Documents Faberon Jean-Yves 54 résultats

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- 128 p.
Cote : O5492-SC4
« La Nouvelle-Calédonie est une cité qui vient de loin, d'un passé bouillonnant de conflits sanglants, depuis les drames de l'irruption coloniale en 1853 jusqu'aux exactions de la grotte d'Ouvéa en 1988. Mais 1988 est aussi une date de renaissance et de dialogue, l'avènement du temps des Accords. Si, depuis, les convictions au sein de chacun des deux camps n'ont marqué aucun recul, les oppositions se situent désormais sur le plan du débat intellectuel, dans le dialogue et le respect mutuel, tout au long des années qui s'écoulent. Depuis 1988, la Nouvelle-Calédonie est un pays en paix et qui entend bien le rester, quand bien même la faille politique majeure qui la traverse n'est jamais réduite.
Aujourd'hui la Nouvelle-Calédonie est une fois de plus à la croisée des chemins. Après la période confuse des référendums d'autodétermination réitérés confirmant l'appartenance de l'archipel à la République française, les partenaires politiques doivent forcément trouver un nouvel accord statutaire.
Mais comment aujourd'hui vivre ensemble alors que les populations se divisent en deux parties idéologiquement opposées ? Comment la belle formule du « destin commun » peut-elle être évoquée avec persévérance alors que se contredisent ceux qui croient en la France et ceux qui attendent Kanaky ? Comment la Nouvelle-Calédonie a-t-elle pu en 2010 se donner comme devise « Terre de parole, terre de partage » ? Comment, la même année, impuissante à se doter d'un drapeau commun consensuel, a-t-elle pu décider de manière originale de vivre sous deux drapeaux, celui de la République à côté de celui du Front de libération nationale kanak et socialiste requalifié de drapeau identitaire kanak (au grand dam des Kanak partisans de la France) … Alors que le calendrier politique est déjà considérablement en retard sur ce qui avait été convenu en 1998 dans l'Accord de Nouméa, ce sont des cartes complexes qui sont actuellement rebattues. 2024 doit marquer de nouveaux choix et l'imagination doit être au rendez-vous.
Le présent ouvrage retrace l'ensemble des données et perspectives qui permettent de comprendre le cadre des indispensables dialogues. Il éclaire les impasses qui ne manquent pas de surgir et les voies de dégagement qu'il faut déterminer avec de la bonne volonté de part et d'autre. Il apporte une indispensable pédagogie de la Nouvelle-Calédonie politique, entre ses identités plurielles et sa solidarité globale ».[-]
« La Nouvelle-Calédonie est une cité qui vient de loin, d'un passé bouillonnant de conflits sanglants, depuis les drames de l'irruption coloniale en 1853 jusqu'aux exactions de la grotte d'Ouvéa en 1988. Mais 1988 est aussi une date de renaissance et de dialogue, l'avènement du temps des Accords. Si, depuis, les convictions au sein de chacun des deux camps n'ont marqué aucun recul, les oppositions se situent désormais sur le plan du débat ...[+]

NOUVELLE CALEDONIE ; HISTOIRE ; EVOLUTION STATUTAIRE ; ACCORD DE NOUMEA ; INSTITUTIONS ; REFERENDUM ; CORPS ELECTORAL ; AUTODETERMINATION ; DECOLONISATION

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- 1 p.
Cote : A9895-VP4
Dans notre démocratie, nous sommes libres de voter et libres de ne pas aller voter, lors de toutes les sortes de votations. Le suffrage universel est l'identité même de la démocratie et il inclut la liberté de chacun d'exercer, et aussi de ne pas exercer ce droit fondamental. Certains le vénèrent au point de ne jamais concevoir de manquer à ce droit obtenu par tant de combats, d'autres se réservent de sélectionner leur intérêt selon le contexte en cause, et d'autres encore estiment que la quintessence de la liberté c'est aussi de ne pas la pratiquer.[-]
Dans notre démocratie, nous sommes libres de voter et libres de ne pas aller voter, lors de toutes les sortes de votations. Le suffrage universel est l'identité même de la démocratie et il inclut la liberté de chacun d'exercer, et aussi de ne pas exercer ce droit fondamental. Certains le vénèrent au point de ne jamais concevoir de manquer à ce droit obtenu par tant de combats, d'autres se réservent de sélectionner leur intérêt selon le contexte ...[+]

NOUVELLE CALEDONIE ; REFERENDUM ; TROISIEME REFERENDUM ; ACCORD DE NOUMEA ; DROIT DE VOTE

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- 1 p.
Cote : A9102-VP6
Professeur de droit public, spécialiste de l'Outre-mer, Jean-Yves Faberon défend le principe d'organiser la Nouvelle-Calédonie sur la base de provinces.Détails de cette proposition.

NOUVELLE CALEDONIE ; VIE POLITIQUE LOCALE ; REFERENDUM ; CONSULTATION LOCALE ; ORGANISATION ADMINISTRATIVE ; AUTONOMIE LOCALE ; 4 OCTOBRE 2020

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- 1p.
Cote : A8363-QJ9
Professeur de droit public, spécialiste de droit d'outre-mer, Jean-Yves Faberon n'accorde à l'indépendance association aucune crédibilité faute de garantie. En revanche, une solution fédéraliste serait, selon lui, de nature à concilier la pluralité des aspirations calédoniennes.

