Article | Février 2023
Fin 2022 à Saint-Martin, les Demandes d'Emploi en Fin de Mois (DEFM) baissent de 5,8 % en catégories A et augmentent de 0,4 % en catégories ABC sur un an. Le nombre d'inscrits s'établit à 4 176 et 5 102 respectivement. La demande d'emploi de longue durée (un an ou plus) baisse de 12,2 % en catégories ABC. La part des demandeurs d'emploi de longue durée s'établit ainsi à 40,6 % (-5,9 points).
Article | 26 octobre 2022
Au troisième trimestre 2022, à Saint-Martin, le nombre de demandeurs d'emploi tenus de rechercher un emploi et sans activité (catégorie A) s'établit en moyenne sur le trimestre à 4 485. Ce nombre augmente de 2,0 % sur le trimestre (soit +90 personnes) et diminue de 4,7 % sur un an. Au troisième trimestre 2022 ,à Saint-Barthélemy ,le nombre de demandeurs d'emploi tenus de rechercher un emploi et sans activité (catégorie A) s'établit en moyenne sur le trimestre à 395. Ce nombre augmente de 5,3 % sur le trimestre (soit +20 personnes) et diminue de 15,1 % sur un an.
Article | 26 octobre 2022
Au troisième trimestre 2022, en Guadeloupe, le nombre de demandeurs d'emploi tenus de rechercher un emploi et sans activité (catégorie A) s'établit en moyenne sur le trimestre à 44 970. Ce nombre baisse de 3,1 % sur le trimestre (soit –1 430 personnes) et de 9,9 % sur un an. En France (y compris Drom), ce nombre baisse de 0,1 % ce trimestre (–10,9 % sur un an).
Article | Décembre 2022
La DEET Guadeloupe a réalisé un bilan des politiques d'emploi en Guadeloupe, à Saint-Martin et Saint-Barthélemy. Sont étudiés : le Parcours Emploi Compétence (PEC) et le Contrat Initiative Emploi (CIE), les contrats en alternance, l'activité partielle, l'insertion par l'Activité Economique (IAE), le Plan d'Investissement dans les Compétences (PIC), le Parcours Contractualisé d'Accompagnement vers l'Emploi et l'Autonomie (PACEA), la Garantie jeune.
Article | Octobre 2021
En 2020, les effectifs salariés annuels moyens déclarés à la Caisse de Prévoyance Sociale (CPS) ont régressé de 2 050 emplois (- 3,1 %) depuis 2019, pour atteindre 64 050 emplois. Marquée par l'épidémie de Covid-19 et ses conséquences économiques, cette baisse des effectifs est la première depuis 2015.
- Radio1 Tahiti (02/11/2021) - Les chiffres de l'emploi en 2020 : plus de précarité mais un soutien du Pays
- Tahiti Nui Télévision (02/11/2021) - Hôtellerie-restauration et petits salaires les plus touchés par la crise de 2020 en Polynésie
Article | Juin 2020
En Nouvelle-Calédonie en 2019, 113 200 personnes âgées de 15 ans ou plus occupent un emploi. 85 % d'entre elles occupent un emploi salarié, pérenne dans deux tiers des cas (contrat à durée indéterminée). Le taux de chômage, mesuré selon la définition du Bureau international du Travail (BIT), s'élève à 10,9 % : il concerne 13 900 chômeurs. A côté de la population des chômeurs, on dénombre 8 500 personnes, inactives au sens du BIT, qui souhaitent travailler bien qu'elles n'aient pas fait de recherche active d'emploi ou qu'elles ne soient pas disponibles rapidement pour prendre un emploi : elles forment le halo autour du chômage. Ainsi, ce sont au total 22 300 personnes sans emploi qui souhaitent travailler, soit 12 % des 15-64 ans.
