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Après 40 ans de lutte, les revendications des peuples autochtones de Guyane restent entières

Paniers
Article
H

Ferrarini Hélène

Mediapart

10 décembre 2024

3 p.

N503-QJ10

GUYANE ; AUTOCHTONE ; DROIT DES MINORITES ET PEUPLES AUTOCHTONES ; AMERINDIEN ; DROIT COUTUMIER ; PROBLEME FONCIER ; ORGANISATION DES NATIONS UNIES

Le 9 décembre 1984, le président de la jeune Association des Amérindiens de Guyane française, Félix Tiouka, prononce une « adresse au gouvernement et au peuple français », intitulée « Notre terre, nous l'aimons et nous y tenons ». Il y expose la « situation de dominés » des Amérindiens de Guyane, descendants des premiers habitants présents avant l'arrivée des Européens. Et réclame le « droit à prendre en main [leur] propre développement économique, social et culturel ».

Url : https://www.mediapart.fr/journal/france/101224/apres-40-ans-...

Date de publication : 10 décembre 2024

Domaine : Questions juridiques - Droit des minorités et peuples autochtones (QJ10)

Niveau d'autorisation : Public

Localisation : Version numérique

Langue : français

Pour aller plus loin : Les revendications des indiens amérindiens, L'INA éclaire l'actu, 17 décembre 1984 [Vidéo].

 - Droits de la nature : une histoire guyanaise - France inter - La Terre au carré, 23 octobre 2024.

- Adresse au gouvernement et au peuple français par Félix Tiouka, Président de l'Association des Amėrindiens de Guyane française. Discours prononcé le 9 dėcembre 1984 à l'occasion du premier Congrès des Amėrindiens de Guyane française à Awala en présence des autorités administratives locales et de l'Ėtat.[Sur le site Mediapart - 22 novembre 2015]

 

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