Rapport | Mai 2022
D'après la dernière enquête STEPS 20191, plus de 90% des adultes de plus de 18 ans présentent une surcharge pondérale à Wallis et Futuna. Cette tendance est confirmée par les données sur la consommation alimentaire issues de l'Enquête Budget des familles 2020 (EBF 2020) qui met en évidence une consommation énergétique moyenne d'environ 2700–2800 kcal/personne/jour, avec d'importantes disparités au niveau national. Les ménages les plus aisés consomment en moyenne une fois et demie plus que les ménages les plus vulnérables, et la consommation énergétique moyenne à Futuna est plus élevée que celle de Wallis.
Article | Mars 2023
Les ménages martiniquais allouent en moyenne 21,6 % de leur budget pour l'alimentation en 2017, qui représente ainsi la première part des dépenses d'un ménage. Les habitudes alimentaires des Martiniquais diffèrent sur de nombreux points de celles des Métropolitains. La consommation de fruits et légumes est moins fréquente en Martinique qu'en France métropolitaine, en particulier pour les ménages les plus modestes. Les produits laitiers sont également moins consommés. À l'inverse, l'huile et les produits sucrés sont plus consommés en Martinique. La viande est également un peu plus présente, la volaille étant privilégiée contrairement au bœuf. Par ailleurs, les produits ultra-transformés ont une part importante dans les habitudes alimentaires martiniquaises, mais inférieure à celle des métropolitains.
Rapport | Avril 2022
En 2020, à Wallis et Futuna, la dépense de consommation a augmenté de 1% par an en moyenne. Elle a aussi connu des évolutions importantes avec entre autres une hausse des postes « Transports » et « Communications ». Wallis est la plus concernée par ces tendances, alors que Futuna reste stable. De même, l'autoconsommation et les échanges ralentissent à Wallis pour laisser place à une dépense monétaire
plus importante, tandis que ces phénomènes demeurent toujours aussi présents à Futuna. Les ménages les plus modestes sont ceux qui bénéficient le plus de cette progression de la consommation. Malgré cette amélioration, le niveau de la dépense est toujours faible et inégal au sein de la France et de l'Outre-mer
Article | Juillet 2020
En 2018, les habitants de Mayotte consomment en moyenne pour 1 190 euros par mois et par ménage. Le niveau de consommation moyen reste inférieur de moitié à celui de métropole et d'un tiers par rapport aux autres DOM. Les dépenses de consommation n'ont pas progressé depuis 2011.
Article | Décembre 2019
Dans cette publication,l'Insee évoque les résultats de l'enquête budget en famille pour 2017 à La Réunion.Le niveau de vie est le principal déterminant des disparités de consommation entre les ménages. En 2017, les 20 % de ménages les plus aisés dépensent 3,6 fois plus que les 20 % les plus modestes, un écart nettement plus important qu'en province ou qu'aux Antilles. S'alimenter et se loger restent les plus gros postes de dépenses pour les plus modestes, alors que le transport est largement en tête pour les plus aisés. Ainsi, l'accès aux dépenses moins nécessaires, comme les loisirs, les restaurants ou les billets d'avion, est moins démocratisé qu'en province.
- Vidéo Enquête Budget de famille 2017 à La Réunion
Article | Mars 2019
En Polynésie française, en 2015, 47 % des dépenses alimentaires se font dans les grandes surfaces d'alimentation, 77 % des dépenses d'habillement dans les commerces de détail et 60 % des dépenses de biens durables dans les commerces spécialisés. Mais les comportements d'achat dépendent beaucoup des caractéristiques du ménage telles que son lieu de résidence ou son niveau de vie. En complément :
- tahiti-infos.com (18/03/2019) - 47 % des dépenses alimentaires réalisées dans les grandes surfaces : cliquer ici
Article | Mars 2019
Les produits et services relevant de ce que l'on appelle aujourd'hui communément le secteur des technologies de l'information et de la communication (TIC) ont beaucoup évolué depuis les années 2000 en Polynésie française et ils constituent encore un domaine en pleine expansion. Les technologies d'information et de communication (téléviseurs, ordinateurs, téléphones) représentent en moyenne 5,8% du budget des ménages polynésiens, selon une étude publiée mercredi par l'Institut de la statistique de la Polynésie française. Ce chiffre est plus élevé que celui de la France métropolitaine (4,2%). En complément, articles :
- Radio1 Tahiti (06/03/2019) - L'ISPF souligne la « fracture numérique » en Polynésie : cliquer ici
- tahiti-infos.com (06/03/2019) - La fracture numérique touche aussi le fenua : cliquer ici
Article | Février 2019
Les ménages polynésiens ont consacré 44,8 milliards de F.CFP au transport en 2015, soit 18 % de leur budget contre 17 % en 2000. Le transport devient le deuxième poste de dépenses en lien avec le budget alloué à l'automobile. Le nombre d'usagers de la route est en forte progression au détriment des transports publics. Le montant du budget consacré à l'achat de voitures est important mais l'acquisition d'un véhicule neuf est principalement le fait des ménages les plus aisés. Le budget « entretien et carburant » pèse lourd dans le poste transport. La dépense de transport aérien concerne d'un côté, le transport domestique pour les habitants des archipels éloignés et de l'autre, le transport aérien international pour les ménages aisés des Îles Du Vent.
