur-l-eau
Rapport | Mai 2014
Le domaine public maritime naturel est le plus vaste domaine public français. Régi par le principe d'accessibilité à tous, les occupations et usages particuliers sont restreints, soumis à autorisation de l'etat et au paiement d'une redevance. Le produit de cette redevance s'est élevé à 27,3 millions d'euros en 2013 et les tarifs sont très différents d'une façade maritime à l'autre. La mission dresse un état des lieux des redevances perçues et elle en déduit des propositions visant à rationaliser le système de perception et à améliorer son suivi. Elle étudie en outre l'opportunité d'une prise en considération des coûts environnementaux dans le montant des redevances, ce qui implique une évolution juridique ou jurisprudentielle du concept de redevance domaniale.
Rapport | Mai 2012
Rapport | Mars 2016
C'est un rapport assez explosif que le Conseil général de l'économie, de l'industrie, de
l'énergie et des technologies a publié le 7 mars 2017, avec un an de retard par rapport à sa
remise au ministre de l'Economie de l'époque, Monsieur Emmanuel Macron. Conformément à la lettre de mission, les auteurs, un inspecteur général des finances et deux ingénieurs généraux des mines, s'attellent à identifier les
écarts réglementaires entre la France et les pays comparables et établissent des propositions pour y remédier. Invitée à identifier des écarts réglementaires et de transposition des textes européens particulièrement pénalisants pour l'activité industrielle en France, la mission relève un paradoxe entre l'omniprésence du thème de la sur-réglementation dans le discours politico-administratif et le sentiment des acteurs économiques d'un alourdissement normatif permanent. La mission fait des recommandations destinées à mieux intégrer l'objectif de compétitivité dans le travail normatif.
Rapport | 21 janvier 2014
Selon ce rapport rendu en janvier 2014, le ministère de la Justice aurait recours à des collaborateurs non déclarés : Experts, traducteurs, délégués du procureurs, médiateurs. Dans le jargon administratif, on les appelle les collaborateurs occasionnels du service public. Ils font l'objet d'une mission pour les ministères des Finances, des Affaires sociales et de la Santé, et surtout la Chancellerie, particulièrement friande de ce type de "contrats" depuis 1999. Des collaborations non déclarées, pour lesquelles l'Etat ne paie pas les charges patronales et les personnes employées en tant que vacataires ne reversent pas la TVA.
Lire aussi article de France-Inter du 02/09/2015 : http://www.franceinter.fr/depeche-rapport
Et article de Dalloz actualités intitulé :
La Chancellerie est-elle en règle avec le Trésor et l'URSSAF ? : http://www.dalloz-actualite.fr/printpdf/flash/chancellerie-est-elle-en-regle-avec-tresor-et-l-urssaf
Rapport | Avril 2015
À quelles conditions l'État peut-il réussir la conduite de la Réate II alors que celle de la Réate I reste marquée par une cicatrisation inachevée ? Les 11 corps d'inspection de l'État, missionnés par le gouvernement sur l'évolution de l'organisation déconcentrée de l'État après le redécoupage régional, formulent, dans un rapport qui vient d'être rendu public, plusieurs propositions dont le gouvernement s'est en partie inspiré pour le lancement de cette réforme. L'une des principales clés reste l'accompagnement des 11 000 agents concernés par les réorganisations.
Rapport | Septembre 2013
En application des décisions du Comité interministériel pour la modernisation de l'action publique (CIMAP) du 18 décembre 2012, une mission a été confié aux trois inspections générales interministérielles (IGA/IGF/IGAS) en vue d'évaluer la politique d'affectation et de mobilité des fonctionnaires dans et entre les trois fonctions publiques, en particulier dans les régions, départements ou les zones rurales et urbaines peu attractifs.
Rapport | Décembre 2012
Rapport | Mars 2012
Le rapport relatif aux « agences de l'Etat » a été commandé le 22 août 2011 par le précédent gouvernement à l'IGF. Il porte sur les entités qui, quoique distinctes de l'Etat, sont étroitement contrôlées et largement financées par lui. Le rapport en a répertorié 1 244, fin 2010.
La mission affichait deux objectifs principaux :
- établir un état des lieux sur le recours à ces entités et sur leur insertion dans les politiques publiques auxquelles elles se rattachent ;
-produire une analyse stratégique sur la justification du recours à de telles entités pour conduire des politiques publiques.
Présentation sur le site du Ministère de l'économie et des finances : http://www.economie.gouv.fr/igf-rapport-sur-les-agences-de-l-etat
- Article du Monde du 17/09/2012 : http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/09/17/les-agences-d-etat-dans-la-ligne-de-mire-de-l-igf_1761112_3234.html
Rapport | Septembre 2012
Rapport | Octobre 2011
Rapport | Janvier 2011
Rapport | 2001
Rapport | Septembre 2010
Rapport | 1992