Article | Janvier 2025
En avril 2023, l'ISPF et l'Ined, à la demande de la DGEE ont conduit une enquête statistique dans l'ensemble des établissements de Polynésie française auprès des élèves de terminale. Interrogés sur leurs conditions de vie, leurs activités, leur orientation et leur avenir, plus de 60 % perçoivent l'intérêt et/ou l'utilité de leurs études et 73 % espèrent les poursuivre. A moyen terme, si certains envisagent de quitter le territoire, la grande majorité désire rester ou revenir au fenua.
Article | Septembre 2024
Depuis 2013, l'académie de Guyane s'adapte à la progression des effectifs scolaires.
Article | Septembre 2022
En 2020, 7 100 étudiants inscrits dans l'enseignement supérieur français ont obtenu leur baccalauréat en Nouvelle-Calédonie. L'effectif de cette population d'étudiants calédoniens a fortement augmenté, de 6,1 % en moyenne par an, entre 2011 et 2020. En 2020, 59 % de ces étudiants sont inscrits dans une université, en Nouvelle-Calédonie, en métropole ou dans l'outre-mer français.
Rapport | Décembre 2020
À la demande de la commission des finances du Sénat, la Cour des comptes a enquêté sur l'organisation, le fonctionnement, le coût et les résultats du système scolaire outre-mer. Des caractéristiques géographiques, climatiques ou socio-économiques y rendent la mission éducative plus ardue que dans la plupart des académies métropolitaines. La différence en termes de résultats scolaires est difficile à apprécier. Si les taux d'accès au brevet et au baccalauréat sont parfois très proches des moyennes nationales, les évaluations sur certaines compétences présentent des écarts considérables. Le coût du système scolaire en outre-mer est supérieur d'environ 30 % à la moyenne nationale. Cet effort incontestable de moyens est toutefois mal ajusté aux besoins, l'organisation des dispositifs, trop peu ajustée aux réalités locales, entraînant une perte d'efficacité. L'éducation nationale devrait faire preuve d'une plus grande adaptabilité pour résoudre la tension entre la forte revendication à l'égalité de traitement des élèves et l'indispensable différenciation des modes d'organisation et d'application des dispositifs scolaires. La Cour formule 11 recommandations en ce sens.
Article | Octobre 2020
Les parcours des jeunes bacheliers de Polynésie française dans l'enseignement supérieur de la Métropole reflètent les inégalités sociales et scolaires.
Article | 22 juin 2017
A Mayotte, la notation des épreuves du baccalauréat divise certains membres du corps enseignant et le vice-rectorat: les premiers dénoncent des résultats "surévalués", le second parle d'une "bienveillance" similaire à la celle qui s'exerce en métropole.
Article | Juillet 2016
Memento présentant les effectifs scolaires à Mayotte.
Article | Avril 2015
Memento présentant les effectifs scolaires à Mayotte.
Article | Février 2014
Article | Février 2012
Article | Janvier 2010
Article | Février 2009
Article | 2005
- Article consultable à l'adresse suivante : ftp://trf.education.gouv.fr/pub/edutel/dpd/ni/ni2005/ni0521.pdf
Article | 2005
- Article consultable à l'adresse suivante : ftp://trf.education.gouv.fr/pub/edutel/dpd/ni/ni2005/ni0509.pdf
Article | 2004
L'histoire de la scolarisation publique de masse à Mayotte est relativement récente. On est passé ainsi de quelques 2 900 élèves en 1973 (7 % de la population d'alors) à plus de 56 500 en 2002 (35 %) accueillis dans un système d'enseignement unifié, dont l'architecture générale actuelle (191 écoles du premier degré, 14 collèges et 6 lycées en 2002, 16 collèges et 7 lycées à la rentrée 2003) s'est progressivement mise en place depuis les années 1980.
Ce formidable développement des effectifs scolaires s'accompagne de progrès majeurs : actuellement l'ensemble d'une classe d'âge est scolarisé dans le premier degré, le retard scolaire a également sensiblement diminué et de plus en plus de jeunes ont accès à l'enseignement dans le second degré. La scolarisation des filles a également rattrapé son retard en particulier dans le second degré. Bénéficiant de ces avancées incontestables, le système éducatif à Mayotte tend à se normaliser, créant de nouveaux besoins d'appréciation et d'évaluation de ses performances et conduisant dans le même temps à en spécifier et souligner les faiblesses. On ne peut effectivement que constater le niveau encore insuffisant des élèves mahorais avec, au final, un échec scolaire qui reste trop important. Des difficultés spécifiques en terme d'aménagement sont également à souligner au niveau de l'enseignement pré-scolaire et les communes urbaines semblent nettement défavorisées.
Article | Juin 2001
Article | 3e trimestre 2000
Article | Janvier - Mars 1996
Article | 1999
Article | 1997