Article | Mai 2023
Les ménages guadeloupéens allouent en moyenne 22,4 % de leur budget pour l'alimentation en 2017, qui représente ainsi la première part des dépenses d'un ménage. Les habitudes alimentaires des Guadeloupéens diffèrent sur de nombreux points de celles des métropolitains. La consommation de fruits est moins fréquente en Guadeloupe qu'en France métropolitaine, en particulier pour les ménages les plus modestes. Les produits laitiers sont également moins consommés. À l'inverse, les légumes, l'huile et les produits sucrés sont plus consommés en Guadeloupe. La viande est également présente, la volaille étant privilégiée contrairement au bœuf. Par ailleurs, les produits ultra-transformés ont une part importante dans les habitudes alimentaires guadeloupéennes, mais inférieure à celle des métropolitains.
Article | 13 février 2023
Les pêcheurs de Guyane dénoncent, depuis des années, la pêche côtière illégale pratiquée dans cette région française d'Amérique du Sud. Derrière ce phénomène : des bateaux en bois - les "tapouilles" - qui viennent du Brésil, du Suriname et du Guyana, pour profiter de la richesse halieutique des eaux françaises. Les pêcheurs guyanais estiment que la survie de leur secteur est désormais menacée.
Article | Mai 2022
Les exportations des produits de la pêche polynésienne, hors coquilles, sont revenus à leur niveau d'avant crise Covid dès l'année 2021, constate un bilan publié jeudi 19 mai 2022 par l'Institut de la statistique en Polynésie française.
- Le rebond des exportations de la pêche polynésienne dès 2021, Tahiti Infos, 19 mai 2022
Article | Octobre 2021
En 2020, la filière pêche n'a pas échappé à la crise liée à la Covid-19. La fermeture des frontières de la Polynésie française a entraîné des répercussions sur les exportations de produits de la pêche (hors coquilles), qui sont en baisse de 53 % et s'élèvent à 854 millions de F.CFP.
- Filière pêche : les exportations réduites de moitié à cause de la crise ,Tahiti Nui Télévision,12 octobre 2021
Article | Avril 2021
En 2019, les exportations de produits de pêche, hors coquilles, sont en hausse de 20 % et s'élèvent à 1 817 millions de F.CFP. Les produits de la pêche représentent 18 % des recettes des exportations locales, soit 6 points de plus que l'année précédente. Les coquilles exportées (corail, nacre et troca) ont rapporté 12 % de plus qu'en 2018, soit un total de 257 millions de F.CFP.
Article | Avril 2021
La pisciculture de crevettes et celle de paraha peue (aussi appelé poisson-lune ou platax) constituent deux branches importantes de l'aquaculture locale. L'année 2019 marque la huitième année consécutive de hausse de production de crevettes avec une progression de 2 %. À l'inverse, la production de paraha peue baisse de 31 % cette année.
- Tahiti Nui Télévision (13/04/2021) - La production de crevettes augmente en 2019, celle de paraha peue baisse
Article | 2020
Dans cette étude, l'aquaponie est envisagée comme une solution durable pour améliorer l'autonomie alimentaire du territoire. Ce rapport offre des éléments d'analyses technique et scientifique sur la faisabilité de l'implantation d'un tel système. Ce document vise à répondre aux deux questions suivantes : Est-ce que l'aquaponie est un système de production pertinent pour l'archipel de Saint-Pierre et Miquelon ? Si oui, quels sont les différents scénario de développement de systèmes aquaponiques commerciaux envisageables ?
Question minist. | 17 décembre 2019
M. Mansour Kamardine interroge M. le ministre de l'agriculture et de l'alimentation sur la pêche dans la zone économique exclusive mahoraise.
Article | 13 septembre 2019
Depuis combien de temps la mer se nourrit-elle de notre île ? Depuis que des hommes s'y sont installés. C'est donc peu dire que la pêche est une des activités les plus anciennes de Mayotte. C'est aussi une des plus porteuses. Malheureusement, bien que pleine de promesses et de potentiel elle s'est bien peu modernisée.
Rapport | Février 2019
Dans un article scientifique publié au début de l'année, les scientifiques du Centre de recherches insulaires et observatoire de l'environnement (Criobe) de Moorea font le point sur l'efficacité des aires marines protégées (AMP) de Moorea, mises en place en 2007.
Article | 4 au 17 mai 2018
Si on savait déjà que les sols de Hao étaient pollués par du plutonium, des métaux lourds, des hydrocarbures et du pyralène, on connaissait moins la présence encore plus importante de plomb à Makemo également. Des études transversales sur les populations de ces deux atolls sont actuellement menées afin d'en déterminer l'origine. Les résultats finaux des travaux devraient être connus du grand public d'ici fin 2018-début 2019, mais une piste semble d'ores et déjà se dégager : l'eau, recueillie notamment dans les toitures, pourrait être le vecteur de la contamination des habitants. Aussi, l'impact environnemental de l'élevage industriel de poissons et les risques de ciguatera pourraient mettre à mal la future ferme aquacole à Hao, construite sur l'ancienne base arrière du Centre d'Expérimentation du Pacifique (CEP). En complément, articles :
- polynésie la 1ère du 10 mars 2018 : https://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/aquaculture-travaux-hao-vont-enfin-commencer-567795.html
- tahiti-infos.com du 9 avril 2018 : https://www.tahiti-infos.com/Ferme-aquacole-de-Hao-tapis-rouge-pour-le-projet-chinois_a170673.html
- tahiti-infos.com du 13 mars 2018 : https://www.tahiti-infos.com/Comment-va-fonctionner-l-usine-aquacole-de-Hao_a145884.html
Article | 22 novembre 2016
L'agence des aires marines protégées a fait un bilan complet de la situation aux Marquises au niveau environnement, pêche, culture… Elle indique que les pêcheurs ont constaté que "la ressource en poisson (toutes espèces confondues) et en fruits de mer a diminué". "Ils sont ainsi obligés d'aller "plus loin" et "plus profond".