NOUVELLE CALEDONIE ; STATUT JURIDIQUE ; INDEPENDANCE ASSOCIATION ; POLITIQUE INTERNATIONALE ; DROIT D'OUTRE MER ; VIE POLITIQUE LOCALE ; ETAT ASSOCIE ; ACCORD DE NOUMEA ; FEDERALISME ; ETAT FEDERAL

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- 432 p.
Cote : O5207-QJ10
Que devient le principe des peuples à disposer d'eux-mêmes à l'heure de la mondialisation ? Reste-t-il ce qu'il était à l'origine ? A supposer qu'il se transforme, quelles en sont les causes et comment se traduit-il dans les formes politiques, les structures de droit public et au-delà ? Pour y répondre, la Nouvelle-Calédonie et le Nunavut, deux entités aux trajectoires différentes, servent de champ d'investigation intéressant car elles représentent deux formes d'exercice du principe, et deux "utopies concrètes" où se construisent des solutions originales.[-]
Que devient le principe des peuples à disposer d'eux-mêmes à l'heure de la mondialisation ? Reste-t-il ce qu'il était à l'origine ? A supposer qu'il se transforme, quelles en sont les causes et comment se traduit-il dans les formes politiques, les structures de droit public et au-delà ? Pour y répondre, la Nouvelle-Calédonie et le Nunavut, deux entités aux trajectoires différentes, servent de champ d'investigation intéressant car elles ...[+]

DROIT DES MINORITES ET PEUPLES AUTOCHTONES ; AUTOCHTONE ; DROIT COUTUMIER ; NOUVELLE CALEDONIE ; AUTODETERMINATION ; SOUVERAINETE NATIONALE ; DROIT INTERNATIONAL DES PEUPLES ; DECOLONISATION ; DROIT INTERNATIONAL ; ORGANISATION DES NATIONS UNIES ; RELATIONS INTERNATIONALES ; DROIT PUBLIC ; CANADA

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- 291 p.
Cote : O5047-QJ9
En Nouvelle-Calédonie, l'évolution conflictuelle passée a abouti à la recherche du consensus par les accords de 1988 et de 1998. Cependant nul ne peut affirmer aujourd'hui de quoi l'avenir sera fait. L'accord de Nouméa trace des pistes, mais rien n'est jamais irréversible en droit et en politique.
Aussi, les citoyens set les futurs citoyens doivent-ils s'efforcer de connaître le paysage institutionnel dans lequel ils vont devoir faire des choix. Savoir ce qui constitue la Nouvelle-Calédonie en devenir permet de comprendre le présent afin de contribuer à la construction du futur dans le partage et le respect réciproque de tous les Calédoniens.[-]
En Nouvelle-Calédonie, l'évolution conflictuelle passée a abouti à la recherche du consensus par les accords de 1988 et de 1998. Cependant nul ne peut affirmer aujourd'hui de quoi l'avenir sera fait. L'accord de Nouméa trace des pistes, mais rien n'est jamais irréversible en droit et en politique.
Aussi, les citoyens set les futurs citoyens doivent-ils s'efforcer de connaître le paysage institutionnel dans lequel ils vont devoir faire des choix. ...[+]

NOUVELLE CALEDONIE ; ACCORD DE NOUMEA ; STATUT JURIDIQUE ; EVOLUTION STATUTAIRE ; ORGANISATION ADMINISTRATIVE ; INSTITUTIONS REGIONALES ; LOI DU PAYS ; GOUVERNEMENT LOCAL ; ASSEMBLEE DE PROVINCE ; COMMUNE ; IDENTITE CULTURELLE ; CANAQUE ; TRANSFERT DE COMPETENCES

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- 420 p.
Cote : O4915-AD1
La question des risques, et plus particulièrement des risques majeurs est familière en Nouvelle-Calédonie. Elle y concerne tout le monde : risques naturels (cyclones, tsunamis…), risques technologiques (pollution par les entreprises…), risques sanitaires (épidémies de dengue, grippe…). Il s'agit à la fois de problèmes de la vie quotidienne et de grands bouleversements de celle-ci. Le transfert des compétences en matière de sécurité civile à la collectivité de Nouvelle-Calédonie est prévu par l'accord de Nouméa, et la loi organique statutaire dispose qu'il doit être réalisé au plus tard à la fin de 2011. Ce transfert a donc des répercussions plus fondamentales que ceux qui l'ont précédé, à l'égard du processus de l'accord de Nouméa lui-même.Aussi les travaux ici réunis du colloque qui s'est tenu à Nouméa en octobre 2010 ont opéré la nécessaire expertise de la prévention et de la réalisation des risques majeurs en Nouvelle-Calédonie. [-]
La question des risques, et plus particulièrement des risques majeurs est familière en Nouvelle-Calédonie. Elle y concerne tout le monde : risques naturels (cyclones, tsunamis…), risques technologiques (pollution par les entreprises…), risques sanitaires (épidémies de dengue, grippe…). Il s'agit à la fois de problèmes de la vie quotidienne et de grands bouleversements de celle-ci. Le transfert des compétences en matière de sécurité civile à la ...[+]

NOUVELLE CALEDONIE ; RISQUE ; PROTECTION CIVILE ; CATASTROPHE NATURELLE ; TRANSFERT DE COMPETENCES ; RISQUE TECHNOLOGIQUE ; RISQUE NATUREL ; CYCLONE ; SEISME ; TSUNAMI ; ORDRE PUBLIC ; GESTION DE CRISE

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