Article | Novembre 2022
Synthèse en 2 pages des études du Ministère de la Culture et de l'INSEE sur les pratiques culturelles en Outre-mer.
Article | Juillet 2022
La langue créole et les musiques réunionnaises sont deux éléments centraux de la culture à La Réunion : 81 % des Réunionnais de 15 ans et plus déclarent maîtriser la langue créole et, lorsqu'ils écoutent de la musique, 82 % écoutent notamment des musiques de La Réunion (séga, maloya...). Les jeunes se distinguent de leurs aînés par une écoute du rap plutôt que de la variété française. Ils sont également plus nombreux à aller au cinéma, à lire des livres et développent des goûts littéraires spécifiques. Comparés aux habitants de France métropolitaine, les Réunionnais sont particulièrement nombreux à assister à des spectacles de rue. À l'inverse, l'écoute de la radio et de la télévision, ainsi que l'usage d'Internet sont moins répandus sur l'île.
Article | Octobre 2021
En Guadeloupe, la musique est au cœur des pratiques culturelles : les trois quarts des Guadeloupéens écoutent de la musique tous les jours. Aussi, 24 % des Guadeloupéens ont assisté au carnaval durant l'année précédant l'enquête menée entre février 2019 et février 2020 et 46 % ont participé à un « chanté Nwel ». Par ailleurs, la radio a une place importante : les trois quarts des Guadeloupéens l'écoutent tous les jours, notamment pour s'informer. Les Guadeloupéens sont également nombreux à regarder la télévision, des films ou des séries, comme ailleurs en France. En revanche, la fréquentation des musées, des théâtres et des cinémas est moins répandue au sein de la population qu'en France métropolitaine, notamment en raison d'une offre culturelle moins développée.
Voir aussi :
- La Musique est au cœur de nos pratiques culturelles en Guadeloupe, France-Antiiles Guadeloupe, 20 octobre 2021
- Pratiques culturelles : la musique dans le sang des Guadeloupéens, Guadeloupe la 1ère, 25 octobre 2021
- L'étude du Ministère de la Culture ci-jointe
Doc. parlementaire | 2003
- Nous assistons aujourd'hui à une véritable mondialisation de l'information. Comment la France pourrait-elle continuer à être absente de ce nouveau théâtre des relations internationales ? En d'autre termes, le temps n'est plus à se demander si la France doit posséder une chaîne d'information continue internationale, mais bien de savoir comment elle pourrait encore, demain, s'en passer. Ce rapport, à travers des auditions et des déplacements à l'étranger tente de réfléchir aux grandes caractéristiques de cette chaîne afin de donner une vision stratégique et politique de ce projet.
- Ce rapport contient une audition de M. André-Michel Besse, président de RFO