Article | Mai 2019
L'enquête sur les forces de travail en Nouvelle-Calédonie fait état d'un taux de chômage de 11,9% en 2018, stable sur un an. Un taux inférieur à celui des autres territoires et départements français d'Outre-mer . Cette enquête a été réalisée auprès de personnes en âge de travailler, de 15 à 64 ans. En complément :
- Nouvelle Calédonie la 1ère (15/05/2019) - Un chômage stable qui touche surtout les jeunes
Article | Avril 2019
En 2018, à La Réunion, le taux de chômage s'établit à 24 %, soit une hausse de 2 points depuis 2016. Le « halo » autour du chômage continue sa progression pour atteindre 12 % de la population en 2018. Au total, à La Réunion, 149 000 personnes, dont 83 000 chômeurs au sens du Bureau International du Travail, sont sans emploi et souhaitent travailler. En complément, article :
- Zinfos974 (05/04/2019) - Chômage : La situation de l'emploi se dégrade à La Réunion : cliquer ici
Article | Mars 2019
Article | Avril 2019
L'année 2018 a tout d'abord été marquée par les mouvements sociaux du premier trimestre, qui ont paralysé l'activité économique dans son ensemble. Ces évènements ont causé une crise de trésorerie sans précédent pour les entreprises, et accentué la dualité entre les petites, fortement fragilisées, et les grandes, mieux armées pour y faire face.
Par la suite, avec l'appui des dispositifs de soutien et des mesures d'urgence post-crise, et dans un climat social plus apaisé, l'économie de Mayotte s'est à nouveau inscrite dans une dynamique de reprise. Ainsi, l'Indicateur du climat des affaires (ICA) se relève après la chute observée lors des mouvements sociaux.
Toutefois, avec la crainte de l'émergence d'une nouvelle crise sociale, les entreprises font preuve de réserve sur l'évolution de l'activité économique à court terme. La consommation des ménages reste solide, dans un contexte d'inflation modérée. L'investissement pâtit en revanche de l'attentisme des entreprises. Le commerce extérieur enregistre une nouvelle hausse des importations, portées principalement par les biens destinés aux ménages.
La situation du marché du travail ne reflète pas intégralement la réalité des difficultés dans la mesure où un nombre
croissant de demandeurs d'emploi ne font plus l'effort de se déclarer auprès de Pôle emploi. L'activité bancaire continue de progresser, avec une demande de financement toujours croissante, tandis que la hausse de la collecte ralentit.
Article | Avril 2019
Comme l'année précédente, l'activité économique en Martinique en 2018 peine à trouver de véritables relais de croissance. L'indicateur du climat des affaires (ICA) oscille autour de sa moyenne de longue période, n'indiquant pas de tendance claire
concernant la croissance de l'activité. Son inhabituelle volatilité au cours de l'année semble traduire une hausse de l'incertitude économique.
Cette dernière se reflète singulièrement dans les perspectives d'investissement des chefs d'entreprise qui sont, dans l'ensemble, en baisse en 2018. La faiblesse de la demande anticipée en 2019 semble cantonner les investissements au renouvellement des biens d'équipement au détriment de la hausse des capacités de production.
En revanche, malgré le regain d'inflation, la consommation des ménages est résiliente et les conditions sur le marché du travail s'améliorent.
Pour sa part, l'activité de financement est toujours dynamique et s'inscrit en soutien du cycle économique. Les encours de crédit aux entreprises et aux ménages sont bien orientés.
Au niveau sectoriel, le secteur du tourisme confirme en 2018 ses bons résultats de l'année précédente. L'activité dans le secteur agricole est en redressement, bien qu'elle ne soit pas encore tout à fait remise des événements climatiques de 2016 et 2017. En revanche, l'activité commerciale tourne au ralenti et le secteur secondaire est toujours en proie aux difficultés.
Article | Avril 2019
Après une croissance soutenue du PIB de la Guadeloupe en 2017 (+3,4 % en volume), les chefs d'entreprises interrogés par l'IEDOM font état d'une nouvelle progression de leur activité en 2018. Le climat des affaires est ainsi favorable sur les trois premiers trimestres de l'année, avant une dégradation en fin d'année.
La consommation des ménages reste bien orientée dans un contexte de faible inflation. Elle a été soutenue par l'augmentation de la masse salariale du secteur privé et celle des crédits. Les importations de biens destinés aux ménages s'inscrivent ainsi en hausse. En parallèle, l'investissement privé se consolide : les importations de biens d'investissement et les crédits octroyés aux entreprises accélèrent en 2018.
