Article | 28 juin 2019
Doukas, brochettis, mécaniciens, taxis, pêcheurs ou encore vendeurs de rue : le business "traditionnel" – on entend par là très répandu à Mayotte, et qui pour certains d'entre eux est dit de subsistance –, doit s'adapter pour survivre aux évolutions rapide de l'île aux parfums. Les taxis tâchent de s'organiser en vue de l'arrivée des transports en commun ; les doukas essayent de survivre face à la concurrence de la grande distribution ; les vendeuses de fruits et légumes doivent composer avec la législation ; les brochettis ne font plus vraiment recette ; les foundis de la mécanique, légions, ne sont pas souvent déclarés, etc. En somme : un vaste chantier, plein de mutations, mais qui permet de faire vivre des milliers de personnes à Mayotte.
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