En complément, article :
- Polynésie la 1ère (24/02/2019) - La voiture, la plus grande dépense en matière de transport : cliquer ici
Article | Septembre 2017
L'autoconsommation demeure une aide importante pour les budgets modestes mais est en perte de vitesse au fenua, a permis de révéler l'enquête Budget des familles conduite par l'Institut de la statistique en Polynésie française (ISPF).
Article | Décembre 2018
Dans le cadre de son travail sur le budget des ménages, l'Institut de la statistique de la Polynésie française a étudié les dépenses des Polynésiens en matière d'énergie. Ils ont regardé combien les ménages dépensent chaque mois en énergie domestique (électricité, gaz) et carburants. En complément, articles :
- tahiti-infos.com du 7 janvier 2019 : cliquer ici
- Radio1 Tahiti du 4 janvier 2019 : cliquer ici
Article | Août-Décembre 2017
Cet article dresse un panorama de la consommation des ménages résidant dans les départements d'outre-mer.
Article | Avril 2018
Les jeunes ménages de 18-34 ans qui vivent dans un département ou une région d'outre-mer (DROM) consomment en moyenne 15 100 euros par an et par unité de consommation, soit 15 % de moins qu'un ménage du même âge en Métropole. Parmi eux, les 18-24 ans consomment moins de 1 000 euros par mois et par unité de consommation (contre 1 250 euros pour les jeunes métropolitains).
Article | Avril 2018
En 2015, les prix à la consommation en Nouvelle-Calédonie sont 33 % plus élevés qu'en métropole. Cet écart des prix dépasse largement ceux observés dans les départements d'outre-mer (7 % à La Réunion et à Mayotte, 12 % aux Antilles) mais il est moindre qu'en Polynésie française (39 %).
Article | Juillet 2018
L'enquête budget des familles a pour objectif principal de mesurer le niveau et l'évolution des dépenses des familles polynésiennes.
Article | Mars 2018
Si le pouvoir d'achat des ménages a progressé en moyenne entre 2001 et 2011 en Martinique, il en va de même des inégalités de niveaux de vie, avec 15 000 personnes supplémentaires sous le seuil de pauvreté. A titre de comparaison nationale, la France est le troisième des 34 pays membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) pour l'augmentation des inégalités entre 2007 et 2011.
Article | Mars 2018
Si les inégalités de niveaux de vie ont progressé en Martinique, en Guyane, ou dans la région caribéenne, la Guadeloupe a mieux résisté que les autres économies : la pauvreté y est en léger retrait. À titre de comparaison nationale, la France est le troisième des 34 pays membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques pour l'augmentation des inégalités entre 2007 et 2011.
Article | Avril 2011
Les revenus des ménages en Martinique progressent moins rapidement depuis 2005. Ce ralentissement est principalement dû à la stagnation des revenus d'activité sur la période récente. Cette évolution d'ensemble diffère toutefois selon le niveau de vie des ménages. Pour les plus modestes et les classes moyennes, la part des revenus du travail s'est sensiblement réduite. En l'absence de croissance des revenus de transferts, leur pouvoir d'achat diminue. Pour les plus aisés en revanche, les revenus d'activité ont continué de progresser, accroissant ainsi les inégalités. La part des ménages vivant sous le seuil de bas revenus est passée de 17,8 % à 20,5 % au cours des cinq dernières années.
Article | Mai 2017
Cette étude présente les conditions de logement des ménages et les dépenses en logement à l'échelle du territoire de la Guyane.
Article | Mai 2017
À quoi ressemble le parc immobilier de la Guadeloupe ? Pour disposer d'une photo précise du logement type, l'Insee a mené l'enquête dans 2 250 logements. Cette étude présente les conditions de logement des ménages en Guadeloupe et leurs dépenses consacrées au logement.
Article | Mars 2017
En 2013, la Guadeloupe compte 214 000 logements, dont 78 % de résidences principales. Le parc a doublé en 30 ans : près de trois résidences principales sur dix ont été construites depuis le début des années 2000. Ce grand nombre de logements récents a un impact positif sur le confort des logements.