Article | 11 février 2021
Le Gepea, laboratoire de l'université de Nantes, participe à un projet de culture à grande échelle de microalgues, en Guyane. Porté par la Sara (Société anonyme de raffinage des Antilles), le projet est lauréat d'un appel à projet du Programme d'investissement d'avenir.
Multimédia | Septembre 2020
En septembre 2020, une équipe de scientifiques a sillonné les eaux de l'archipel de Saint-Pierre et de Miquelon pour poser des balises Argos sur cinq phoques veaux-marins et deux phoques gris. Ce programme scientifique (projet COPEMAM) a pour objectif de mieux connaître ces mammifères marins, leur habitat et leurs interactions avec les activités humaines.
- Une mission scientifique pour mieux comprendre le comportement des mammifères marins, Outre-mer la 1ère, 9 août 2019
-Biodiversités du bassin Atlantique Un gradient latitudinal source d'une richesse exceptionnelle mais vulnérable Colloque du 6 juin 2019, Sénat
Article | 2013
L'année 2010 a été l'occasion de constater la progression des processus d'érosion de la biodiversité à l'échelle mondiale. Des instruments légaux existent pourtant à l'image de la Convention sur la diversité biologique (CDB) pour tenter de promouvoir la conservation et encadrer l'utilisation de la biodiversité. Cette convention consacre notamment l'APA (l'accès et le partage des avantages) qui vise à la régulation de l'accès et de l'utilisation des ressources génétiques et des savoirs traditionnels associés.
Article | Janvier-mars 2018
Depuis 2011, les tribunaux coutumiers en Nouvelle‑Calédonie imposent en droit une défnition de la paternité kanak exclusivement fondée sur la « coutume ». Cet article déconstruit les présupposés culturalistes qui justifent, aux yeux des juges et contre les justiciables kanak, la disqualifcation de toute conception biologique de la paternité. Il montre aussi que l'enjeu de la paternité légale, loin de traduire une norme coutumière atemporelle, est en pratique mobilisé par les Kanak au sein de stratégies familiales historiquement situées.
Article | 2e semestre 2012
Cet article analyse, dans un premier temps, les principes de droit international qui s'attachent à encadrer les pratiques d'accès et d'utilisation de la biodiversité et des savoirs traditionnels, et les droits qui en découlent pour les communautés autochtones et locales. Il abode ensuite, de quelle manière ces principes sont effectivement mis en œuvre dans l'outre-mer français et en particulier en Guyane, Polynésie française et Nouvelle-Calédonie, seuls territoires où ont été engagées des procédures de ce type. Dans la dernière partie est analysé le rôle et les pouvoirs octroyés aux communautés autochtones et locales de ces territoires dans le cadre du contrôle de l'accès et de l'utilisation des ressources situées sur leur territoire ainsi que de leurs savoirs.
Article | 16 février 2016
Grâce aux nouvelles techniques d'« édition du génome », les hommes sont capables d'éteindre en un clin d'oeil une espèce animale. Mais avec quelles conséquences ?
En complément, article paru sur le blog écologie du Monde du 16/02/2016 : http://ecologie.blog.lemonde.fr/2016/02/16/et-si-on-eradiquait-tous-les-moustiques/
Question minist. | 26 janvier 2016
M. Thierry Robert interroge Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le maintien des laboratoires de biologie médicale en Outre-mer, et plus particulièrement à La Réunion.
Article | 19 janvier 2016
La biodiversité suscite l'intérêt de la recherche et de l'industrie pharmaceutique, et le partage des bénéfices qui en découle baigne dans un grand flou juridique, entouré de soupçons de biopiraterie.
Question minist. | 13 août 2013
M. Bruno Nestor Azerot attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la situation des biologistes médicaux des départements et régions d'Outre-mer au regard de la réforme de la biologie médicale en cours.
Rapport | 2002-2003
Un des plus grands défis du droit de l'environnement contemporain consiste sans doute en l'adaptation et en la création des instruments juridiques efficaces à la mise en oeuvre de la protection de la diversité biologique mondiale, de ses composants, et des savoirs traditionnels des communautés locales et autochtones associées aux ressources génétiques.
Tout d'abord, il faut souligner les différences et les évolutions économiques et géopolitiques de la distribution et de l'utilisation de la biodiversité mondiale, qui montrent la nécessité, mais également les difficultés juridiques pour établir un système de protection et de mise en valeur de la biodiversité, qui soit à la fois accepté et acceptable.
Rapport | Septembre 2011
Résumé en pièce jointe
Article | Avril 2010
L'algue est une ressource marine peu étudiée par la géographie ; elle offre pourtant des potentialités de développement économique. Les macro-algues cultivées à des fins alimentaires sont une alternative à la pêche. Les micro-algues constituent une biomasse valorisable : molécule pharmaceutique, Oméga 3 et biocarburants. De ces différents usages naît la question suivante : les algues sont-elles une ressource marine à exploiter pour développer durablement les territoires de la zone intertropicale ?
Ouvrage | 1972
Article | Septembre 2009
La Nouvelle-Calédonie est considérée comme une zone prioritaire pour la préservation de la biodiversité à l'échelle mondiale, en raison de sa flore riche, originale et menacée. Pour mieux comprendre l'évolution de cette flore, une étude phylogénétique a été menée sur une des familles emblématiques du territoire, les Cunoniacées, particulièrement bien adaptées aux sols miniers.
Ouvrage | 1991
Actes du colloque organisé le 6/11/1990 par la fondation Singer-Polignac