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- n° n° 53748 - 56 p.
Cote : A9552-QJ9
L'État français fit, dans les années 2000, face à une série de réclamations, effectives ou potentielles, relatives à sa nationalité émanant d'Écosse, de l'île Maurice et du Québec. Elles posèrent la question de l'interaction entre d'anciennes législations, et l'actuel cadre juridique concernant les naturalisations ou réintégrations dans la nationalité française. Cet article se propose de faire l'inventaire des textes concernant ces trois régions, de comparer les cas et d'évaluer la diversité des situations, rendues parfois obscures par le recours sélectif à une documentation hétérogène qui permet un refus systématique par les autorités.
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L'État français fit, dans les années 2000, face à une série de réclamations, effectives ou potentielles, relatives à sa nationalité émanant d'Écosse, de l'île Maurice et du Québec. Elles posèrent la question de l'interaction entre d'anciennes législations, et l'actuel cadre juridique concernant les naturalisations ou réintégrations dans la nationalité française. Cet article se propose de faire l'inventaire des textes concernant ces trois ...
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NATIONALITE FRANCAISE ; DROIT PUBLIC ; INDEPENDANCE ; NATIONALITE ; MAURICE ; QUEBEC ; ECOSSE ; HISTOIRE
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- 15 p.
Cote : A9142-IS1
L'article 49 al. 3 n'est pas une novation de la Ve République, mais un héritage des réformes constitutionnelles envisagées dès les premières années de la IVe République. Cette dernière, très vite marquée par l'instabilité gouvernementale, cherche à souder les majorités qui sont à la merci des coalitions et de groupes parlementaires minoritaires. La principale cause de cette instabilité repose sur un détournement de la procédure de la question de confiance. La volonté de réforme de cette pratique conduit à envisager la mise en jeu de la responsabilité gouvernementale sur le vote d'un texte. Ce système est préféré à l'auto-dissolution et à l'interdiction de l'abstention. Rejetée à l'époque, l'idée fait néanmoins son chemin pour aboutir au sein de la Constitution de 1958.
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L'article 49 al. 3 n'est pas une novation de la Ve République, mais un héritage des réformes constitutionnelles envisagées dès les premières années de la IVe République. Cette dernière, très vite marquée par l'instabilité gouvernementale, cherche à souder les majorités qui sont à la merci des coalitions et de groupes parlementaires minoritaires. La principale cause de cette instabilité repose sur un détournement de la procédure de la question de ...
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DROIT CONSTITUTIONNEL ; ARTICLE CONSTITUTIONNEL ; DEMOCRATIE ; DROIT PUBLIC ; PROCEDURE PARLEMENTAIRE ; CONSTITUTION ; ASSEMBLEE NATIONALE
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- n° 2 - 35 p.
Cote : A9137-VP0
Article sur les services de la Présidence de la République et leur évolution. Quelle est la véritable nature juridique de la présidence de la République ? Est-ce un organe administratif ? L'analyse du fonctionnement et de l'organisation des services du chef de l'État, montre qu'à défaut d'être un organe constitutionnel, il rassemble toutes les caractéristiques d'un organe administratif, dont le chef de service, véritable autorité administrative, est bien le Président de la République.
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Tweet 7 mars 2020[-]
Article sur les services de la Présidence de la République et leur évolution. Quelle est la véritable nature juridique de la présidence de la République ? Est-ce un organe administratif ? L'analyse du fonctionnement et de l'organisation des services du chef de l'État, montre qu'à défaut d'être un organe constitutionnel, il rassemble toutes les caractéristiques d'un organe administratif, dont le chef de service, véritable autorité administrative, ...
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PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE ; POUVOIR PRESIDENTIEL ; PRESIDENCE ; PARLEMENT ; CONSTITUTION ; GOUVERNEMENT ; POUVOIR EXECUTIF ; INSTITUTIONS