Les Marrons et le droit en Guyane française de 1836 à la «francisation», Chapitre d'ouvrage : Jean Moomou & APFOM. Sociétés marronnes des Amériques. Mémoires, patrimoines, identités et histoire du XVIIe au XXe siècles, Ibis Rouge éditions, p. 427-436, 2015
2015
8 p.
A8192-SC4
GUYANE ; SIECLE XIX ; HISTOIRE ; NOIR MARRON ; PEUPLE ET MINORITE ; SURINAM ; MARONI ; BONI ; CONVENTION INTERNATIONALE ; DROIT DES MINORITES ET PEUPLES AUTOCHTONES ; SIECLE XX ; DROIT D'OUTRE MER
La situation des Marrons en Guyane française intéresse rarement les juristes. Pourtant, de la convention franco-néerlandaise de 1836 à la «francisation» des années 1960, l'histoire de ces Marrons ne peut être amputée de sa dimension juridique : la France, tantôt respectant l'orthodoxie juridique, les dote de fragments de statut de droit, tantôt s'engageant nettement dans l'illégalité, les dote de fragments de statut de fait. Cette situation est l'oeuvre conjointe des autorités françaises et des Marrons, qui tour à tour ont joué avec le droit.
Url : https://hal.univ-antilles.fr/hal-01632257
Date de publication : 2015
Domaine : Sciences - Histoire (SC4)
Niveau d'autorisation : Public
Localisation : Version numérique
Collation : bibliogr.
Langue : français