- 2 p.
Cote : N423-QJ7
Le 7 octobre 2024, dix jours après une mutinerie avec prise d'otages, le chef d'établissement de la prison de Majicavo à Mayotte démissionnait pour « attirer l'attention sur cet établissement et ainsi contribuer (…) à améliorer les conditions de travail des personnels, les conditions de vie des détenus ». En l'occurrence, 650 détenus pour 278 places. Un cri d'alerte qui vaut pour toutes les prisons ultramarines.
PRISON ; OUTRE MER ; POPULATION CARCERALE ; JUSTICE ; DROITS DE L'HOMME