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UH
- n° n°50 - 12 p.
Cote : A5586-QS2
L’île de la Réunion offre peu de perspectives d’insertion professionnelle aux jeunes, avec un taux de chômage de près de 40 %. Dès le début des années 1960, la migration instituée par l’État s’est présentée comme une mesure permettant de répondre aux besoins de main-d’œuvre de la métropole, de contrôler la croissance démographique dans l’île et de maîtriser les revendications d’autonomie. Depuis plus d’une vingtaine d’années, c’est une culture de la mobilité que les décideurs locaux tentent d’instaurer mais des mouvements de résistance montrent que les jeunes sont de plus en plus réticents à s’installer sur le territoire métropolitain ou dans d’autres pays d’Europe.
L’île de la Réunion offre peu de perspectives d’insertion professionnelle aux jeunes, avec un taux de chômage de près de 40 %. Dès le début des années 1960, la migration instituée par l’État s’est présentée comme une mesure permettant de répondre aux besoins de main-d’œuvre de la métropole, de contrôler la croissance démographique dans l’île et de maîtriser les revendications d’autonomie. Depuis plus d’une vingtaine d’années, c’est une culture ...
LA REUNION ; JEUNE ; MOBILITE ; EMPLOI ; MIGRATION ; FRANCE METROPOLITAINE ; ORIGINAIRE D'OUTRE MER ; MOBILITE PROFESSIONNELLE
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