Article | 15 juillet 2024
La crise en Nouvelle-Calédonie révèle des tensions croissantes et une absence de perspectives claires. Les divisions politiques et ethniques exacerbent les affrontements, tandis que l'économie continue de se détériorer. Le discours sur la séparation des provinces témoigne du désespoir et du manque de solutions viables...
Lire aussi dans L'Opinion, 25 juin 2024 "Nouvelle-Calédonie : L'incroyable témoignage d'un fonctionnaire dans l'engrenage de la violence" en pj.
Et dans Le Monde, 26 juin 2024 "Tribune - « Emmanuel Macron renvoie aux Calédoniens la responsabilité des troubles qui ne sont que la conséquence de sa volonté politique » en pj.
Article | 15 juillet 2024
La mort de Rock Victorin Wamytan, tué lors d'une opération du GIGN visant à débloquer une route, symbolise la radicalisation et la désocialisation d'une frange de la jeunesse en Nouvelle-Calédonie. Cet événement met en lumière les difficultés rencontrées par les chefs coutumiers pour maintenir le calme et gérer les tensions croissantes. La situation reste tendue, les autorités et les leaders locaux tentant de prévenir une nouvelle flambée de violence tout en rétablissant l'ordre et la circulation.
Article
La mort de Rock Victorin Wamytan, tué par le GIGN lors d'une opération de déblocage de route, symbolise les défis posés par une frange radicalisée et désocialisée en Nouvelle-Calédonie. Malgré les efforts des chefs coutumiers pour ramener le calme, la situation reste tendue, exacerbée par des actes de délinquance et de violence...
Multimédia | 14 février 2021
Avril 1988, Nouvelle-Calédonie, Île d'Ouvéa : 30 gendarmes sont retenus en otage par un groupe d'indépendantistes Kanak, 300 militaires sont envoyés depuis la France pour rétablir l'ordre. Deux hommes face à face : Philippe Legorjus, capitaine du GIGN et Alphonse Dianou, chef des preneurs d'otages. Récit.
- <a href="https://la1ere.francetvinfo.fr/assaut-grotte-ouvea-nouvelle-caledonie-grand-format-582367.html" target="_blank"><b>outre-mer 1ère (29/04/2018) - L'assaut de la grotte d'Ouvéa en Nouvelle-Calédonie</b></a>
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Article | Février 2019
Le 4 novembre 2018 se tenait le référendum sur l'accession de la Nouvelle-Calédonie à la pleine souveraineté. Le "non" à l'indépendance l'a emporté avec 56,7 % des voix. L'occasion pour Civique de suivre l'organisation du scrutin, et de découvrir le quotidien des agents du ministère de l'Intérieur sur cet archipel d'Océanie.
Article | 20 mars 2018
Entre les deux tours de la présidentielle de 1988, qui voit s'affronter François Mitterrand et Jacques Chirac, l'île d'Ouvéa est le cadre d'une longue et âpre prise d'otages. Retour trente ans après sur cette tragédie sanglante, à la veille de la consultation locale sur l'autodétermination de la Nouvelle-Calédonie, prévu le 4 novembre 2018.
Ouvrage | Novembre 2011
Avril 1988, île d'Ouvéa, Nouvelle-Calédonie. Vingt-trois gendarmes sont pris en otage par des indépendantistes kanaks qui veulent faire entendre leur cause. Pour rétablir l'ordre, la France envoie 300 militaires dont les troupes d'élite du 11e choc et le commando de nageurs de combat Hubert, tous deux spécialistes des coups de force. A leurs côtés, le GIGN, les supergendarmes tout aussi performants, connus comme les as de la négociation. Car, avant de faire parler les armes, des pourparlers sont engagés. Deux hommes se font face : le capitaine Legorjus, commandant du GIGN, et Alphonse Dianou, un indépendantiste kanak, à la tête des ravisseurs.
Ouvrage | 1er trimestre 2010
Ouvéa une grotte sacrée au fin fond d'une forêt presque impénétrable dans laquelle sont retenus 17 gendarmes mobiles, 7 membres du GIGN, un jeune officier des Troupes de Marine et un magistrat.
Vingt ans après, un témoin privilégié parle d'une affaire qui a tenu la France en haleine.