Le marché de l'emploi montre des signes d'amélioration avec un nombre de demandeurs d'emploi en baisse et une augmentation des offres d'emploi. Globalement, les importations progressent alors les exportations diminuent sur l'année, en lien avec la baisse des réexpéditions de produits pétroliers.
À l'échelle sectorielle, le tourisme, les autres services marchands et les commerces affichent des résultats favorables. Le secteur du bâtiment et des travaux publics confirme son redémarrage entamé fin 2017 et entraine dans son sillage l'industrie locale (hors industries agroalimentaires). L'activité des industries agroalimentaires (IAA) est également bien orientée sur l'année malgré des performances à l'export en retrait. À l'inverse, le secteur primaire est encore convalescent après le passage de l'ouragan Maria au mois de septembre 2017.
L'activité bancaire est dynamique et accompagne la croissance de l'économie. L'octroi de crédits et la collecte de dépôts s'inscrivent en hausse. Ménages, entreprises, mais également collectivités locales y contribuent : l'encours de crédits de ces dernières progresse pour la première fois depuis deux ans.
Article | Février 2019
Après neuf ans de hausse continue de la demande d'emploi à Saint-Barthélemy, la tendance s'est inversée en 2018, les Demandes d'Emploi en Fin de Mois (DEFM) de catégorie A et ABC diminuent de 19,3% et 14,7% respectivement sur un an à Saint-Barthélemy.
Article | Février 2019
Fin 2018, les Demandes d'Emploi en Fin de Mois (DEFM) de catégorie A et ABC diminuent de 6,5% et 2,3% respectivement sur un an à Saint-Martin. Les seules hausses de la DEFM selon l'âge concernent les seniors (50 ans et plus) avec des variations de +1,0% et +4,6% en catégories A et ABC.
Article | 1 février 2019
La date d'entrée en vigueur – fixée au 1er janvier 2019 – de la réforme de la formation professionnelle issue de la loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel nécessitait une publication d'une série de décrets avant le 1er janvier 2019. Ainsi, une trentaine de décrets ont été publiés au mois de décembre 2018 précisant les modalités d'application de la réforme. En complément, dossier législatif de la loi n° 2018-771 du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel consultable sur Légifrance : cliquer ici
Article | Janvier 2019
En 2017, les effectifs salariés annuels moyens déclarés à la Caisse de Prévoyance Sociale (CPS) ont augmenté de 1 500 emplois (+ 2,4 %) pour atteindre 63 200 emplois. Cette progression de l'emploi s'accentue après les hausses de 2016 (+ 800 emplois) et 2015 (+ 300). Sur un an, l'effectif moyen en équivalent temps plein croît de 2,3 % par rapport à 2016. La masse salariale augmente de 2,5 % et le salaire moyen brut de 0,2 % à 326 700 F.CFP.
Article | Avril 2018
L'année 2017 a été marquée en Guyane par les mouvements sociaux de mars-avril. En raison de leur ampleur et de leur durée, ces mouvement ont fortement perturbé l'activité économique, et ont également accentué la fragilité des entreprises. Panorama. En pièce jointe, article de France-Guyane du 28 avril 2018.
Article | Avril 2018
En 2017, l'économie martiniquaise a été portée par le tourisme et l'industrie agroalimentaire, en plein essor. Selon l'IEDOM, l'activité touristique pourrait même avoir des effets d'entrainements sur les autres secteurs économiques. En complément, article : Outre-mer à 360° du 19 avril 2018 : http://outremers360.com/economie/economie-en-martinique-lactivite-touristique-maintient-la-stabilite-de-la-croissance-economique-en-2017/
Article | Avril 2018
La Dieccte Guadeloupe a réalisé un premier bilan 2017 du marché du travail et des politiques d'emploi en Guadeloupe, à Saint-Martin et Saint-Barthélemy.
Article | Novembre 2017
En 2016, en Guadeloupe, la situation sur le marché du travail s'améliore en 2016, après une quasi stabilisation de la demande d'emploi en 2015.