Article | Octobre 2023
En 2022, les prix à la consommation entre la Polynésie française et la France métropolitaine demeurent plus élevés de 31 %, en considérant un panier de consommation moyen comparable et intermédiaire entre les structures de consommation des deux territoires. En 2016, à méthode identique, cet écart s'élevait à 39 %.
Article | Mai 2023
Les ménages guadeloupéens allouent en moyenne 22,4 % de leur budget pour l'alimentation en 2017, qui représente ainsi la première part des dépenses d'un ménage. Les habitudes alimentaires des Guadeloupéens diffèrent sur de nombreux points de celles des métropolitains. La consommation de fruits est moins fréquente en Guadeloupe qu'en France métropolitaine, en particulier pour les ménages les plus modestes. Les produits laitiers sont également moins consommés. À l'inverse, les légumes, l'huile et les produits sucrés sont plus consommés en Guadeloupe. La viande est également présente, la volaille étant privilégiée contrairement au bœuf. Par ailleurs, les produits ultra-transformés ont une part importante dans les habitudes alimentaires guadeloupéennes, mais inférieure à celle des métropolitains.
Article | 8 janvier 2023
Le retard des politiques publiques essentielles explique cette situation paradoxale, favorable au désengagement du commun. A l'instar d'OpinionWay et de Cofidis/CSA Research qui ont sondé les Français de l'Hexagone uniquement sur leur situation face à l'inflation et sur le bonheur en septembre et en novembre dernier, Qualistat vient de faire de même avec les Antillo-Guyanais mi-octobre. Qualistat a donc réalisé un sondage sur la perception qu'ont les Antillo-Guyanais de la problématique du pouvoir d'achat et pour savoir comment ils se comportent face à ce problème qui impacte leur porte-monnaie, comment ils vont après cette période particulièrement difficile qu'a été la crise sanitaire du Covid-19, et comment ils voient l'avenir.
La situation économique et les préoccupations majeures en Guadeloupe
Article | Juillet 2022
En Guyane, 29 % des habitants vivent en situation de grande pauvreté en 2018, cumulant au moins sept privations matérielles et une forte pauvreté monétaire. Les ménages complexes (ménages comportant plusieurs familles, plusieurs générations) et les familles monoparentales sont particulièrement confrontées à cette pauvreté intense. Les deux tiers des personnes en situation de grande pauvreté sont des étrangers.
Article | Juillet 2022
En Guadeloupe, en 2018, 12 % des habitants vivent en situation de grande pauvreté, cumulant au moins sept privations matérielles et une forte pauvreté monétaire.
Article | Juillet 2022
Être pauvre, ce n'est pas seulement vivre avec des revenus faibles, inférieurs à un seuil donné (pauvreté au sens monétaire). C'est également ne pas être en mesure de couvrir les dépenses liées à un certain nombre d'éléments de la vie courante considérés comme souhaitables, voire nécessaires, pour avoir des conditions de vie acceptables (pauvreté au sens de la privation matérielle et sociale) : ne pas pouvoir par exemple remplacer des meubles usagés ou s'acheter des vêtements neufs. En 2018, 3 Réunionnais·es sur 10 sont touché·es par ces deux formes de pauvreté.
Article | Août 2021
En Nouvelle-Calédonie, le niveau de vie médian augmente entre 2008 et 2019. Les inégalités sont en léger recul sur les dix dernières années. Toutefois, près d'un Calédonien sur cinq vit toujours sous le seuil de pauvreté en 2019, l'inactivité et le chômage étant les principaux facteurs déterminants de cette pauvreté.
- Calédonie, une pauvreté à nuancer, Noumeapost, 27 août 2021
- 18 % des Calédoniens sont toujours pauvres selon l'Isee, Les Nouvelles calédoniennes, 26 août 2021
- Économie : Un Calédonien sur cinq vit toujours sous le seuil de pauvreté, Les Nouvelles calédoniennes, 26 août 2021
- Le taux de pauvreté reste stable en Nouvelle-Calédonie, Outremers360, 2 septembre 2021
Article | Juillet 2020
En 2018, les habitants de Mayotte consomment en moyenne pour 1 190 euros par mois et par ménage. Le niveau de consommation moyen reste inférieur de moitié à celui de métropole et d'un tiers par rapport aux autres DOM. Les dépenses de consommation n'ont pas progressé depuis 2011.
Article | Juillet 2020
En 2017, en Guadeloupe, 34 % de la population vit avec moins de 1010 euros par mois. La pauvreté touche particulièrement les chômeurs, les familles monoparentales et les ménages jeunes. Le niveau de vie des guadeloupéens reste inférieur à celui de la France métropolitaine et les inégalités y sont plus fortes.