Ouvrage | Septembre 2015
Ce travail, mené avec l'appui du service territorial de l'environnement de Wallis et Futuna permet de proposer une liste d'objectifs de conservation prioritaires (espèces globalement menacées, espaces clés pour la conservation de la biodiversité et corridors de conservation), et d'identifier également les données et connaissances qui restent à produire pour garantir la mise en oeuvre de programmes de gestion de cette biodiversité aux échelles spécifiques, des habitats ou de corridors biologiques.
Article | Septembre 2014
La mégafaune marine migratrice du sud-ouest de l'océan Indien participe à faire de cette zone un hot spot de la biodiversité. D'un point de vue économique, ce patrimoine naturel y représente une opportunité de croissance du secteur du tourisme, et plus précisément de l'écotourisme. En effet, l'observation des animaux dans leur milieu naturel fait l'objet d'une constante progression. Ainsi, le whale watching, c'est-à-dire l'observation des baleines, est un secteur d'activité économique qui est en train de se structurer grâce à un réseau d'opérateurs. En mobilisant quelques concepts de la théorie économique, il est proposé ici de poser quelques jalons pour mieux comprendre les caractéristiques du whale watching, d'en décrire les principales formes d'organisation industrielle et d'en inférer quelques perspectives de développement à Madagascar, Maurice et La Réunion.
Ouvrage | Septembre 2015
Ce document a été réalisé comme une aide à l'élaboration d'une stratégie de développement de la pêche hauturière et de protection des ressources halieutiques en Polynésie française. Il est destiné au gouvernement de Polynésie française et à la société civile. L'objectif de cette étude est de présenter un état des lieux des données existantes sur les stocks des principales espèces pélagiques et d'analyser l'historique de la filière pêche en Polynésie française, pour pouvoir ensuite faire des recommandations en matière de développement de la filière et en termes de protection des ressources.
Article | 18-24 septembre 2015
Cet article a été réalisé à partir de l'étude détaillée de Pew-Polynésie. L'association fait le constat préoccupant de la baisse de 80% de la population de thons rouge dans le Pacifique. Les ressources du Fenua sont aujourd'hui menacées par les appétits extérieurs à la zone économique exclusive.
Article | Mai 2015
La décision de mettre en place un Observatoire de la restauration collective à La Réunion a été prise lors du Haut Conseil de la Commande Publique du 5 décembre 2013. Cette session consacrée à l'agroalimentaire a constaté l'enjeu des produits locaux dans la commande publique. Producteurs, industriels, collectivités locales et État ont retenu le principe d'un observatoire destiné à mesurer l'accroissement de la part de la production locale dans la restauration collective de l'île. L'enquête mise en oeuvre depuis cette date porte sur l'année 2013. Elle est sans équivalent au niveau national. Elle a permis de caractériser le marché de la restauration collective réunionnais, d'analyser les produits consommés en fonction de leur origine.
En complément, article de Zinfos974 du 5 décembre 2013 : Comment améliorer la place de la production locale dans la restauration collective ? : http://www.zinfos974.com/Comment-ameliorer-la-place-de-la-production-locale-dans-la-restauration-collective_a65157.html
Rapport | Février 2012
L'objet de la mission consiste à proposer un projet technique de restructuration de la filière pêche à Saint Pierre et Miquelon.
Article | Juin-Juillet 2015
Cet article nous conte la découverte par des marins au XVIIe siécle de la ciguatera, intoxication alimentaire consécutive à la consommation de poissons et produits de la mer rendus toxiques par la présence de toxines ayant pour origine une micro-algue.
Rapport | 6 août 2014
Le département de La Réunion dispose depuis 1966 d'une réglementation spécifique (par arrêté
préfectoral) qui restreint ou interdit la commercialisation de certaines espèces de poissons en raison du risque d'intoxication par des biotoxines marines, en particulier des ciguatoxines. Parmi ces espèces de poissons figurent depuis 1999 la plupart des espèces de requins, notamment celles de la famille des Carcharhinidae. Le Préfet de La Réunion a sollicité la Direction générale de l'Alimentation (DGAl) afin que soit réévalué le risque lié à deux espèces de requins aujourd'hui interdites à la consommation par cet arrêté préfectoral. Il s'agit du requin tigre (Galeocerdo cuvier) et du requin bouledogue (Carcharhinus leucas).
En complément, article de Sciences et Avenir du 18/09/2014 : http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20140918.OBS9639/a-la-reunion-les-requins-toujours-impropres-a-la-consommation.html