Article | 15 août 2024
La bataille judiciaire et politique se poursuit. Sur les quelque 2300 personnes interpellées depuis l'éclatement de l'insurrection en Nouvelle-Calédonie, le 13 mai 2024, sept militants indépendantistes sont toujours contraints de rester dans l'Hexagone. Pour aller plus loin : Dossier du Figaro : Émeutes en Nouvelle-Calédonie: notre dossier pour tout comprendre [https://www.lefigaro.fr/politique/dossier/emeutes-en-nouvelle-caledonie-notre-dossier-pour-tout-comprendre].
En complément : "Je suis un prisonnier politique" [Christian Tein, porte-parole de la Cellule de coordination des actions de terrain (CCAT) en Nouvelle-Calédonie], Outre-mer la 1ère, 2 juillet 2024.[https://la1ere.francetvinfo.fr/je-suis-un-prisonnier-politique-christian-tein-porte-parole-de-la-cellule-de-coordination-des-actions-de-terrain-ccat-en-nouvelle-caledonie-1502258.html]
Article | 26 juin 2024
La détention provisoire de sept militants indépendantistes de la CCAT en métropole a suscité de vives réactions en Nouvelle-Calédonie, rappelant les tensions historiques entre l'État français et les populations kanak. Les accusations de justice politique et les mesures exceptionnelles d'éloignement ont ravivé des sentiments d'injustice et de révolte parmi les Kanak, menant à une escalade de la violence...
Rapport | 10 décembre 2009
La visite a été décidée sur la base d'informations portées à la connaissance du CPT faisant état d'une situation difficile au centre pénitentiaire de Rémire-Montjoly, en raison notamment du surpeuplement et du climat de violence au sein de l'établissement, ainsi qu'au centre de rétention administrative de Matoury, s'agissant des conditions de séjour.
Les objectifs principaux de cette visite étaient d'évaluer la situation des personnes détenues au centre pénitentiaire de Rémire-Montjoly, le seul établissement pénitentiaire en Guyane, ainsi que le traitement des ressortissants étrangers privés de liberté en vertu de la législation sur l'entrée et le séjour des étrangers. Le CPT a également examiné les conditions de détention des personnes placées en garde à vue et la mise en œuvre des garanties fondamentales contre les mauvais traitements.