- La pauvreté touche un tiers de la population en Guadeloupe selon l'Insee, Guadeloupe la 1ère, 2 juillet 2020
Article | Décembre 2019
Dans cette publication,l'Insee évoque les résultats de l'enquête budget en famille pour 2017 à La Réunion.Le niveau de vie est le principal déterminant des disparités de consommation entre les ménages. En 2017, les 20 % de ménages les plus aisés dépensent 3,6 fois plus que les 20 % les plus modestes, un écart nettement plus important qu'en province ou qu'aux Antilles. S'alimenter et se loger restent les plus gros postes de dépenses pour les plus modestes, alors que le transport est largement en tête pour les plus aisés. Ainsi, l'accès aux dépenses moins nécessaires, comme les loisirs, les restaurants ou les billets d'avion, est moins démocratisé qu'en province.
- Vidéo Enquête Budget de famille 2017 à La Réunion
Article | Avril 2019
Que met-on dans son assiette tous les jours en Polynésie française, comment se répartissent les aliments consommés, quels en sont les facteurs de risque sur la santé de la population ? À partir de la structure du budget des familles, la composition journalière des repas peut être approchée et mesurée par conversion des dépenses d'alimentation en quantités consommées par variété de produits. Ainsi, la ration journalière d'aliments ingérés par individu et par jour en Polynésie française est de 1,1 kg hors boissons et l'apport énergétique journalier moyen est de 2 500 kilocalories.
Article | Mars 2019
Les produits et services relevant de ce que l'on appelle aujourd'hui communément le secteur des technologies de l'information et de la communication (TIC) ont beaucoup évolué depuis les années 2000 en Polynésie française et ils constituent encore un domaine en pleine expansion. Les technologies d'information et de communication (téléviseurs, ordinateurs, téléphones) représentent en moyenne 5,8% du budget des ménages polynésiens, selon une étude publiée mercredi par l'Institut de la statistique de la Polynésie française. Ce chiffre est plus élevé que celui de la France métropolitaine (4,2%). En complément, articles :
- Radio1 Tahiti (06/03/2019) - L'ISPF souligne la « fracture numérique » en Polynésie : cliquer ici
- tahiti-infos.com (06/03/2019) - La fracture numérique touche aussi le fenua : cliquer ici
Article | Février 2019
Les ménages polynésiens ont consacré 44,8 milliards de F.CFP au transport en 2015, soit 18 % de leur budget contre 17 % en 2000. Le transport devient le deuxième poste de dépenses en lien avec le budget alloué à l'automobile. Le nombre d'usagers de la route est en forte progression au détriment des transports publics. Le montant du budget consacré à l'achat de voitures est important mais l'acquisition d'un véhicule neuf est principalement le fait des ménages les plus aisés. Le budget « entretien et carburant » pèse lourd dans le poste transport. La dépense de transport aérien concerne d'un côté, le transport domestique pour les habitants des archipels éloignés et de l'autre, le transport aérien international pour les ménages aisés des Îles Du Vent.
En complément, article :
- Polynésie la 1ère (24/02/2019) - La voiture, la plus grande dépense en matière de transport : cliquer ici
Article | Septembre 2017
L'autoconsommation demeure une aide importante pour les budgets modestes mais est en perte de vitesse au fenua, a permis de révéler l'enquête Budget des familles conduite par l'Institut de la statistique en Polynésie française (ISPF).
Article | Décembre 2018
Dans le cadre de son travail sur le budget des ménages, l'Institut de la statistique de la Polynésie française a étudié les dépenses des Polynésiens en matière d'énergie. Ils ont regardé combien les ménages dépensent chaque mois en énergie domestique (électricité, gaz) et carburants. En complément, articles :
- tahiti-infos.com du 7 janvier 2019 : cliquer ici
- Radio1 Tahiti du 4 janvier 2019 : cliquer ici
Article | Août-Décembre 2017
Cet article dresse un panorama de la consommation des ménages résidant dans les départements d'outre-mer.
Article | Avril 2018
Les jeunes ménages de 18-34 ans qui vivent dans un département ou une région d'outre-mer (DROM) consomment en moyenne 15 100 euros par an et par unité de consommation, soit 15 % de moins qu'un ménage du même âge en Métropole. Parmi eux, les 18-24 ans consomment moins de 1 000 euros par mois et par unité de consommation (contre 1 250 euros pour les jeunes métropolitains).
Article | Juillet 2018
L'enquête budget des familles a pour objectif principal de mesurer le niveau et l'évolution des dépenses des familles polynésiennes.
Article | 27 avril 2018
Cette étude de l'Office de l'eau de La Réunion dédiée à la tarification des services publics d'eau et d'assainissement collectif vise à établir le prix de l'eau appliqué sur le bassin Réunion, à comprendre les caractéristiques des prix facturés, à suivre ses évolutions et à déterminer le poids de la facture d'eau dans le budget des ménages réunionnais. En pièce jointe, article du Quotidien de La Réunion du 28 avril 2018.
Article | Mars 2018
Si le pouvoir d'achat des ménages a progressé en moyenne entre 2001 et 2011 en Martinique, il en va de même des inégalités de niveaux de vie, avec 15 000 personnes supplémentaires sous le seuil de pauvreté. A titre de comparaison nationale, la France est le troisième des 34 pays membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) pour l'augmentation des inégalités entre 2007 et 2011.